
Anne DAMBRICOURT MALASSÉ

1 rue René Panhard
75013 Paris
2015-2025 Responsable du Projet en Inde « Siwaliks »avec le parrainage d’Yves COPPENS (1934-2022) jusqu’en 2022.
2012-2014 Directrice de la Mission Archéologique Française en Inde du Ministère des Affaires Etrangères et du Développement International avec le parrainage d’Yves COPPENS.
1996-1997 Directrice de la Mission Archéologique Française au Pakistan « Hindou Kouch » du Ministère des Affaires Etrangères.
1995-1999 Chargée par la direction du Muséum national d’Histoire naturelle et du laboratoire de Préhistoire du projet franco-ouzbèque « Coopération scientifique pour le développement de la préhistoire entre le Muséum national d’Histoire naturelle de Paris et l’Institut d’Archéologie de Samarkand ».
Etudes des collections de scanners de crânes d’hominidés fossiles : Musée de l’Homme (Homme de Cro-Magnon et Néandertaliens)
Etude des collections de spécimens originaux et moulages de l’Institut de Paléontologie Humaine : grands singes, hominidés fossiles, Homo sapiens actuel.
Université permanente de la ville de Paris en partenariat avec l’Institut de Paléontologie Humaine, 2023, 2024, 2025 (page 27).
UN CHANGEMENT DE PARADIGME SANS PRÉCÉDENT DEPUIS LAMARCK (1802) et DARWIN (1871) : ce n’est pas la locomotion qui a progressivement redressé l’axe tête-bassin d’adultes parce que contraints de marcher dans la savane, c’est la complexité croissante de l’axe horizontal cranio-caudal de l’embryon dans le placenta des mères arboricoles qui a contraint le système nerveux central redressé à la naissance, à contrôler son développement en équilibre post-natal vertical et non plus semi-redressé.
Mon lieu d’activité professionnelle : Institut de Paléontologie Humaine (IPH), Fondation Albert 1er, Prince de Monaco, Paris, également le siège de l’UMR 7194 CNRS.
Président d’honneur : S.A.S. le Prince Albert II de Monaco.
Président : Dr. Denis ALLEMAND, directeur du Centre de recherche scientifique de Monaco (2001-2024), successeur d’Henry de LUMLEY, directeur du Muséum national d’Histoire naturelle (1994-1999), membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, grand-croix de l’ordre national du Mérite (18 janvier 2025).
Administrateur : André SAINT-MLEUX (Administrateur d’Etat de Monaco Telecom).
Directrice générale : Dr. Anna ECHASSOUX. Genèse de l’IPH.
Contact : anne.malasse@mnhn.fr
L’Institut héberge une partie des chercheurs et ITA de l’UMR 7194 CNRS dans le cadre d’une convention signée avec le Muséum.
Première thèse de doctorat en paléontologie humaine (1983-1987) du Muséum national d’histoire naturelle depuis sa fondation en 1793, soutenue en décembre 1987 à l’Institut de Paléontologie Humaine, avec la mention très honorable et les félicitations du jury.
Directeur de ma thèse, Jean-Louis HEIM (1937- 2018), professeur au Muséum, titulaire de la chaire de paléontologie humaine de l’Institut de Paléontologie Humaine. Jean-Louis Heim.
Récentes productions : Self-Organization as a New Paradigm in Evolutionary Biology: From Theory to Applied Cases in the Tree of Life | SpringerLink (Editor and author).
Actualités internationales (juin juillet 2025) : New Scientist ‹Hybrid› skull may have been a child of Neanderthal and Homo sapiens | New Scientist (voir plus ci-dessous).
LA FOETALISATION
Ma thèse a nuancé la célèbre théorie de la foetalisation de Louis BOLK (1924). Elle porte sur l’évolution de la morphogenèse de la mandibule des plus anciens simiens (~40 Ma) à Homo sapiens (~230 000 ans) (la mâchoire inférieure suspendue à la base du crâne) et a conclu à l’origine embryonnaire du redressement axial - qui inclut la face - et donc à l’origine embryonnaire de la locomotion en bipédie exclusive des hominines. Le rétrognathisme et le redressement sont modélisés et mesurés par un pantographe, j’ai qualifié le processus visible au pôle céphalique, de « contraction cranio-faciale ».
Mon premier article présenté à l’Académie des sciences par Jean PIVETEAU : Hominisation et foetalisation 1988.
Les avis de paléontologues et mathématiciens de renom international sur la découverte et la méthodologie (P.V. TOBIAS, Y. COPPENS, F. C. HOWELL, J.L. HEIM, M.A. de LUMLEY, J. CHALINE, René THOM…)
Les avis du jury de l’Habilitation à Diriger des Recherches (HDR, 2011)
« Les équilibres bipèdes permanents, origine embryonnaire, morphogenèse, équilibre occluso-postural, conséquences pour l’évolution psychomotrice et comportementale des hominidés » .
»Les membres du jury félicitent Madame Anne Dambricourt Malassé. L’exposé des travaux de recherches démontre une démarche innovante par une approche pluridisciplinaire impliquant la modélisation, la biologie, les techniques de reconstruction via l’imagerie médicale… pour l’obtention des données quantitatives dans la compréhension de l’évolution (…). Les membres du jury soulignent tout particulièrement les études pionnières effectuées par Madame Dambricourt Malassé sur l’embryogenèse, la morphogenèse dans sa discipline » Paléoanthropologues signataires : Jean-Louis HEIM, Yves COPPENS.
Film-Documentaire, Prime Time ARTE 2005 : Homo futurus – The Inside Story et Netflix. Réalisateur Thomas JOHNSON; Production Play Film; Broadcaster: ARTE France, Discovery Networks International et Nederland Moslim Omroep (NMO).
Avec entre autres les paléoanthropologues Pr. P. V. TOBIAS et Dr. Ronald CLARKE (Afrique du Sud), Pr. Yves COPPENS (Collège de France), Dr. A. DAMBRICOURT MALASSÉ (CNRS & Muséum), Dr. Jean CHALINE (CNRS Université de Bourgogne), la stomatologiste Dr. Marie-Josèphe DESHAYES (France) et le spécialiste mondial en génétique du développement embryonnaire le Pr. Denis DUBOULE (Université de Genève).
Avis du Pr. Jean-Louis HEIM (Muséum et Institut de Paléontologie Humaine) : « Je vous félicite sincèrement pour avoir su vous entourer de personnalités scientifiques de haut niveau et qui nous ont montré que notre science évolue et que les idées que nous pouvons avoir reçu par le passé sont susceptibles de laisser place à des approches nouvelles résultant de recherches et de réflexions nouvelles ». source Hominides.com
Thomas JOHNSON m’avait déjà intégrée en conclusion de son film-documentaire « La leçon des grands singes », pour « Envoyé spécial » avec Diane FOSSEY, Jane GOODALL et Biruté GALDIKAS, diffuseurs : National Geographic et France 2, participation CNC, une production CAPA.
»En 1998, en réalisant La leçon des grands singes, je rencontre la paléontologue du CNRS Anne DAMBRICOURT MALASSÉ. Dans le montage final de ce film je n’ai gardé d’elle qu’une seule phrase « Nous sommes les grands singes de ceux qui nous succéderont. Une phrase courte mais suffisamment forte et énigmatique, pour me pousser à retourner la voir afin de comprendre ses découvertes ».
Ma réponse au quotidien Le Monde face à une incompétence historique à ne pas savoir distinguer la diffusion d’un changement de paradigme sans précédent (« copernicien ») et une campagne idéologique (néo-darwiniste) peu soucieuse du devenir biologique de notre espèce face « au mur de la verticalité », des problèmes de postures, de nos capacités cognitives et émotionnelles.
Thomas JOHNSON est le réalisateur de films-documentaires remarqués, le dernier « Royaume-Uni : du Brexit au Bregret » avec l’aide du CNC, était en compétition au festival international du grand reportage d’actualité et du documentaire de société, FIGRA, de Douai (1-5 avril 2025).
Sociétaire de la Société des Explorateurs Français SEF
Avec Edgar MORIN le 2 septembre 2022 et mon livre collectif « Self-Organization as a New Paradigm in Evolutionary Biology. From Theory to Applied Cases in the Tree of Life », chez Springer.
(ED 227 2009, HDR 2011)
Rédactrice en chef invitée des Comptes Rendus de l’Académie des Sciences. : Palevol »Human origins in the Indian sub-continent », 2016. Avant-propos d’Yves COPPENS :
J’ai le très grand privilège d’ouvrir ce fascicule de Palevol, placé sous l’autorité d’Anne Dambricourt Malassé et consacré à la géologie, la paléontologie et à la préhistoires d’une formation sédimentaire (anticlinale) dite de Chandigarh, dans le Pendjab (nord-ouest de l’Inde).
Evénement marquant 24 janvier 2016 avec le Président François HOLLANDE et le Premier Ministre Narendra MODI en présence des principaux ministres Laurent FABIUS, Segolène ROYAL, Jean-Yves LE DRIAN, Michel SAPIN et Flore PELLERIN.
Site du Premier Ministre Narendra MODI : la visite.
Pour la Science Édition française de Scientific American, le mensuel est depuis 40 ans le magazine de référence de l’actualité scientifique internationale en France. février 2016 Résumé des questions soulevées.
Présentation en 2019 au Symposium international de l’Académie pontificale des sciences, organisé par le Pr. Yves COPPENS, « Who was who, and who did what, where and when ».
WHO WAS WHO Day 2 01 Dambricourt Malassé. Actes du colloque « Un bouquet d’ancêtres » aux éditions de l’Académie pontificale des sciences et du CNRS.
Age remarquablement vieux à 2.95 millions d’années
- CHAPON SAO, C., TUDRYN, A., DAMBRICOURT MALASSÉ, A., et al. 2024. Magnetostratigraphy of the Pliocene Masol Formation, Siwalik Frontal Range, India: implications for the age of intentional cut-marked fossil bones. Journal of Asian Earth Sciences, 259.
- sous-presse, L’Anthropologie 2025, 129 (4).
- Anne DAMBRICOURT MALASSÉ, Alina TUDRYN, Julien GARGANI, Anne-Marie MOIGNE, Cécile CHAPON-SAO, Salah ABDESSADOK, Mukesh SINGH, Dominique CAUCHE, Pierre VOINCHET, Baldev KARIR, Surinder PAL
Masol (India, Punjab): horses (Equus) and hominins in the sub-Himalayan floodplain as early as 2.95 Ma.
Subtitle: A pluridisciplinary synthesis and a hypothesis of dispersal routes from North America (Equus) and North Africa (hominins).
- Pour la Science : Anne DAMBRICOURT et François SAVATIER - septembre 2025, n° 575, 9 pages.
DAMBRICOURT MALASSÉ, A., HADJOUIS, D., JOFFROY, S., AUTET, B. (éd). L’avenir de Sapiens et la verticalité : de l’embryon à la vie dans l’espace, nouveau regard sur nos origines et le devenir de la verticalité. ISTE Editions, London. ISBN: 978-1-83612-052-0 (print), ISBN: 978-1-83612-052-9 (e-book). 9 chapitres, 17 auteurs.
Traduction en anglais en cours de production (juillet 2025):
DAMBRICOURT MALASSÉ, A., HADJOUIS, D., JOFFROY, S., AUTET, B. (ed) The Future of Sapiens and Verticality. From Embryo to Life in Space, a New Glance at the Origins and the Future of our Verticality. ISTE-Wiley.
Actualité sous ma direction, juin 2025 : Israël, Mont Carmel, 140000 ans. Le plus vieux cimetière n’était pas exclusivement Homo sapiens. Une sépulture contenait une petite fille hybride Sapiens-Néandertalien - Skhul 1 - avec une mandibule typiquement néandertalienne. Pour la première fois, il est possible de donner un visage (et un corps) à un.e métis au visage néandertalien et au neurocrâne sapiens, l’ADN ne le permet pas. Cette étude connait en juin-juillet 2025 un retentissement mondial (Europe, Asie, USA).
La mandibule néandertalienne est apparue bien avant celle de sapiens, elle ne peut en être une variabilité. Homo neanderthalensis et Homo sapiens sont deux embryogenèses radicalement distinctes, la première ne sort pas des limites dynamiques archaïques d’Homo habilis et elle s’en éloigne (grande extension), la seconde en est la reconfiguration en plus grande flexion.
BOUVIER, B., DAMBRICOURT MALASSÉ, A., OTTE, M., M. LEVITZKY, HERSHKOVITZ, I. A new analysis of the neurocranium and mandible of the Skhūl I child: Taxonomic conclusions and cultural implications. L’Anthropologie.
Pour la Science : Le plus ancien hybride Néandertalien-Sapiens jamais identifié | Pour la Science 4/08
Science & Vie : Le « chaînon manquant » entre Homo sapiens et Néandertal … 15/07 (premier magazine européen de l’actualité scientifique)
IFLScience : Child From World’s Oldest Burial 140,000 Years Ago Was Neanderthal-Homo Sapiens Hybrid | IFLScience - interview
New Scientist : ‹Hybrid› skull may have been a child of Neanderthal and Homo sapiens | New Scientist (7/07) - interview
The Sun : hybrid skull (8/07)
Live Science Media : https://www.livescience.com/archaeology/human-evolution/140-000-year-old-childs-skull-may-have-been-part-modern-human-part-neanderthal-but-not-everyone-is-convinced (11/07) - interview
Mail OnLine (Daily Mail) : Scientists reveal exactly what a neanderthal human hybrid would look like | Daily Mail Online (13/07) interview
Le Parisien : Au Proche-Orient, un enfant « hybride » entre Sapiens et Néandertal découvert ? - Le Parisien (20/07) - interview
Smithsonian Magazine : A Child’s Skull That Has Long Confounded Archaeologists Might Be a Human-Neanderthal Hybrid, Study Suggests (22/07)
Medium The Academic : Neither Fully Neanderthal Nor Human: Who Was Buried in the Cave of Children? (11/07) interview
Knewz (USA) : 140,000-Year-Old Ancient Child Skull Found to be a Neanderthal-Human Hybrid, Defying Evolution Norms - Knewz (16/07)
La Derecha Diaro : Archaeological surprise: a hybrid between a human and a Neanderthal discovered in Israel (16/07)
Times of India (TOI) : First Neanderthal–Homo Sapiens hybrid? CT scan reveals unusual features in 140,000 yr-old child skull: Study | - The Times of India (14/07)
The Economic Times : Scientists just found a 140,000-year-old child’s skull in Israel, and what they found could change human history - The Economic Times
Sohu.com : 14万年前儿童头骨可能兼具现代人和尼安德特人特征_研究_人类_智人 : 研究的共同作者、法国国家科学研究中心(CNRS)和国家自然历史博物馆的古人类学家安妮·当布里科特-马拉塞(Anne Dambricourt Malassé)在一封电子邮件中表示,这种形态“绝无可能”代表智人的变异性,这个孩子“客观地”是一个混血儿。 Anne Dambricourt Malassé a déclaré dans un courriel que cette morphologie ne rentre en aucun cas dans la variabilité d’Homo sapiens et que l’enfant est « objectivement » un hybride. (14/07)
Daily Galaxy : Meet the Neanderthal-Human Hybrid Child in the World’s Oldest Burial Site
Indian Defense Review : https://indiandefencereview.com/skhul-i-skull-analysis-change-early-human/ (11/07) « La Revue trimestrielle est lue par des responsables politiques indiens de haut niveau bureaucratique, politique et judiciaire ».
NDTV (New Delhi Television) : 140,000-Year-Old Skull Suggests Ancient Human-Neanderthal Hybrid: Study (13/07)
Media Indonesia : Tengkorak Anak 140.000 Tahun di Israel Diduga Hibrida Homo Sapiens dan Neanderthal (20/07)
Bombshell Report: Scientists Just Discovered a Neanderthal Hybrid - excellente pédagogie.
The Brain Maze The 140,000-Year-Old Child That Changes Everything - Buried in a cave 140,000 years ago
Ma métaphore de l’anamorphose de la conscience (octobre 1995) et une tragédie dans ma carrière comme pour le CNRS : »Anamorphosée » de la chanteuse Mylène FARMER & Polygram Pascal NEGRE (octobre 1995, album illégal), son éditeur pygmalion Bertrand LEPAGE (1955-1997, homicide) qui fit savoir à la sortie de l’album, qu’il craignait pour sa vie « c‹est une mygale, elle m’a tué, c’est la fin du pygmalion » (« Libération »), trois inconnus dans ma vie et ma carrière ; mon courrier à en-tête du CNRS adressé à Mylène FARMER via son agent Thierry SUC en novembre 1996 lui révélant, malgré moi, le vol de mon inédit ; récidive d’un second vol en juillet 1997 peu après l’homicide, « Chutes et Mémoires », avec une nouvelle exploitation par Pascal NEGRE pour l’album « Mémoires » ; un « corbeau » de Polygram compromis qui m’a dans son collimateur depuis l’homicide, encore couvert par la chanteuse, laquelle a réagi contre ma personne suite à la réception d’une enveloppe (témoignage de son graphiste Eric de Com’NB pour le livret « Les Mots », 2001, je l’aurais soi-disant menacée avec, entre autres, des photos d’elle nue avec d’autres femmes) : ce sont des documents provenant de la scène de crime ; affaire toujours dissimulée par l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT depuis 2005, qui avait renvoyé brutalement à mon avocat de l’époque, la responsabilité du décès de cet inconnu, confirmant l’exploitation de mes deux inédits ; depuis, dissimulation à la Justice des preuves de l’illégalité de ces deux albums, des liens avec l’homicide et de l’exploitation frauduleuse de mes deux inédits volés au CNRS. L’avocate est la sœur du compositeur de ces deux albums, Laurent BOUTONNAT ; l’information sur le décès, les liens avec mes textes rédigé avec un avocat suite à la réaction de Mylène FARMER portée à la connaissance de la substitut du procureur de Paris, remise en main propres en 2001 par René LENOIR, directeur de l’ENA et secrétaire d’Etat très proche de Simone VEIL, au procureur d’Evry mais « enterrée » ; très gros soupçons de trafic d’influence de la garde des sceaux de l’époque, dégagée du gouvernement en 2016, 15 jours après ma rencontre en tête-à-tête avec le Président de la République François HOLLANDE, suivi de l’éjection de Pascal NEGRE du poste de PDG d’Universal Music Group France ; la Mission à l’Intégrité Scientifique du CNRS (MIS) (mars 2023) dépositaire d’un rapport de 38 pages (vols d’inédit et de correspondances au CNRS avec effraction en 1995, récidive en 1997, preuves constatées de visu, reconnaissance du préjudice moral de l’assassinat lié à mon inédit) et la Direction des Ressources Humaines (DRH) du CNRS (juin 2025) chargée des affaires juridiques, à cause de l’immobilisme des avocats des incriminés qui n’exigent pas le retrait de mon très long témoignage en ligne depuis 2022, et ne démentent rien (maître Georges KIEJMAN a reconnu dans un courrier en 2008 que Polygram (Pascal NEGRE) et Mylène FARMER ont un contentieux avec moi-même (chercheur au CNRS), mais n’a pas souhaité donner suite pour ne pas « contrarier » sa collègue Caroline FABRE-BOUTONNAT). Mon premier texte a été volé inédit en 1995 pour permettre le remboursement de 49 millions de francs avancés par Polygram-film pour « Giorgino » (le film de Laurent BOUTONNAT/Mylène FARMER), échec commercial colossal qui plongea l’icône de « Désenchantée » dans une dépression. En quête du regard d’Océan d’ambre qui marche sans savoir qui elle est, tandis que « Laurent Boutonnat reste « à demi mort » pendant quelques mois. Pour remonter financièrement la pente, il produira avant tout via Requiem Publishing des disques à fort caractère commercial, comme Anamorphosée (Mylène Farmer, Polydor, 1995) ». Pascal NEGRE a donné à exploiter le second inédit « Chutes et Mémoires », rédigé peu après l’homicide, sans signer de contrat avec le CNRS et moi-même alors que Bertrand LEPAGE était le seul à savoir où et comment mon premier inédit avait été volé. Quel étrange comportement pour un président de Polygram, à la réputation sulfureuse (« casser la gueule des pirates » sic), confirmée grâce au documentaire d’Anne-Sophie JAHN sur Bertrand CANTAT (mars 2025). L’ex-président de Polygram est seul a avoir intérêt à ce que Mylène FARMER taise aux enquêteurs ce qu’elle seule et Bertrand LEPAGE savaient en 1995 : l’origine du titre « Anamorphosée » et le nom de son auteure (moi-même) comme l’a confirmé, malgré elle, l’avocate, convaincue que l’homicide était - soi disant - le problème du CNRS. Le « corbeau » et Pascal NEGRE ne font qu’un, avec des motifs personnels à m’avoir dans son collimateur ; c’est Pascal NEGRE que Bertrand LEPAGE craignait à la sortie de « Anamorphosée » ; c’est Pascal NEGRE qui est concerné par l’entrave à l’identification du responsable de l’homicide et par la dissimulation de mon existence à la Justice. Le comportement de Mylène FARMER à tout dissimuler depuis 1997 dans un Etat de droit et d’un commun accord avec l’ex-président de Polygram, est éminemment suspect. Elle avait contacté en personne l’Institut de Paléontologie Humaine en 2015 sans donner suite, elle n’a jamais répondu à la prestigieuse invitation du Pr. Henry de LUMLEY à le visiter en ma présence en 2020. La chanteuse n’a pas la conscience tranquille et ses avocats qui lisent ma page sont, depuis, les dépositaires de ses aveux et des preuves des actes du « corbeau » contre ma personne : ce sont les lettres de 1995 de Mylène FARMER à Bertrand LEPAGE qui me concernent, donc avec mon nom et l’évocation de mon texte avant la sortie de l’album « Anamorphosée », compromettant le remboursement des 49 millions de francs à Polygram (Pascal NEGRE responsable), lettres volées par l’auteur de l’homicide en 1997, avec des traces de coups et blessures (prouvant leur provenance, le « corbeau » assassin a voulu lui faire croire à une menace de mort). Elle sait à qui profite le vol de ses preuves manuscrites de l’origine du titre « Anamorphosée », et l’élimination physique de l’unique témoin de son illégalité, le voleur de mon inédit dans les murs de cet Institut. Elle sait à qui elle s’est confiée et avait intérêt à la convaincre que le meurtre n’est pas au cœur de sa carrière avec Polygram : Pascal NEGRE. Les juristes du CNRS peuvent constater que les avocats - qui me lisent - n’interviennent pas plus auprès du CNRS que Caroline FABRE-BOUTONNAT en 2005, pour mettre un terme à 29 années de dissimulation des preuves (1996-2025) avec entraves à la manifestation de la vérité. Mylène FARMER doit régulariser sa situation, cesser de tromper la société civile ainsi que ses très nombreux contractuels - sur son statut de hors-la-loi, la liste de ses délits est accablante) - et proposer des dédommagements conséquents pour soutenir la recherche en préhistoire. Ma page permet à Laurent BOUTONNAT d’exiger de Pascal NEGRE des explications sur l’absence de contrat pour « Chutes et Mémoires », et sur la vraie cause de l’annulation de « Mémoires », Mylène FARMER étant dépositaire des preuves de son illégalité depuis 1998. Ma page est le seul espace sous l’autorité de l’Etat pour percer l’omerta de cette mafia et pour décrire les violences et agressions que je n’ai cessé de subir à tenter de comprendre la vérité, y compris les menaces de mort physique. Bertrand LEPAGE savait de quoi et de qui il parlait, lorsque l’illustration rafistolée du coffret d› « Anamorphosée » labélisée Polygram, est sortie : Pascal NEGRE a bien compris que Mylène FARMER et Bertrand LEPAGE cachaient quelque chose de compromettant avec l’urgence à masquer sa paire de fesses nues, l’icône de Libertine. Il était bien curieux de savoir qui est Océan d’Ambre. J’ai écrit, Mylène FARMER s’est confiée à « son ami parfois de bon conseils » (sic), il a compris l’arnaque, il sait très bien qui je suis : échec et mat Pascal NEGRE, le « corbeau » au bec cloué par ma page et pris dans ma toile publique, avec les avocats et les juristes témoins de son mutisme.
Yves COPPENS, au Collège de France (1996) : « Ses propres recherches, qui portent sur l’évolution du crâne dans une perspective à la fois ontogénique et phylogénique démontrent un phénomène de flexion-contraction de celui-ci, qui se déroule par paliers et qui est le produit d’une embryogenèse qui l’a mémorisé. Ce phénomène n’est bien sûr observable que dans la grande durée mais il traduit une logique d’une stabilité étonnante, « un temps irréversible, écrit Anne Dambricourt-Malassé, qui mémorise ! » J’ai conclu ce séminaire en disant que je n’étais pas éloigné de la pensée de mon invitée. Ce n’était pas qu’une courtoisie d’hôte ; le sens (dans tous les sens du terme) de l’histoire de la matière inerte, vivante, pensante, dans sa course à la complexité, est un constat troublant ». Dans « Séminaires Grands Noms, Grands Moments de l’Histoire de nos sciences », Annuaire du Collège de France 1995-1996.
Yves COPPENS m’avait invitée en mars 1996 à venir présenter les convergences entre ma découverte des origines embryonnaires du redressement et la courbe de complexité/conscience croissante du géologue-paléontologue Pierre TEILHARD de CHARDIN, Yves COPPENS était membre du Conseil d’administration de la fondation Teilhard de Chardin, reconnue d’utilité publique depuis 1964 et hébergée au Muséum national d’Histoire naturelle. Son président depuis 1981 est le professeur Henry de LUMLEY, président de l’Institut de Paléontologie Humaine (1981-2025), éminent préhistorien de renom mondial, directeur des fouilles et bâtisseur du musée de Tautavel, un site majeur sur l’évolution du genre Homo en Europe avant Néandertal comme le démontrent les récentes études (film, 28/11/2024, audience : 977 000).
Les avis d’experts internationaux relatifs à ma recherche et à la découverte publiée dans des actes de colloques et revues à comité de lecture. La première est la revue de l’Académie des sciences en 1988, la découverte présentée en séance hebdomadaire par le paléontologue Jean PIVETEAU (1899-1991), fondateur et professeur en chaire du « Laboratoire de paléontologie des vertébrés et de paléontologie humaine de la Sorbonne » et premier président de la fondation Teilhard de Chardin.
René THOM (1923-2002), médaille Fields (équivalent du prix Nobel pour les mathématiques) - rapport pour ma titularisation au CNRS en 1992. Hommage de l’Institut de France en 2023 « l‹un des grands savants du 20ème siècle », « l’un des mathématiciens les plus influents du XXe siècle » (Le Monde, 2023).
« J’ai pris connaissance des travaux de Madame Dambricourt portant sur sa découverte essentielle, de la corrélation par une variation en sens opposé, des angles α et β des pantographes (la contraction cranio-faciale selon sa terminologie) avec le rôle central du sphénoïde dans cette organisation. Je ne crois pas dans ma carrière avoir rencontré un biologiste ayant un sentiment aussi fin et aussi précis des contraintes d’équilibration globale de l’être vivant ».
Jacques VAUTHIER, Professeur émérite, mathématicien et philosophe des sciences, directeur de l’unité de formation et de recherche de mathématiques pures de l’université Pierre-et-Marie-Curie (Paris 6). Rapport du premier jury pour l’Habilitation à Diriger des Recherches (2011) :
Il est inutile de dire, je pense, combien son travail modifie profondément l’approche de la grande question des processus d’humanisation. L’allusion à la théorie du Chaos au lieu de la théorie stochastique montre le changement de paradigme chez Madame Dambricourt. Les attracteurs harmoniques jouent un rôle de stabilisateur comme des horloges chimiques qui oscillent entre deux couleurs.
Le travail de Madame Dambricourt, apporte me semble-t-il, une contribution considérable par la donnée à de nouvelles pistes conduisant à des nombres: ce sont les questions liées aux angles qu’elle repère au niveau du crâne assurant le redressement des hominidés.
L’irruption de la géométrie est fascinante par les conclusions qu’elle en tire. Nous sommes bien dans une démarche scientifique au sens d’Henri Poincaré reprise par Bachelard: partant des nombres on doit déboucher in fine sur une équation différentielle qui assure une prévision. Les neurosciences avec les détections de plus en plus précises des lieux de constitution de la connaissance, viennent aussi apporter leur contribution dans ce contexte où on ne les attendrait peut-être pas.
Le spectre de recherche de Madame Dambricourt est extrêmement porteur d’avenir pour les jeunes chercheurs. »
L’embryon redressé : l’histoire d’une passion pour l’évolution
Le rubicon cérébro-cérébelleux : le fil directeur n’est pas l’acquisition de la bipédie, elle est possible chez les singes avec leur système nerveux semi-redressé (grands singes, mais aussi Gibbon ou encore Babouin), mais la disparition de la quadrupédie au seuil de la verticalité du redressement axial (du centre de la base du crâne au sacrum) et sans la disparition de l’arboricolisme lié au mode de vie dans un environnement arboré et riche en eau douce (forêts-galeries).
Mes livres chez Iste-Wiley & Sons dans la série « Anatomie comparée de la posture de l’animal et de l’homme » dirigée par Djillali HADJOUIS.
Embryogenèse et phylogenèse de la posture humaine. Un renversement de regard sur le devenir de notre espèce (2022)
Embryogeny and Phylogeny of the Human Posture. A new glance at the future of our species (2021-2022)
Actualités 2025
- Articles sur invitations :
DAMBRICOURT MALASSÉ, A. 2026. Un nouveau paradigme pour une meilleure compréhension du devenir de notre espèce : le rubicon cérébro-cérébelleux. Diogène. PUF, sous l’égide de l’UNESCO.
DAMBRICOURT MALASSÉ, A. 2026. The emergence of ritualized body rhythms at the end of the nervous system verticalization/complexification : a resonance with our cosmo-biogenetic roots? In: Palladino, V. and Gheorghiu, D. (eds). Rythmes dans la culture matérielle/Rhythms in Material Culture. Archaeopress.
- En ligne L’Anthropologie.
BOUVIER, B., DAMBRICOURT MALASSÉ, A., OTTE, M., M. LEVITZKY, HERSHKOVITZ, I.
- Accepté en cours de production (juin 2025)
Anne DAMBRICOURT MALASSÉ, Alina TUDRYN, Julien GARGANI, Anne-Marie MOIGNE, Cécile CHAPON-SAO, Salah ABDESSADOK, Mukesh SINGH, Dominique CAUCHE, Pierre VOINCHET, Baldev KARIR, Surinder PAL
Masol (India, Punjab): horses (Equus) and hominins in the sub-Himalayan floodplain as early as 2.95 Ma.
Subtitle: A pluridisciplinary synthesis and a hypothesis of dispersal routes from North America (Equus) and North Africa (hominins).
- Livre sous presse
DAMBRICOURT MALASSÉ, A., HADJOUIS, D., JOFFROY, S., AUTET, B. (éd). L’avenir de Sapiens et la verticalité : de l’embryon à la vie dans l’espace, nouveau regard sur nos origines et le devenir de la verticalité. ISTE Editions, London. ISBN: 978-1-83612-052-0 (print), ISBN: 978-1-83612-052-9 (e-book).
9 chapitres, 17 auteurs.
- Communications en 2025
- 10 octobre, UISPP, Colloque inter-congrès de la commission « Méthodes et théorie archéologiques » : Historiographie et épistémologie des chercheurs du Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris depuis Buffon : De l’origine des espèces à l’origine des Hominidés, amphithéâtre de l’Institut de Paléontologie Humaine.
Jean-Baptiste de Monet, chevalier de La Marck, dit Lamarck, un esprit de physicien du vivant aux fondements de la théorie de l’évolution des espèces.
- 23 octobre, Université Permanente de Paris, amphithéâtre de l’Institut de Paléontologie Humaine :
La plus ancienne inhumation intentionnelle n’est probablement plus attribuable à Homo sapiens.
- 21 mai, Université Permanente de Paris (page 27), amphithéâtre de l’Institut de Paléontologie Humaine :
La découverte du site de l’Homme de Pékin (1918), une épopée scientifique dans un monde en transformation.
-L’Anthropologie
Anne DAMBRICOURT MALASSÉ, Marie-Christine HO BA THO, Tien Tuan DAO, Fabienne LALLOUET, 2024 Reconstruction of the internal cranial base of an adolescent Homo erectus (Sinanthropus III). An enlightening on the hominids neural straightening, its embryonic modalities and its cognitive implications - ScienceDirect
-Conférence sur invitation
18 novembre 2024, 25èmes journées lilloises de neuropédiatrie, Journée du Centre de Référence des Maladies et Malformations Congénitales du Cervelet du CHU de Lille, faculté de Médecine Henri Warembourg, salle des congrès (244 participants). Thème : Posture et équilibre
Communication introductive « La cérébellisation : perspective d’avenir pour Sapiens aux limites de la verticalisation ? »
Invitation de Sylvie NGUYEN, Professeur, chef de service, et Odile GOZE (Dr) (Service de Neurologie pédiatrique, CHU de Lille) avec Delphine DELLACHERIE (Pr)(département de psychologie du CHU de Lille).
En 1988, Jean PIVETEAU, présentait la découverte en séance hebdomadaire à l’Académie des sciences de l’Institut de France suivie de la publication « Hominisation et foetalisation ». Comptes rendus de l’Académie des Sciences, 307, Série II : 199-204 (1988).
En 1992, un comité d’experts internationaux saluait le programme de recherche présenté pour ma titularisation au CNRS avec la suggestion d’une distinction.
En octobre 1994 la revue Nouvelles Clés publia un grand entretien à l’Institut de Paléontologie Humaine avec Patrice VAN EERSEL, journaliste scientifique, co-fondateur de Libération (une mise au point après un premier article évoquant ma recherche).
En février 1996 et en décembre 2000, Gérard GROMER m’invitait à son émission de France-Culture « Le Gai Savoir ».
En mars 1996, Yves COPPENS m’invitait au Collège de France à présenter la découverte et à expliquer en quoi elle retrouve la courbe de complexité/conscience croissante de Pierre TEILHARD de CHARDIN.
En avril 1996, ma découverte faisait la première de couverture de La Recherche « Nouveau regard sur l’origine de l’Homme » avec un article de 8 pages argumenté et documenté. L’article fut rédigé avec le rédacteur en chef Olivier POSTEL-VINEY.
En mai 1996, j’étais invitée par Laure ADLER au Cercle de Minuit à débattre avec Jean-François KAHN (1938-1925 ) et Yves COPPENS (1934-2022) en présence d’Hubert REEVES (1932-2023 ) et Joël de ROSNAY. Jean-François KAHN avait consacré une partie d’un éditorial de L’Evénement du Jeudi à mon article et à la découverte.
En mai 1997, j’étais invitée au grand colloque organisé à l’UNESCO « Sciences et quête de sens » (1800 personnes) qui comptait André COMTE-SPONVILLE parmi les intervenants et des scientifiques de renom tels que le prix Nobel de chimie Ilya PRIGOGINE et l’astrophysicien Jean-Pierre LUMINET dans le comité scientifique de l’association parisienne qui en assurait l’organisation (Université Interdisciplinaire de Paris).
En octobre 1997, je recevais la médaille de l’Académie des Sciences, Arts et Belles Lettres de Caen remise après ma conférence sur invitation « Les racines embryonnaires du processus d’hominisation ».
En mai 2000, j’étais invitée par le président du Conseil Pontifical pour la Culture, Mgr Paul POUPARD, au Grand Jubilé du Monde de la Recherche et de la Science, au colloque international « Sciences de l’homme et de la vie » (24 mai) et le 25 mai en audience avec Jean-Paul II dans la Basilique Saint Pierre. Ayant été remplacée par Andrzej SZCZEKLIK, je lui ai parlé en tête-à-tête du sujet de mon intervention, ma découverte des origines embryonnaires du processus d’hominisation.
En 2001, Edgar MORIN cite ma découverte (en termes mathématiques, les attracteurs harmoniques vs chaotiques) dans le vol. V de « La méthode de la Méthode » (« L’Humanité de l’humanité : L’identité humaine », 2001). Nous nous connaissons depuis plus de 20 ans.
Le 20 octobre 2005, le film-documentaire d’avant-garde de Thomas JOHNSON (Play Film, Arte France, Discovery International Network, NMO) en Prime Time sur Arte « Homo sapiens, Une nouvelle histoire de l’Homme », avec Yves COPPENS en voix off à la fin du film et salué par Jean-Louis HEIM, Professeur au Muséum national d’histoire naturelle et titulaire de la chaire de paléoanthropologie de l’Institut de Paléontologie Humaine.
En janvier 2006, Véronique ANGER - DE FRIBERG publie un long entretien suite au documentaire d’avant-garde de Thomas JOHNSON : Une nouvelle théorie scientifique de l’évolution de la lignée humaine - AgoraVox le média citoyen. Présidente fondatrice du Forum Changer d’Ère avec Joël de ROSNAY.
En juin 2011 je soutenais mon Habilitation à Diriger des Recherches à l’Université de Technologie de Compiègne « Les équilibres bipèdes permanents, origine embryonnaire, morphogenèse, équilibre occluso-postural, conséquences pour l’évolution psychomotrice et comportementale des hominidés ». Avec les félicitations à titre exceptionnel et Yves COPPENS dans le Jury.
En 2012, Patrice VAN EERSEL (PVE) publie sa fiction « Du pithécanthrope au Karatéka ». L’après Homo sapiens arrive-t-il ? avec Jean Yves CASGHA, Radio France Internationale (RFI). Nulle part il n’est fait mention d’une loi de l’évolution mais d’une loi du développement « une loi en biologie est une observation qui a été répétée et validée, servant de cadre pour comprendre des aspects des systèmes biologiques ».
En 2017 Edgar MORIN m’invitait à dialoguer ensemble avec le réalisateur Thomas JOHNSON sur le thème L’Hominisation passée et présente:
« Chère Anne, Je propose comme thème l’hominisation passée et présente qui permettrait de présenter votre conception qui fut si méconnue longtemps. Amicalement » (9 septembre 2017).
En 2021 mon entretien avec Marc WELINSKI « Comment bien vivre la fin de ce monde ». « Les points de vue éclairants de quinze personnalités sur la question de l’effondrement de notre civilisation ». RCJ - Marc Welinski - RCJ.
En 2022 je dirige chez Springer International Publishing AG, le premier ouvrage collectif sur le changement de paradigme des processus de l’évolution déduit de l’étude des longues séries paléontologiques et non pas seulement du Vivant, réunissant plusieurs nationalités (française, allemande, canadienne, américaine, russe, suisse) : l’auto-organisation dès la gamétogenèse et la fécondation avec ma découverte des processus d’auto-mémorisation placée dans son contexte pluridisciplinaire.
Springer « occupe une position de leader parmi les éditeurs scientifiques internationaux ».
En 2022, Science & Vie (n° 1253) consacre un numéro au thème « Comment le Cerveau est devenu humain » avec Kassiopée TOSCAS et un encart sur le cervelet dans lequel j’insiste sur son rôle cognitif chez les homininés, méconnu.
En 2023, le premier symposium de FREHOPS (Fédération des Recherches sur l’Evolution Humaine, l’Ostéopathie et la Posture au Service de la Santé) que j’ai co-fondé, accueilli à l’Institut de Paléontologie Humaine par Henry de LUMLEY et en hommage à Yves COPPENS président d’honneur : thème « L’avenir de sapiens et la verticalité ».
Mars 2024 : Vincent FLEURY confirme par des expériences en micro-physique, les forces morphogénétiques telles que je les ai déduites pour les origines neurales de la contraction cranio-faciale embryonnaire et le redressement axial. « Electrical stimulation of chicken embryo development supports the Inside story scenario of human development and origin », Scientific Reports.
Encouraging discussions with the late paleontologist Yves Coppens during a back and forth train journey to the Habilitation Jury of Dr Dambricourt.
Août 2024 : Brice PERRIER retrace la réalité historique du déni idéologique chronique de la découverte (1996-2021) qui suivit ma conférence sur invitation au Collège de France et les diffamations médiatiques : ma recherche présentée à l’Académie des sciences par Jean PIVETEAU a été qualifiée d’imposture, dans une inversion de la réalité avec entre autres le « Rififi » d’Anna ALTER et Philippe TESTARD-VAILLANT en 1997 (Science & Vie) ; Stéphane LOURHYAN à l’Académie des sciences du royaume de Belgique en 2020, non qualifiés en paléontologie humaine et à l’encontre des reconnaissances académiques et de la suggestion d’une distinction du CNRS en 1992, lors de ma titularisation. Un chapitre dans son dernier livre. Passage sur Europe 1 avec Frédéric TADDEI (6/09/2024), recension de Libération (9/10/2024). Sur Radio Sud avec André BERCOFF (14 octobre 2024). Avec Stéphan BUREAU (25 octobre 2024), québécois, dans son émission « Contact ». Le chapitre qui me concerne (50:10) est évoqué (10 000 vues en 3 jours). Le Monde diplomatique, novembre 2024. Les livres du mois, page 25. Le Figaro, Figarovox/Entretien, novembre 2024, Invectig’Action « comprendre le monde pour le changer, pour un monde paix », Johan HOEBEKE, novembre 2024, Laurent MUCCHIELLI (directeur de recherche au CNRS), Dogma (2024).
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Les origines de notre verticalité : 40 millions d’années de complexité croissante des dynamiques de l’embryon
Le redressement axial et le rétrognathisme facial, modélisés et mesurés par un protocole géométrique (pantographe de Gudin dans le plan sagittal et un nouveau pantographe que je lui ai associé dans le plan transversal) n’a pas été provoqué par un changement de locomotion imposé par un changement de l’environnement, mais par la complexification de l’embryogenèse neurale et de ses dynamiques. Ce sont des contraintes propres aux logiques internes d’auto-organisation de l’embryogenèse conservées et transmises par les cellules de la reproduction depuis les premiers unicellulaires. La reproduction d’une cellule aurait été impossible si les logiques de sa construction ne s’étaient pas auto-mémorisées prioritairement. Les changements de l’environnement ne sont donc pas les processus d’auto-mémorisation de la construction d’un unicellulaire et encore moins la cause physique d’un redressement post-natal imposé pour se déplacer entre les arbres. Les trajectoires dynamiques embryonnaires du redressement et l’itération de leur amplification (des prosimiens à Homo sapiens) sont propres au processus d’hominisation. La stabilité de la trajectoire phylogénétique m’a permis d’inférer des attracteurs mathématiques encore non définis, explicitant des processus auto-organisés agissant dès la fécondation, je les ai nommés « harmoniques » pour les distinguer des attracteurs chaotiques (non reproductibilité au seuil limite d’une bifurcation), et expliciter des processus de mémorisation (la découverte), contraires à la dissipation accidentelle d’informations - doxa dominante du néo-darwinisme exclusif (indépassable).
Le néo-darwinisme exclusif nous enferme dans un univers régit exclusivement par le hasard et l’absence de causalités internes, i.e. sans déterminisme phylo-génétique. Cette doxa occulte toute responsabilité évolutionnaire, ou éthique phénoménologique, laissant libre court aux fantasmes d’êtres humains qui se voudraient libres de modifier l‹ « espèce » dès l’embryogenèse, sans contraintes ou déterminismes naturels phylogénétiques à respecter.
Or, une équation déterministe est une équation qui a le temps, la durée dans ses paramètres. L’instant t2 est l’instant t1 maintenu dans son organisation, laquelle détermine les conditions de son propre équilibre, en s’auto-organisant avec des références. L’embryogenèse d’un Australopithèque était l’évolution de celle d’un grand singe. Ce ne fut pas une embryogenèse de grand singe déconstruite par des accidents génétiques désordonnés, au contraire, elle en a conservé et amplifié les trajectoires dans l’espace dynamique. Or en biologie, le temps passé, où la flèche du temps est irréversible, ne peut se conserver autrement que sous la forme d’une mémorisation.
Je déduis donc que le redressement phylogénétique a été un processus irréversible de production de complexité interne, qui s’est auto-organisé de façon reproductible, et donc transmissible lors de la gamétogenèse grâce à des processus de mémorisation lors de la gamétogenèse, dans des conditions toujours méconnues.
Ce processus lie la verticalisation du système nerveux à l’émergence d’une conscience réfléchie sur elle-même, j’en ai déduit une complexification d’une boucle de réflexion neurale lors de l’apprentissage de l’équilibre psychomoteur, une boucle cérébro-cérébelleuse plus complexe en raison de l’instabilité du cervelet déplacé par deux membres et non plus quatre. Cette boucle serait la structuration de la conscience de son soi corporel et de l’image abstraite du soi et de l’autre.
J’ai toujours soutenu la thèse selon laquelle les plus anciens homininés (Australopithecus, Kenyanthropus, Paranthropus, Homo ) sont apparus et se sont reproduits dans les conditions stables connues depuis des générations avec l’apport en eau pour les femelles gestantes/allaitantes, l’arboricolisme de leurs descendants est donc logique. Ardipithecus et Sahelanthropus, arboricoles, avec leur occlusion de quadrupèdes typique des grands singes, ne sont pas des homininés, comme je l’ai démontré - sur invitation - à l’Académie des sciences en 2004 (session avec Yves COPPENS, Brigitte SENUT, Michel BRUNET, Timothy WHITE) et dans le film documentaire de Thomas JOHNSON 2005. La base postérieure du Sahelanthrope n’est pas verticalisée, la reconstitution virtuelle de la loge cérébelleuse est incohérente avec l’occlusion car elle a été modifiée dans le sens de la verticalisation. De même, celle de l’Ardipithèque n’a pas été conservée, la base est celle d’un Australopithèque collectée sur un site plus récent et à près d’un kilomètre de distance, cette reconstitution - dans le sens de l’hominisation - verticalisation est une incohérence occluso-posturale (cf Embryogeny and Phylogeny of the Human Posture, volume 2, Iste-Wiley, 2021).
Confirmation en 2024 : Sahelanthropus est un grand singe quadrupède, arboricole, occasionnellement bipède et dont la base doit être reconstruite (Clément Zanolli).
Les homininés sont le seuil de la verticalité du système nerveux central
Le Rubicon cérébro-cérébelleux
Mon programme ECPEC : « Évolution du Cervelet, Posture, Émotion et Cognition ».
Ce seuil de complexité est surtout celui de l’instabilité du cervelet, j’en ai déduit le concept de Rubicon cérébro-cérébelleux, considérant que le néocervelet se retrouve intégré dans les réseaux de neurones contrôlant l’équilibre, en l’occurrence sa loge osseuse, une nouvelle boucle de réflexion s’est formée, plus complexe. Ce n’est plus une question de volume mais de complexité des réseaux de neurones entre le néocervelet et le néocortex. Ce seuil coïncide avec les premières chaînes opératoires de la pierre qui se retrouve intégrée comme outil à façonner par deux autres pierres (percuteur et enclume) et non plus comme ustensile à broyer des noix. Les propriétés cognitives du cervelet sont connues depuis plus de 20 ans, avec Jeremy D. SCHAHMANN, Professeur de neurologie à Harvard Medical School, qui en posa les fondements en 1998. J’ai appliqué cette déduction à la plus vieille chaîne opératoire attribuable au genre Homo (Masol, Inde, 2,95 Ma).
Partenaires :
Marie-Christine HO BA THO Professeur en biomécanique à l’Université de Technologie de Compiègne (UTC), UMR CNRS (BMBI), 7338 Biomécanique-Bioingénierie. Directrice de la recherche de l’Université (2017-2023). Membre du Conseil Scientifique de CNRS Ingénierie (2024–2028). Plus.
Tien Tuan DAO Professeur, UMR CNRS 9013 LaMcube (Laboratoire de Mécanique, Multi-physique, Multi-échelle), Ecole centrale de Lille.
Fabienne LALLOUET Radiologue, Paris.
Djillali HADJOUIS Paléoanthropologue, directeur de recherche au Centre National de Recherches Préhistoriques, Anthropologiques et Historiques (Algérie), président la commission « Méthodes et Théorie archéologiques” de l’UISPP.
Bastien BOUVIER (Master II 2021) Stagiaire bénévole du Muséum national d’histoire naturelle.
Applications
- 1. Reconstitution plastique et virtuelle de la base du crâne, Université de Technologie de Compiègne (UTC)
Mise au point de la méthode avec l’adolescent du Sinanthropus III (Homme de Pékin 780 ka) : 2011-2024
Avec l’équipe d’étudiants et d’enseignants de l’UTC (2009).
Publications :
Anne DAMBRICOURT MALASSÉ, Marie-Christine HO BA THO, Tien Tuan DAO, Fabienne LALLOUET 2025
Tan-Nhu NGUYEN, Anne DAMBRICOURT MALASSÉ, Marie-Christine HO BA THO, Fabienne LALLOUET, Tien Tuan DAO 2025
Reconstitution virtuelle de la base crânienne du Sinanthrope (Homo erectus pekinensis). Dans : Dambricourt Malassé, A., Hadjouis, D., Joffroy, S., Autet, B. (dir.). L’avenir de Sapiens et la verticalité, Vol. 6. Série Anatomie comparée et posture de l’animal et de l’homme, Hadjouis, D. (dir.), Coll. Biologie. ISTE Editions, Londres.
-2. Assemblage du chopper et des traces de boucheries de Masol (2,95 Ma):
DAMBRICOURT MALASSÉ, A., CAUCHE, D. 2022. Des traces de boucherie aux outils lithiques de Masol (Pliocène supérieur, Inde du Nord). Une approche psychomotrice de l’origine et de l’identité des hominiens. L’Anthropologie, n° 4.
3 - Le plus ancien enfant (4 ans) présentant des caractères d’Homo sapiens, Skhul 1 (140 ka, Israël) et découvert en contexte sépulcral.
Etude du scanner du neurocrâne et de la mandibule avec sa denture confié par le Shmunis Family Anthropological Institute, Dan David Center of Human Evolution and Biohistory Research, Faculty of Medicine, Tel Aviv University.
Avec Bastien BOUVIER, Marcel OTTE (Université de Liège), Israel HERSHKOVITZ et son étudiant Michael LEVITZKY (Université de Tel Aviv).
BOUVIER, B., DAMBRICOURT MALASSÉ, A., OTTE, M., M. LEVITZKY, HERSHKOVITZ, I. A new analysis of the neurocranium and mandible of the Skhūl I child: Taxonomic conclusions and cultural implications. « L’Anthropologie ». en ligne (14 juin 2025).
Ce fossile ne permet plus d’attribuer les plus anciennes inhumations à Homo sapiens.
4 - Le plus ancien enfant d’Homo erectus (1 an), Mojokerto, Indonésie (1,6 Ma)
Dr. Sofwan NOERWIDI (Research Center of Archaeometry, National Research and Innovation Agency, Yogyakarta, Indonésie) : Etude du scanner du neurocrâne pour comparer le degré de redressement de la pyramide pétreuse avec Homo sapiens.
Avec Bastien BOUVIER et Fabienne LALLOUET En cours.
Les plus anciennes activités manuelles et cognitives attribuables au genre Homo
Actualité (juillet 2025) : Le Ministère des Affaires Extérieures de l’Inde relance la demande d’autorisation d’invitation de la SAAR à fouiller Masol avec l’équipe française.
Programme SIWALIKS : directrice du programme qui associe l’UMR 8148 CNRS - GEOPS (Géosciences-Paris Saclay)
Localité : la boutonnière de Masol, 80 hectares de limons et de grès (pli anticlinal incisé par le réseau hydrographique).
Etat : Pendjab
Parrainage : Yves COPPENS (2012-2022)
Partenaire indien : 2004-2020 avec la Society for Archaeological and Anthropological Research (SAAR) de Chandigarh. Nouvelle convention pour 5 ans (08/2023-08/2028).
Partenaire français : UMR 8148 GEOPS (Géosciences Paris-Saclay), Orsay (2014-actuel).
Carte interactive du Muséum national d’histoire naturelle situant Masol (Inde du nord-ouest, piémonts himalayens). Cliquer sur Inde puis sur « Origines et évolution de l’Homme dans les Siwaliks ».
Soutien de l’ambassade de France en Inde.
Projet associé : Museum cum Recherche Center « under Private-Public Program of Central Government ». Conseillers.
La découverte depuis 2009, des plus anciennes traces de gestes manuels hors d’Afrique : découpes et percussions sur des fossiles dont une diaphyse de bovidé à proximité d’un chopper découvert en 2017 en place, dès la base de la formation paléontologique, nommée zone Quranwala dont nous avons confirmé la datation par la méthode du paléomagnétisme et des vitesses de sédimentation à 2,95 Ma (datation publiée en 2024 et 2025 dans L’Anthropologie (sous-presse).
L’émergence du genre Homo n’est pas concevable dans le cadre actuel du néodarwinisme et du néolamarckisme avant 3 Ma. L’introduction de l’embryogenèse (plan d’organisation) et des systèmes dynamiques complexes irréversibles, permet de la situer bien avant 3 Ma, je la prédis parallèle aux Australopithèques, vers 4 Ma.
L’étude de Masol a débuté sur mon initiative en 2007. Un premier chopper fut collecté en 2008 par notre partenaire indien dans les colluvions (sédiments mélangés) que nous avons datées de 200 ka. Cette datation n’a pas permis d’admettre la présence d’homininés à Masol au Pliocène supérieur, encore inconcevable car non conforme à la doctrine de la « sortie d’Afrique » à 2 Ma. Seules les traces de boucherie de 2009 m’ont permis d’insister malgré l’âge aussi ancien. L’étude et les analyses pluridisciplinaires, et les plus exhaustives possibles, ont été réalisées par les deux UMRs et ont fini par confirmer cette présence d’homininés asiatiques inconnus à 2,95 Ma. Les outils n’apparaissent que dans la zone fossilifère. Nous considérons les quelques artéfacts typiques de Masol, collectés dans les colluvions de la zone Quranwala mais avec prudence, la majorité est collectée sur les limons en cours d’érosion qui ne se confondent pas avec des colluvions, les géologues de terrain expérimentés savent faire la distinction.
Interview de François SAVATIER « Pour la Science » février 2016 En complément de «Un out of Africa, il y a trois millions d’années», interview de la paléoanthropologue Anne Dambricourt Malassé. Résumé des questions soulevées.
Site Herodote le média de l’Histoire.
Présentation en 2019 au Symposium international de l’Académie pontificale des sciences, organisé par le Pr. Yves COPPENS, « Who was who, and who did what, where and when ».
WHO WAS WHO Day 2 01 Dambricourt Malassé. Actes du colloque « Un bouquet d’ancêtres » aux éditions de l’Académie pontificale des sciences et du CNRS.
Etude d’ostéons remarquablement bien conservés d’un os fossilisé de 2,95 Ma à l’Université de Technologie de Compiègne par Marie-Christine HO BA THO.
Reconnaissance d’une sortie d’Afrique à au moins 2,8 Ma, lors de la célébration des 50 ans de la découverte de l’Australopithèque Lucy, au Musée de l’Homme (21 novembre 2024) présentée dans un minidocumentaire avec des paléoanthropologues de terrains de l’UMR 7194 (vidéo du Muséum).
Site : siwaliks
Vidéo indienne, mars 2025 Masol: Gateway to Early Hominin Activity in the Siwalik Frontal Range
Pour La Science, septembre 2025 Anne DAMBRICOURT MALASSÉ et François SAVATIER
Conseillère de la thèse de doctorat : Nadir FAWAD (pakistanais), thèse en géologie à Tongji University Shanghai, China University of Petroleum. Géologie de la vallée Soan (Pendjab) appliquée à l’archéologie des premiers peuplements humains du bassin supérieur de l’Indus
Sous la direction de Daidu FAN
Nadir FAWAD1, Daidu FAN1, Taixun LIU2,3, Anne DAMBRICOURT MALASSÉ, Tsun-You PAN1 , Shaik ERSHAD1, Usman ABUBAKAR1
1. State Key Laboratory of Marine Geology, Tongji University, Shanghai 200092, China
2. School of Geoscience, China University of Petroleum (East China), Qingdao 266555, China
3. Function Laboratory of Marine Geo-Resource Evaluation and Exploration Technology, Qingdao National Laboratory for Marine Science and Technology, Qingdao 266071, Shandong Province
Mon intérêt pour les hautes vallées du Pakistan (Hindou Kouch) date de ma rencontre au Muséum en 1992 avec un explorateur Jordi MAGRANER (1958-2002), je fus conseillère d’un film de Pascal SUTRA FOURCADE pour Arte (février 1998) sur ses recherches relatives à des témoignages d’hominines « sauvages » vivant en haute altitude. Il fut guide de la « Mission préhistorique française au Pakistan » « Hindou Kouch » du Ministère des Affaires Etrangères que j’ai dirigée (1996-1997) et assistant en tant qu’étudiant à l’EPHE en préhistoire sous la direction du paléontologue Jean CHALINE. Qui était Jordi MAGRANER.
La valorisation du patrimoine paléoanthropologique et archéologique (2009-2025)
Partenaire : Pr. ZHANG Pu, Institut des Ressources Montagneuses du Guizhou, Académie des sciences du Guizhou.
2014 et 2018. Mise en évidence de trois lignées humaines non-sapiens au Pléistocène moyen - assemblage de dents humaines parmi la faune du remplissage karstique de Tongzi-Yanhuidong, avec la première description d’une molaire déciduale de conformation méconnue (peut-être d’un enfant dénisovien). Quaternaire et Quaternary International.
2019. Etude des peintures rupestres protohistoriques de Dahongyan, « La Grande Falaise Rouge ». Invitée à proposer une interprétation : mise en évidence d’une transmission picturale des techniques appliquées aux danses chamaniques. Une scène apprend le rythme des tambours avec les empreintes successives de bas en haut, des doigts et des mains apposés sur la paroi : des extrémités digitales aux paumes, le mouvement donne le rythme en trois temps.
2025. Etude d’une molaire non sapiens collectée en 2012 dans la grotte de Nuibizhidong (attribution à un Dénisovien à vérifier).
Valorisation des collections historiques de l’Institut de Paléontologie Humaine (2025)
Etude par la photogrammétrie du Musée de l’Homme et interprétation de traces inédites sur un bois de cervidé, 1927 - 1933 (Mission Henri BREUIL pour l’IPH) avec l’accord de la direction générale
Avec Eva DAVID, Eva DASCHECK et Jonathan Özçelebi, UMR 7194 CNRS.
Mon livre chez Springer (2022), Editrice : Self-Organization as a New Paradigm in Evolutionary Biology. From Theory to Applied Cases in the Tree of Life
Avec entre autres : Werner ARBER, prix Nobel de Médecine, Edgar MORIN, Jean CHALINE.
Le premier symposium de FREHOPS - Fédération des Recherches sur l’Evolution Humaine, l’Ostéopathie et la Posture au Service de la Santé que j’ai co-fondé en 2018. Président d’honneur Yves COPPENS (2018-2022) : 20 octobre 2023 à l’Institut de Paléontologie Humaine « Sapiens et l’avenir de la verticalité ».
Sont intervenues entre autres July BOUHALLIER, Dr en paléoanthropologie du Muséum et co-auteur d’une pièce de théâtre avec chorégraphie pour transmettre un changement de paradigme considérable sur l’image de la femme enceinte et l’accouchement, Catherine DOLTO, médecin, spécialiste d’haptonomie, Véronique LEROY-MALHERBE, médecin, éducatrice des enfants porteurs de troubles du neurodéveloppement.
Editrice des interventions en 2025 aux éditions Iste-Wiley dans la série « Anatomie comparée de la posture de l’animal et de l’homme » dirigée par Djillali HADJOUIS.
Ouvrage en phase d’impression (17 auteurs) : L’avenir de Sapiens et la verticalité. Sous-titre : De l’embryon à la vie dans l’espace, nouveau regard sur les origines et le devenir de notre verticalité
L’affiche du symposium s’inspire de l’image finale du film de science fiction/anticipation que je considère comme le plus inspiré du XXème siècle et qui restera inégalé avant longtemps. Je l’ai déjà évoqué dans un numéro de Nouvelles Clés : le fœtus humain en apesanteur, les yeux anormalement ouverts sur notre planète bleue - semi-aquatique - après avoir vécu une accélération du vieillissement aux confins de l’espace-temps, 2001, l’Odyssée de L’Espace, Stanley KUBRICK, 1968. Le cinéaste à su se placer dans l’évolution dès les origines de l’intelligence technique manuelle avec les premiers hominidés, il a su anticiper la prise de contrôle d’un astronef sur son créateur, l’être humain grâce à son intelligence manuelle, une poignée manipulable de l’extérieur, inaccessible au calculateur ; le débranchement manuel des mémoires artificielles. La voix artificielle a été détruite par le libre-arbitre. Le héros du film est une héroïne : c’est la conscience réfléchie en évolution, anticipatrice, une humanisation dès la vie intra-utérine (i.u.). La différence avec le film, c’est une gorille au stade fœtal de 5 mois i.u. conservée dans les collections de l’Institut de paléontologie humaine. Je doute qu’un film contemporain atteigne ce niveau d’inspiration pour éveiller nos consciences, compte tenu du peu de curiosité pour la compréhension des processus d’humanisation et ce, dès le développement intra-utérin en continuité avec les origines aquatiques de la vie terrestre.
Je distingue l’hominisation dont les processus sont transmissibles par les voies de l’hérédité et ont généré le redressement embryonnaire du système nerveux central et ses corollaires, et l’humanisation qui se structure avec le développement psychomoteur et de la réflexion consciente avec l’apprentissage de la reconnaissance du soi et de l’autre, au sens de l’altérité, bien connue avec l’échange des émotions par les différents langages corporels.
Le 30 avril 2014 j’avais présenté au 2nd colloque de l’ODI Réunion (Organisation de la Diaspora Indienne), intitulé « Interculturel, diaspora indienne et mondialisation : réalités, enjeux et perspectives », à l’Université de la Réunion, sous la présidence d’honneur de Jean-Marie Gustave LE CLEZIO, prix Nobel de littérature 2008, une communication intitulée « Altérité, territoire d’humanité ».
A propos des hypothèses sur l’origine géographique de Sapiens (le dernier redressement axial) en Afrique : « Et le berceau de l’humanité était en fait… au Botswana » (octobre 2019).
Le dernier cours sur l’origine de la verticalité : 9 octobre 2024 pour l’Université permanente de Paris à l’Institut de Paléontologie Humaine : « Le Muséum et l’Institut de Paléontologie Humaine. De la naissance de la théorie de l’évolution humaine à sa modernité »
Le chamanisme
Anne DAMBRICOURT MALASSÉ 2024 The Strengthening of the Central Nervous System in the Human Lineage and the Emergence of Shamanism. Dans Anthropomorphism, Anthropogenesis, Cognition, edited by Dragos Gheorghiu, Vincent Paladino.
Anne DAMBRICOURT MALASSÉ 2026 The emergence of ritualized body rhythms at the end of the nervous system verticalization/complexification : a resonance with our cosmo-biogenetic roots? In: Palladino, V. and Gheorghiu, D. (eds). Rythmes dans la culture matérielle/Rhythms in Material Culture. Archaeopress.
La transdisciplinarité
La revue Phréatique , « l’anamorphose » de notre conscience (octobre 1995) et larmes bleues de « Chutes et Mémoires » (octobre 1997)
Particulièrement engagée dans la transdisciplinarité, discipline partagée avec Edgar MORIN, je considère la métaphore et la création littéraire comme le langage le plus à même de transmettre ma découverte, complexe, d’autant plus qu’elle bouleverse 200 ans de paradigme locomoteur lamarckien et apporte la mise en évidence de processus de mémorisation. En avril 1995 la revue Phréatique m’avait invitée à publier un texte sur le thème Métamorphoses-Anamorphoses pour son numéro automne-hiver (reçu par les auteurs le 15 octobre). Cette revue dédiée à « Langage et création » fédérait des chercheurs, des écrivains, des poètes, afin de transmettre la part non transmissible en sciences, ce que je nomme le langage de « la métaphore du sens ». Des scientifiques de renom ont publié dans ce numéro avec leur titre et fonctions, Denis VIALOU, professeur au Muséum, membre et président de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, grand spécialiste de l’art préhistorique et de la pensée symbolique. Nous avons offert nos entretiens ou nos textes.
L’anamorphose est une technique qui associe des perspectives déformées illisibles à un cylindre réfléchissant qui en restitue l’interprétation correcte. J’ai créé la métaphore de l’anamorphose de la conscience par le néodarwinisme, ou l’impossibilité en tournant sa conscience vers le passé comme dans un rétroviseur, de se replacer correctement sur la courbe de complexité croissante de Pierre TEILHARD de CHARDIN, avec le questionnement de la signification au stade de la conscience réfléchie, des propriétés cognitives capables de créer les mathématiques, d’accéder ainsi aux niveaux d’énergie primordiaux de la cosmogénèse mais aussi des capacités d’auto-destruction de 3,8 milliards d’années d’évolution avec notre arsenal nucléaire. Mon texte est scientifique et explique la découverte et mettant en évidence ce qui n’est pas darwiniste. Je l’ai intitulé « Paysages mentaux des racines évolutives humaines ».
En mai 1997, suite à mon intervention à l’UNESCO pour le colloque « Sciences et quête de sens » avec André COMTE-SPONVILLE entre autres, le rédacteur de Phréatique présent, m’avait invitée à rédiger un nouvel article pour le thème « De la base au sommet ». Ecrit en juillet, je l’ai intitulé « Chutes et Mémoires » et inventé la métaphore de « larmes bleues » pour qualifier notre planète aquatique avec son eau salée qui se retrouve fabriquée sans discontinuer depuis les origines de la vie jusque dans le placenta. Sans demander notre avis, la fin avec mes « larmes bleues », ne fut pas publiée dans le numéro d’octobre 1997, j’en fus violemment affectée et le rédacteur profondément choqué.
Mais très étrangement, cette césure à des fins éditoriales a eu pour effet de révéler un phénomène à mon insu et à l’insu du CNRS, effroyable par l’ampleur de son inhumanité et toujours d’actualité, initié à mon insu alors que je rédigeais « Paysages mentaux » en avril 1995.
Le premier paragraphe de « Paysages mentaux »: »Les mots sont-ils inéluctablement source d’illusion en recherche scientifique fondamentale pour que l’Homme cherche à mettre sous équation différentielle toute description d’un phénomène quel qu’il soit? (…) Anamorphoses et métamorphoses, l’humain parviendra-t-il à grandir et à s’éveiller à la conscience de sa Raison d’Être par la voie de la recherche scientifique (…) peut-il assurer ses métamorphoses évolutives psychiques et autres en se fiant aux regards scientifiques fixés sur son Passé, et ce regard est-il juste et suffisant ? (…), l’hominisation peut-elle se réduire à une équation différentielle ? (…) Les grandes galeries d’exposition des paysages évolutifs rougiraient de placer les Hommes dans une œuvre d’Art cosmique inachevée. Mais combien de ces peintres modernes sont le Léonard de Vinci ou les Salvador Dali de la Durée évolutive ? On cherche l’Artiste » (Phréatique, octobre 1995).
La fin inédite de « Chutes et Mémoires », texte écourté publié dans Phréatique, octobre 1997 : « Un océan nous a enfantés. Était-ce pour mieux nous oublier. Qu’un souffle doux sèche les larmes bleues. Patience, l’amour n’est pas un jeu d’adulte, c’est un don d’enfant qui connait le risque du refus (…). Si un matin d’une nuit, le génie d’une plume s’éveillait encore, que nos fondements soient son encre pour y tracer de nouveaux fils de Soi».
En 1999, « Nature et Découvertes » m’avait proposé de mettre un poème en musique pour un album collectif de scientifiques poètes pour son label « Vox Terra », projet géré en étroite collaboration avec Isabelle VAUDEY (agent du chanteur VIANNEY), je l’ai écrit et intitulé « Larmes bleues », pour garder une trace de « Chutes et Mémoires », avec ma voix enregistrée à l’IPH. Ce projet est resté dans les cartons.
En 2000, j’ai publié la partie effacée sans préavis de « Chutes et Mémoires » dans un livre « La légende maudite du 20ème siècle » rédigé sur une invitation de l’écrivaine Christiane ROEDERER de l’Académie d’Alsace, dans sa collection aux éditions de la Nuée Bleue et préfacé par René LENOIR (1927-2017) ancien directeur de l’ENA (Ecole nationale d’administration) (la couverture et le sous-titre furent imposés par l’éditeur contre mon accord).
En 2011, j’ai synthétisé l’ensemble, tenant à mes « larmes bleues », en conclusion de mon HDR (2011).
Et en 2014, sur invitation, je l’ai offert, pour un album photo « Souviens-toi de ta noblesse » (2014), au profit des Compagnons d’Emmaüs dans lequel j’apparais, prise en photo à l’Institut de Paléontologie Humaine, parmi des portraits de personnes vivant dans la grande pauvreté et des célébrités comme l’acteur Jean-Claude DROUOT, chacun ayant fait un don.
« Je vous donne le dernier paragraphe de 28 années de recherche au Muséum national d’histoire naturelle (…). Le paradigme perdu est à découvrir dans une humanité réconciliée avec sa féminité, avec les premières des mères, celles qui portaient dans l’eau salée des océans primitifs, la naissance de l’humanité et en ayant accepté un jour, d’aller au-devant de tous les risques d’une terre-mère inconnue, le premier cimetière mais aussi une larme bleue dans l’immensité du cosmos, si singulière par l’émotion qui en rayonne. »
Ma découverte sur l’origine embryonnaire du redressement (de la plicature du sphénoïde) a intéressé, et continue d’interpeller des intellectuels comme Marc WELINSKI dans son livre « Combien bien vivre la fin de ce monde » (2021, Trédaniel), des écrivains avec des romans tels que « Opération Adam », Jean CHALINE (sous le pseudonyme d’Ivan Petrovitch C., 1997, Cerf), le roman d’anticipation « Homo futuris » (2007, Des idées et des Hommes) de Patrick de FRIBERG, « Muséum » (Fayard, 2006) de Véronique ROY (chargée de mission Art et sciences au Muséum national d’Histoire naturelle), des poètes et compositeurs avec la co-création de Plasticités Sciences Arts et sa première revue transdisciplinaire Plastir.
Mais un autre phénomène est survenu en avril 1995, à mon insu et à l’insu du CNRS, alors que je rédigeais ma métaphore de l’anamorphose de la conscience à l’Institut de paléontologie humaine, un phénomène que la césure de « Chutes et Mémoires » en octobre 1997 a révélé au fil des années, un phénomène dans l’ombre monstrueusement inhumain par ce que les années remontent « à la surface » : des créations de chansons sont inséparables de ma carrière au CNRS depuis 1995, inspirées illégalement par mon sens de l’anamorphose de la conscience et il y a mort d’homme et pas n’importe qui : l’éditeur-pygmalion de la chanteuse Mylène FARMER : Bertrand LEPAGE (né LE PUT). Cette affaire dont l’ampleur est insoupçonnée de la société a été reconnue en 2008 par Maître Georges KIEJMAN (lettre manuscrite) : l’ancien président de Polygram, Pascal NEGRE, étant concerné au premier chef.
Une vérité connu du CNRS depuis 2022, à faire savoir dans l’intérêt public : 30 millions de francs minimum au profit d’une mafia de l’industrie du disque à mes dépens en tant que chercheuse au CNRS et théoricienne des processus d’humanisation de la conscience et donc au dépens du CNRS.
Depuis 2022, la très grande gravité de cette réalité m’a contrainte à percer cette omerta en utilisant le seul espace public en mesure d’infléchir l’attitude de ses instigateurs à la mesure des personnalités concernées, de l’ampleur de leur imposture et des conséquence tragiques, que seules les instances juridiques du CNRS peuvent désormais contraindre pour le respect l’Etat de droit et de mes droits face aux blocages systématiques, et pire, face aux menaces cumulées, leur nature et leurs méthodes en raison de cette tragédie :
Un crime de sang commis sur une personnalité centrale dans la carrière de Mylène FARMER qui m’affecte profondément et m’affectera à vie.
Cette situation est exceptionnelle, sans précédant et constituera un phénomène de société que le CNRS se verra dans l’obligation d’analyser se retrouvant lui-même pris dans un processus rendu possible par ce que Guy DEBORD avait prédit dès 1967. La société du spectacle guidée par le consumérisme, en l’occurrence et dans le cas présent l’industrie du disque et du spectacle qui procède de la fabrique du mensonge et dont la finalité est purement lucrative, dépourvue de toute déontologie, d’éthique et de morale, un mépris absolu de l’Etat de droit.
La direction des ressources humaines (DRH) du CNRS est au fait de ce scandale sans précédant, le texte ci-dessous permet d’en prendre connaissance dans les détails et surtout de dresser le constat de l’absence de démenti des avocats des personnes incriminées de grande notoriété publique. Ma page est sous la responsabilité du président du Muséum national d’histoire naturelle sous la tutelle du chef de l’Etat. Elle a pour but la flagrance pour les juristes du CNRS afin de prendre la mesure de l’étendue d’une mafia qui sévit depuis 30 ans et qui concerne le CNRS en raison d’activités frauduleuses de l’industrie du disque (Polygram Music - UMG groupe France), à savoir, des vols et d’exploitation de textes transdisciplinaires encore inédits, et de la nécessité de prendre les mesures qui s’imposent. Que les juristes puissent au moins justifier une demande de clarification à l’absence de démenti des principaux incriminés : la chanteuse Mylène FARMER, l’ex-président de Polygram et ex-PDG d’UMG - France, déchu de ses fonctions le 18 février 2016 (« éjecté ») Pascal NEGRE, l’agent de la chanteuse Thierry SUC et l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT. Mylène FARMER est connue pour avoir des liens d’amitiés « privilégiés » (sic) avec Pascal NEGRE, des liens très particuliers qui expliquent l’ampleur de l’omerta et les puissants moyens déployés pour l’entretenir. En 2009, ils formaient un couple uni lors de la remise de la légion d’honneur à cet individu, alors que la nature mafieuse de leurs intérêts communs est connue d’avocats depuis au moins 2005, en particulier de Caroline FABRE-BOUTONNAT via mon ancien avocat. Ces liens sont cachés du CNRS et de la Justice car il y a vol et exploitations d’inédits (1995), révélation (1996) suivie de la mort de l’éditeur-pygmalion de Mylène FARMER (règlement de compte en 1997) sans que le responsable n’ait jamais été identifié par la Justice.
Et pour cause, en 2005 l’avocate m’a renvoyé, via mon avocat et de façon effrayante la responsabilité du décès de cet homme que je ne connaissais pas, Bertrand LE PAGE (LE PUT), l’éditeur-pygmalion de la chanteuse, alors que je n’ai jamais été convoquée lors de l’enquête sur les circonstances du décès pour s’autoriser une accusation aussi grave et aussi lourde de conséquences. Depuis la situation est totalement verrouillée par Pascal NEGRE et par Mylène FARMER.
Une des missions de la DRH : Dans son domaine, elle assure un rôle d’expertise juridique.
Des personnalités qui ont marqué et marquent encore des grandes étapes en lutte contre cette mafia, en soutien ou témoins
Un oncle commissaire divisionnaire de la ville de Paris, ancien inspecteur général de la police des polices, ex- «M. Sécurité» de la direction des Musées de France (1998) ; une haute magistrate du parquet de Paris, substitut du Procureur du Tribunal de Grande Instance de Paris (2001) d’une grande expérience : son père était Roland DEJEAN DE LA BATIE, magistrat, Procureur de la République d’Arras, et son cousin germain Jean DEJEAN DE LA BATIE, vice-président du Tribunal de Grande Instance de Valenciennes (1980), juge au Tribunal de Grande Instance de Paris – président directeur du tribunal de Police de Paris (1989-1990); René LENOIR (directeur de l’ENA, Commandeur de la Légion d’honneur et secrétaire d’Etat à l’action sociale auprès de Simone Veil, à l’initiative d’une importante loi en faveur des personnes handicapées et surnommé l’avocat des exclus, 2001) ; Dom Gérard LAFOND, père abbé d’une abbaye attachée à ma famille (2003) ; Maître Georges KIEJMAN qui a reconnu par écrit un différent entre Polygram, Mylène FARMER et moi-même, spoliée de ma propriété intellectuelle de théoricienne de l’évolution au CNRS (2008) ; Edgar MORIN (2022) et trois avocats successifs, dont le dernier, témoin des effets d’une stratégie criminelle planifiée par un « corbeau » contre mon nom, mes fonctions au CNRS et ma personne et d’un verrouillage d’accès à la vérité toujours d’actualité (2001-2025) à cause de cet homicide commis par ce « corbeau ».
René LENOIR (1927-2017) est le père du philosophe à succès Frédéric LENOIR. Nous nous connaissons, il est au fait de son aide considérable et inestimable dans « l’affaire Mylène FARMER » depuis 2001 dont on lira ici la nature et l’ampleur d’entraves à la manifestation de la vérité très graves dans un Etat de droit et pour l› indépendance de la Justice.
Mon témoignage rendu public sur ma page officielle depuis 2022 a été entendu en septembre 2022 par la direction de mon UMR.
La responsable du service des ressources humaines de la délégation Paris-Centre du CNRS (RRH) m’a reçue en janvier 2023, écoutée et pris connaissance des documents juridiques qui attestent de la véracité de mon propos. Le préjudice moral que je porterai à vie a été reconnu, qualifié de « blessure ». J’ai fait remettre un rapport de 38 pages argumenté avec des faits vérifiables par un juge d’instruction du Tribunal de Grande Instance d’Evry depuis 2001 mais dissimulé au avant d’être découvert en janvier 2016 par la DCRG, accompagné du message d’Edgar MORIN de septembre 2022. Il fut transmis en mars 2023 à la Mission à l’Intégrité Scientifique (MIS) du CNRS composée de 5 membres et je fus reçue par la cellule médicale de soutien psychologique du CNRS, entretien au terme duquel un dépôt plainte fut la conclusion face au cumul de blocages, de dissimulations, d’intimidations puis d’agressions, de rétentions d’informations et autres délits jusqu’au sein TGI d’Evry depuis 2001, visant à entraver « la manifestation de la vérité ».
En janvier 2025, compte tenu de l’absence de démenti de ma page et donc du mutisme et de l’immobilisme flagrant des avocats des personnes incriminées et du comportement de Mylène FARMER devenus intolérables par la manifestation d’un mépris absolu de ma personne, de mes droits et de la hiérarchie des priorités, un nouvel entretien a donné lieu à un nouveau rapport transmis depuis, à des autorités juridiques compétentes du CNRS. Ce rapport permet d’identifier officiellement le vrai responsable du décès, le « corbeau » qui m’a dans son collimateur, et le commanditaire du second vol au CNRS compromis par les effets imprévisibles de la disparition de la conclusion finale de « Chutes et Mémoires », effrayants pour sa sécurité, qui s’est traduit par un plan machiavélique du « corbeau » en novembre 1997 suivi d’une tentative de suicide de Mylène FARMER .
Des instances compétentes du CNRS savent qu’Edgar MORIN a formulé le souhait (message écrit), dès septembre 2022 et après avoir lu ma page, que soit faite « la clarté sur les liens entre Mylène FARMER et Pascal NEGRE » avec mes deux textes ci-dessus encore inédits, lorsque Polygram/Polydor programmait la vente de deux albums qui s’en inspiraient, « Anamorphosée » (1995) et « Mémoires » (1998, dissimulé) et donc avec les liens avec mon activité transdisciplinaire au CNRS.
Mylène FARMER me lit avec une « densité chronique » et un horizon qui peut la conduire aux assises si elle ne mettait pas un terme rapidement à ce mépris de ma personne, de mes droits et du CNRS.
Pourrait-on parler de « providence » ? Géry DAMBRICOURT s.j., mon grand oncle, était le « Provincial » des Jésuites pour la région Champagne et le « bâtisseur » en charge de la reconstruction et modernisation de La Providence d’Amiens où il s’est éteint le 8 mai 1964 et où le président Emmanuel MACRON a suivi sa scolarité. L’établissement a rendu hommage à mon grand oncle en donnant son nom au nouvel amphithéâtre des conférences et des spectacles. Le bon sens veut que mon rapport de 38 pages ait été porté à la connaissance du chef de l’Etat qui nomme le directeur du CNRS en conseil des ministres, et que mon patronyme ne lui soit pas étranger, pas plus qu’il ne l’est du Président François HOLLANDE depuis notre rencontre en janvier 2016.
L’origine : une catastrophe financière de 85 millions de francs
En octobre 1994, Laurent BOUTONNAT, le frère de l’avocate, et Mylène FARMER furent ruinés par l‹échec de leur film « Giorgino » (80-85 millions de francs) avec un emprunt à Polygram (32 %). Pascal NEGRE a donc signé un contrat avec Mylène FARMER et Laurent BOUTONNAT pour l’album qui allait s’intituler « Anamorphosée » et la tournée des concerts en 1996, afin de rembourser leur emprunt (environ 30 millions de francs).
Objectif : donner l’inspiration et le désir à Mylène FARMER pour un bénéfice minimum de 30 millions de francs (des chiffres qui parlent au CNRS).
Un texte sur ma découverte offert à Phréatique et dont je n’ai tiré aucun profit financier, a été piraté au CNRS encore inédit en mai-juin 1995 pour permettre un bénéfice d‹au moins 30 millions de francs à Polygram, et plus encore pour les artistes ruinés (parolière et compositeur), l’accroche du titre avec MON concept hors-norme comme puissant argument de vente.
Ma page est lue par les incriminés et leurs avocats à commencer par ceux de la chanteuse et de Pascal NEGRE (aux relations sans doute sulfureuses depuis que ma page dévoile leur complicité), président de Polygram nommé en 1994 à 33 ans, car à l’heure actuelle, et il suffira de lire les premiers paragraphes pour le comprendre, leur place devrait être aux assises du Tribunal de Grande Instance de Paris pour entrave préméditée à l’identification du responsable de l’homicide de son éditeur pygmalion Bertrand LEPAGE en 1997. En effet, Mylène FARMER et Pascal NEGRE, président de Polygram en 1997, ont dissimulé aux enquêteurs et d’un commun accord prémédité, les liens entre le titre de son album « Anamorphosée » et mon texte « Paysages mentaux des racines évolutives humaines » exploité à mon insu l’été 1995 à Los Angeles encore inédit et donc piraté dans une Unité de Recherche Associée du CNRS (URA 184 CNRS en 1995).
Le piratage dans le laboratoire facilement identifiable dans la presse : un laboratoire Unité Mixte du CNRS-Muséum national d’Histoire naturelle
Il y a donc eu un piratage de mes fichiers avec une effraction du laboratoire d’anthropologie de l’URA 184 du CNRS hébergé à l’Institut de paléontologie humaine qui en est également le siège (actuellement UMR 7194 CNRS). Sa localisation était facilement identifiable. Au moment de l’échec commercial du film en octobre 1994, j’étais dans la revue Nouvelles Clés en photo dans ce laboratoire puis en avril 1995 dans Actualités Religieuses dans le Monde (ARM). La serrure avait été forcée précisément à cette époque de l’année 1995 sans que nous n’ayons jamais compris le motif. 10 ans plus tard, j’ai eu confirmation de mes conclusions par le comportement scandaleux de l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT, que Bertrand LEPAGE été le « pirate », je ne le connaissais pas contrairement à ses certitudes bien commodes pour se débarrasser du scandale et le renvoyer au CNRS !
C’était un inconnu dans ma vie, je n’ai jamais eu affaire à cet éditeur, le pygmalion de la chanteuse, et l’homicide à cause du vol, dont je suis consciente depuis plus de 20 ans, m’est une réalité extrêmement pesante et douloureuse (effrayante), à laquelle s’ajoute une insensibilité de Mylène FARMER, une absence totale de compassion malgré mes nombreuses lettres qui se sont succédées depuis novembre 1996. Je n’étais pas la seule à avoir conscience de cette double horreur de ses déficiences émotionnelles, des lettres de proches, désormais défunts, l’attestent : l’homicide et les manquements professionnels de Mylène FARMER les plus élémentaires à n’avoir jamais vérifié par elle-même si Bertrand LEPAGE avait un contrat avec moi-même avec mes titres et fonctions de chercheur au CNRS en mai 1995.
Pascal NEGRE, président de Polygram au moment des faits, était et est totalement compromis par la vente de cet album « Anamorphosée ».
Une réputation sulfureuse
La réputation de Pascal NEGRE est de plus en plus sulfureuse depuis le récent documentaire (mars 2025) de la coréalisatrice Anne-Sophie JAHN, « De rockstar à tueur Le cas Cantat » (Netflix), ce témoignage effrayant de Pascal Nègre qui nie le féminicide commis sur l’actrice Marie TRINTIGNANT, la froideur d’un financier, l’ancien patron de la maison de disques Universal, Pascal Nègre (Le Point), » Un mot tabou pour Pascal Nègre dans ce documentaire sur Cantat, malaise de Pascal Nègre dans le documentaire, ce terme qu’il refuse d’employer près de 22 ans après la mort de Marie Trintignant » (Téléstar). En 2012, cet individu était déjà décrit comme un autocrate, un caractériel « usant et sans pitié » qui perd son sang-froid, qui traite « d’autistes » les « pirates » de l’industrie qui ne cèdent pas à ses injonctions et à qui « il faut casser la gueule » (sic).
Mais il y a pire, Pascal NEGRE maintient depuis 28 ans, avec la complicité consentante de Mylène FARMER, son propre tabou sur la nature du décès de Bertrand LEPAGE, un homicide lié à l’exploitation illégale de Polygram/Polydor de mes deux inédits volés au CNRS, et sur la barbarie à mon égard qui s’en est suivie.
Pascal NEGRE et Mylène FARMER sont toujours sous contrat, cet individu a annoncé qu’elle avait accepté la commande d’une « prestation exceptionnelle » par les organisateurs du festival de Cannes 2025 pour son ouverture le 13 mai 2025 alors que ses avocats savent qu’elle est hors-la-loi vis-à-vis du CNRS, qu’elle protège le « corbeau » auteur de l’homicide au profit de sa carrière, de son icône, de son image auprès de ses ex-collaborateurs-trices, et de ses intérêts financiers. Son devoir est de permettre la réouverture de l’enquête, sa place est devant un juge d’instruction, elle n’avait pas à être au festival de Cannes, même le temps d’un saut de puce pour y chanter sa « Confession » écrite in extremis.
Il m’a bien a fallu admettre la fin de mes illusions avec mes reliquats de naïvetés encore en janvier 2020 parvenant à la faire inviter par l’éminent Pr. Henry de LUMLEY, à visiter l’Institut de paléontologie humaine parce que Mylène GAUTIER alias FARMER appelait encore à son secours : « et moi dans ma prison de verre je ne sais plus comment faire » (DESOBEISSANCE, anamorphosé sur AN, 2018): en réalité c’est une escroc hors-norme, une manipulatrice égocentrique totalement dépourvue d’empathie humaine (incapacité à se mettre à la place de l’autre, incapacité ou mauvaise foi à réaliser ses propres erreurs, et donc leurs conséquences tragiques et blessantes pour l’être de l’autre, à tout ramener à sa personne).
L’instrumentalisation du star-system et absence de prescription
La réalité est délibérément masquée par l’instrumentalisation du star system avec l’entretien du culte de sa personne (festival de Cannes mai 2025, hommage à Alizée mais égocentrée sur sa personne, juin 2025). Ses avocats le savent, à commencer par Caroline FABRE-BOUTONNAT qui lit ces lignes pour une bonne raison. Le bon sens ne peut s’appuyer que sur des personnes raisonnées, concernées car incriminées au premier chef. J’accorde plus de rationalité à l’avocate qu’à la chanteuse Mylène FARMER qui a reçu en décembre 2019, puis en janvier 2020, une invitation à venir visiter les collections de l’Institut de paléontologie humaine en ma présence et particulièrement valorisante eu égard à ses questionnements existentiels, de la part du Pr. Henry de LUMLEY. En effet, Mylène FARMER avait contacté auparavant et de vive voix, son secrétariat. L’invitation fut adressée en RAR à la société Requiem Publishing, commune à Mylène FARMER et à Laurent BOUTONNAT et dont le siège est l’adresse de sa sœur avocate. Il n’y a jamais eu de réponse. L’avocate sait le motif : il n’y a pas prescription et elle est la première bien placée pour savoir qu’il est question de graves rétentions d’informations à cause de l’homicide commis par un « corbeau » qui a des raisons personnelles de m’avoir dans son collimateur et identifiable (et identifié depuis 2001).
Je me fie donc au bon sens : l’évidence de son attention soutenue à mes lignes pour ne plus avoir à « faire les frais » de comportements de la chanteuse Mylène FARMER qui échappent à la raison, à la rationalité et aux conséquences particulièrement dramatiques en raison de son égocentrisme narcissique et exhibitionniste.
Mylène FARMER, née GAUTIER MARTIN, n’est pas la citoyenne honnête qu’elle entend faire valoir avec ses apparitions très contrôlées. J’en fus la première incrédule, puis sidérée et profondément blessée par ses comportements et propos tenus à mon encontre, qui me sont parvenus en 2001 grâce à la haute magistrate du parquet de Paris, substitut du procureur de la République de Paris en lien avec cet homicide, propos non seulement extrêmement blessants mais effrayants par ce qu’ils me révélaient à découvrir sur le tard (4 ans après les faits).
Les seuls signes qui permettent de penser que les avocats parviennent à contraindre la chanteuse à reconnaître ses torts auprès du CNRS et ses très graves délits, sont un comportement contraire aux attentes d’une star qui se présente comme l’icône de la chanson française au-dessus de tout soupçon : aucune interview pour la presse ou un plateau TV dans le cadre du festival de Cannes 2025. Elle n’y avait pas sa place, ses avocats le savent. Pour autant ce n’est pas ce qui aura arrêté la chanteuse plus attirée par les marches du festival au côté de Juliette BINOCHE-STALENS pour chanter une rapide « Confession » que par ses devoirs civiques en passant à l’acte auprès du CNRS, une « confession » qui serait plus iconoclaste et désastreuse pour certains fans si elle donnait les clés de lecture (ceux-celles qui ne tolèrent pas un mot de travers sur leur « déesse », un journaliste critique de Télé Star avait reçu des menaces de mort). Elle ignorait, avant de me lire, que la présidente du festival est la nièce de mon collègue Henri STALENS (décédé en 2019), docteur en paléontologie humaine la même année que moi-même en 1987 et qui publiait encore en 2016 sous la direction de l’éminent Pr. Henry de LUMLEY.
Quand la réalité dépasse la fiction : l’industrie du disque (Polygram/Polydor), vols d’inédits dans une unité mixte CNRS-Muséum national d’Histoire naturelle, recels, albums « Anamorphosée » et « Mémoires » illégaux, homicide, corruptions, violations de laboratoires d’Etat, entrave à la progression d’enquête policière avec dissimulations, obstruction à la « manifestation de la vérité » au sein même du TGI d’Evry
Une omerta gravissime est entretenue depuis novembre/décembre 1996 : les carrières de la chanteuse Mylène FARMER et de Pascal NEGRE, l’ex-président de Polygram-Music et dont Polydor était une filiale, PDG déchu d’Universal Music Group- France le 18 férvier 2016, avec lequel elle s’est liée « d’amitié ». Depuis 2016, Pascal NEGRE gère la communication de ses activités phonographiques, autrement dit toute production sonore de sa voix, dans le cadre d’un contrat avec sa société hashtagNP. Ces deux carrières sont inséparables de la mienne au CNRS depuis 1995 et de leurs liens avec l’homicide en juin 1997 de son manager-éditeur-pygmalion Bertrand LEPAGE, un inconnu dans ma vie et qui pourtant m’a été renvoyé par l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT en 2005 contre toute attente et sans aucun ménagement, mon avocat de l’époque en fut extrêmement choqué. Alors qu’il lui demandait de transmettre des questions pour Mylène FARMER sur mon texte « Paysages mentaux », son album et les liens avec Bertrand LEPAGE et son décès, celle-ci commença par refuser sans même en prendre connaissance et lui renvoya que c’était PLUS MON problème que celui de Mylène FARMER ! (document juridique vérifiable et connu des agents du CNRS). L’avocate était convaincue que je connaissais Bertrand LEPAGE, qu’il m’avait contactée et que la cause de l’homicide était de mon côté, du côté du CNRS. Mon avocat a dû forcer sa tentative d’obstruction pour qu’elle comprenne qu’elle commettait plus qu’une méprise, c’était une très grave diffamation : le problème était et est toujours que Mylène FARMER n’aurait jamais pu exploiter mon texte avant son édition s’il n’avait pas été volé par cet éditeur que je ne connaissais pas !
Quelques temps plus tard, l’avocate fit part de son incompréhension : Mylène FARMER restait d’un total mutisme alors qu’elle ne pouvait pas la traiter comme une journaliste embarrassante, un mutisme totalement contradictoire avec ses propres propos effrayants à mon encontre qui m’avaient été rapportés quatre plus tôt en 2001 grâce à la haute magistrate du parquet de Paris et que je révèle sur ma page ci-dessous. Les questions ont été transmises pendant 3 ans (2005 à 2007), sans que jamais la chanteuse démente avoir exploité mes deux textes, par contre elle s’est enfermée depuis dans un mutisme total sur la façon dont elle les avait reçus et par qui !
Et pour cause, en mars 2005 on lit sur le site de la Fnac le texte de son imposture : « Le retour réussi de la chanteuse emblématique : Exilée à Los Angeles, Mylène Farmer se remet doucement de l’échec commercial du film «Giorgino», dans lequel elle tenait le rôle principal. Toujours en compagnie de son compositeur de toujours Laurent Boutonnat (…). Mylène nous fait découvrir une nouvelle facette de sa personnalité. Textes toujours aussi réussis et mystères toujours présents, l’album rencontra un énorme succès avec + d›1million d’exemplaires vendus ( !) porté par les singles « California », « XXL » ou « Rêver ». »
Ce n’est pas un mystère, c’est une immense imposture juridico-culturo-financière. L’origine du titre est caché à la Justice et la cause du décès est leur problème mais ils refusent encore que la Justice le reconnaisse officiellement.
Depuis, la situation est totalement verrouillée. Le vrai responsable est identifiable, devenu depuis un magnat de l’industrie du disque avant sa destitution en 2016.
Mais l‹effarante « fabrique du mensonge » est toujours en vigueur, le profit du vol de concept d’une chercheuse du CNRS, dans une laboratoire mixte CNRS- Muséum national d’Histoire naturelle encore inédit, est toujours d’actualité. En juin 2025 la vente illégale par le store Universal de l‹album escroc « Anamorphosée » est toujours ACTUELLE : « en exclusivité » sous la forme d’un digipack en « édition deluxe« avec le livret (éditions des textes illégaux) en reprenant le texte imposteur de 2005.
Ces vols d’inédits n’ont pas été commis au profit d’une recherche fondamentale, mais pour une industrie dont les bénéfices se comptent en milliards de francs puis d’euros, l‹industrie du disque avec Universal Music Group France, du spectacle musical et des clips.
Tout agent de l’Etat, ou autre citoyen à commencer par des avocats, en possession d’informations dissimulées lors d’une enquête dans le but d’entraver la manifestation de la vérité, a le devoir d’en faire part à la Justice. Or au moins une avocate est dans ce cas de figure, Caroline FABRE-BOUTONNAT depuis 20 ans.
Son air psychotique (…) à la limite de la psychose
L’avocate connait Mylène FARMER depuis ses débuts (1984), ex-compagne de Laurent BOUTONNAT, elle connait son profil psychologique choisie par son frère à cause « de son air psychotique (…) à la limite de la psychose ». L’avocate a fuit ses responsabilités de femme de loi sachant en outre que la chanteuse est sujette à des troubles psychotiques reconnus par la chanteuse elle-même (1988) :
« J’ai le sentiment d’être paranoïaque depuis très longtemps, et le succès n’a vraiment rien changé à ça. Les gens m’ont toujours fait peur. »
Un profil psychologique : « Ce que Mylène FARMER a à dire, elle le dit dans ses chansons, ses clips et ses livrets » dixit Pascal NEGRE
Je ne connaissais rien du profil psychologique de la chanteuse, je l‹ai découvert progressivement contrainte de m’informer. J’ai été accompagnée et soutenue par plusieurs personnes, témoins de sévices psychologiques perpétués au fil des ans, prise dans un engrenage qu’elle seule a déclenché à mon insu et dont elle ne parvient pas à se défaire, tant qu’elle refusera de passer par les voies de la Justice. A cause de cette irresponsabilité, elle m’entraîne de façon chronique dans un destin très dangereux par son manque de transparence et surtout par sa très grande proximité avec le responsable de l’homicide, identifiable, identifié et toujours en liberté.
Je refuse impérativement de léguer à mes héritiers un dossier aussi grave que non soldé. Les sévices psychologiques sont réels, le CNRS en est aussi le témoin depuis 2022, ma liberté d’écriture est une réelle lutte sans complaisance contre une mauvaise foi et une omerta collective afin de la contraindre à se saisir d’avocats auxquels je renvoie les évidences de ses délits et sévices.
Les témoignages sont nombreux, des lettres manuscrites, entre autres celle du père abbé Dom LAFOND d’une abbaye liée à ma famille paternelle : « elle se moque de vous » (2003), révélant leur reconnaissance de la dangerosité d’un comportement perverti qui se sert de chansons, de clips et de livrets pour tenter de se sortir d’un mode de communication que personne ne lui avait demandé, qu’elle a elle-même créé en évitant les tribunaux à cause des conséquences tragiques et dramatiques. Ma propre mère et la haute magistrate du parquet de Paris qui me connaissait depuis l’enfance, furent très inquiètes (lettres manuscrites) pour ma propre sécurité. Le rôle de la haute magistrate fut décisif en permettant de mettre à jour une effroyable machination du responsable de l’homicide dont je suis devenue la cible et toujours dissimulée par des verrouillages au profit de la chanteuse, de son icône à ne pas souiller, de ce responsable et de leurs intérêts financiers faramineux.
***
« Un secret bien gardé »
En 1999 j’ai découvert le nom de Bertrand LEPAGE lors de la révélation de sa mort, intitulée « un secret bien gardé » (Platine), le mot suicide n’a jamais été publié, le secret concerne la nature de sa mort et non son décès en tant que tel. J’ai également découvert l’effroi que l’évocation de son nom provoquait lorsque je remettais un document pour Mylène FARMER à un employé du staff de son agent Thierry SUC. Il hurla, il ne fallait jamais mentionner son nom devant la chanteuse. Il m’a alors appris que Mylène FARMER a fait une tentative de suicide en rapport avec ce décès.
L’homicide est donc indissociable de sa carrière et l’avocate n’a pas douté qu’elle en soit responsable, mais « moins » que moi-même ! La date, l’année et la nature du décès ne sont pas publiques. L’omerta sur l’homicide et sur l’enquête privée d’informations clés est un fait. Par recoupement j’ai fini par comprendre que cet homme est mort par balle, avec coups et blessures au début du mois de juin 1997.
« Mylène c’est une mygale, elle m’a tué, c’est la fin du pygmalion »
La dangerosité des comportements de Mylène FARMER n’est pas une vue de l’esprit. J’en veux pour preuve une réaction de Bertrand LEPAGE à Libération à la sortie de l’album « Anamorphosée » en octobre 1995, cet homme était dans un état de frayeur pour sa propre sécurité « Mylène c’est une mygale, elle m’a tué, c’est la fin du pygmalion ». Il lui fit comprendre ainsi que s’il lui arrivait un drame, à cause du livret de cet album, elle serait la suspecte et il en laissait ainsi un avertissement médiatique.
C’est exactement ce qu’il s’est passé et il est probable que des proches du défunt restent convaincus de sa part de responsabilité dans l’homicide pour la raison qu’elle le dissimule encore, alors qu’elle libérerait sa conscience à faire savoir la vérité à la société civile.
Mes deux enveloppes : novembre 1996 (deux lettres dont une à en-tête de l’URA 184 CNRS) et 26 mai 1997 (Polygram/Polydor).
J’avais écrit deux lettres pour Mylène FARMER, une en date du 22 novembre 1996 via son agent Thierry SUC (TS3) et la seconde en date du 26 mai 1997 via Polygram dont Pascal NEGRE alors âgé de 36 ans était le président, un individu qui a très mauvaise presse, violent et qui perd son contrôle verbal qualifiant les pirates « ›d’autistes » auxquels « il faut foutre un coup sur la gueule, ça les calme ». C’est un autocrate, un des arguments pour justifier son éjection d’UMG-France en 2016 par Vincent BOLLORÉ.
2001 : la révélation d’un « corbeau » à la direction de Polygram qui m’a dans son viseur
En 2001, j’ai découvert, grâce à la haute magistrate du barreau de Paris, avec effroi et horreur que je suis victime d’un « corbeau » qui a détourné les soupçons d’homicide sur ma personne auprès de la chanteuse. Cette réalité est la clé de voûte de tout l’édifice criminel mis en place par ce « corbeau » qui est, lui, le responsable de la mort de l’éditeur et qui a des raisons personnelles de se focaliser avec autant de criminalités sur moi-même en ayant agi directement sur l’état de psychose de Mylène FARMER depuis l’homicide.
Mylène FARMER réagissait avec les illustrations d’un livret confié à un graphiste Eric de Com’NB (Henry NEU) qui a transmis ses propos à un proche de la haute magistrate : il connaissait mon nom ! elle « ne savait pas comment se débarrasser » (sic) de ma présence car je l’aurais menacée avec, entre autres, des photos de femmes nues qui la concernent et accusée de plagiat ! On ne plagie que des textes édités en étant capable de donner les références éditoriales, en outre cette accusation est une calomnie, la chanteuse est incapable à ce jour de montrer une telle lettre à un juge d’instruction. Cette clé de voûte de l’imposture et du crime de sang est reprise plus bas.
Je suis donc victime d’un « corbeau » qui sait très bien qui je suis - et il n’a pas été difficile de comprendre son identité et ses motivations !
L’objectif du vol de « Chutes et Mémoires » (1997) par le responsable de l’homicide
J’ai compris que le responsable de l’homicide a commandité le vol de mon second inédit « Chutes et Mémoires » en juillet 1997, quelques semaines après son acte criminel pour le donner à exploiter à Mylène FARMER mais aussi à des « paroliers » de filiales autres que Polydor (voir plus bas « En larmes bleues, en bleu final » (1999)).
La chanteuse, certainement en état de choc et angoissée, devait remplir ses contrats avec Pascal NEGRE dont l’urgence était qu’elle ne soupçonne aucun lien entre l’homicide et mon texte de 1995 pour Phréatique.
Celui qui n’allait pas tarder à devenir le « corbeau », avait crée une diversion détournant l’interprétation de la cause de l’homicide vers la conclusion expéditive d’un règlement de compte crapuleux avec son ancienne activité dans le mannequinat pornographique (photographiée par Christophe MOURTHÉ avec des femmes nues entre 1984 et 1986, un ami de Bertrand LEPAGE).
Mon second inédit volé dans unité mixte du CNRS a été dispatché et certainement pas à l’insu du Président de Polygram, Pascal NEGRE, l’autocrate « qui casse la gueule aux pirates » ! la commande du vol étant consécutive à l’homicide sans aucune trace de contrat entre la société des éditions LE PAGE et moi-même.
Pascal NEGRE et ami « intime » de Mylène FARMER, aurait exigé de voir le contrat, il n’a rien exigé car il est lui, le commanditaire du second vol. Le responsable de l’homicide, le « corbeau », le commanditaire du second vol et le responsable en amont de Polydor et autres labels de l’industrie du disque, qui a des raisons personnelles de m’avoir dans son collimateur et incapable de montrer un contrat au CNRS, est Pascal NEGRE, le grand patron de Polygram compromis par l’illégalité de « Anamorphosée ». Une seule et même personne concentre tous les pouvoirs, c’est Pascal NEGRE, un individu violent, manipulateur, avide de pouvoir et corrupteur.
L’écrire c’est m’en prémunir et permettre la flagrance aux avocats et juristes du CNRS : il ne me dément pas et n’attaque pas ma page avec ses avocats.
L’effet de la disparition de la fin de « Chutes et Mémoires » : Pascal NEGRE compromis
La disparition de la partie finale de mon texte a brutalement compromis Pascal NEGRE. Il savait donc la véritable destination de mon texte pour « Phréatique », il était donc en possession de mon dossier piraté pour la seconde fois. Le « corbeau » savait donc parfaitement que le texte était pour « Phréatique » et que je n’avais jamais eu de relations avec l’éditeur Bertrand LE PAGE. Il savait que l’album « Anamorphosée » est une arnaque, sa mise en vente illégale et Polygram compromis.
Le « corbeau » savait, et sait toujours, qu’il n’avait aucune preuve d’un contrat entre moi-même et Polygram/Polydor à montrer à la chanteuse. Son urgence était de se prémunir de la réaction de Mylène FARMER qui allait lui demander des comptes. Demander des comptes à celui qui lui a donné mon texte « Chutes et Mémoires » sans se sentir dans l’obligation de lui montrer un contrat, c’est les demander à Pascal NEGRE, le patron autocrate de Polygram qui entendait tout contrôler et tout décider seul.
Sa priorité était que Mylène FARMER me fuit au lieu de me demander aussi des comptes via Caroline FABRE-BOUTONNAT.
La date de l’enveloppe anonyme du « corbeau » et son contenu : des lettres de Mylène FARMER à Bertrand LEPAGE datées de 1995 avec des traces de coups et blessures
J’ai compris que le « corbeau », pris de panique en découvrant mon texte tronqué, a donc envoyé cette enveloppe anonyme à Mylène FARMER en novembre 1997 rapidement après la découverte de l’absence de la partie finale de « Chutes et Mémoires ». Cette enveloppe contenait les preuves de la cause de l’homicide, à savoir, l’exploitation de mon premier inédit en 1995 avant son édition. Ces preuves sont ses propres lettres manuscrites à son éditeur avec mon nom et mon texte et datées d’avant la publication. Et la preuve de leur provenance, autrement dit de la scène de crime, ce sont des taches de sang. Le « corbeau » a dérobé ses lettres chez l’éditeur au moment de l’homicide car elles le compromettent et elles portent des traces de coups et blessures terrifiants pour la chanteuse.
J’ai compris que la tentative de suicide de Mylène FARMER est consécutive à ce cumul de chocs : l’absence de la partie finale, car elle avait été exploitée bien au-delà de Polydor (voir « larmes bleues en bleu final, on crie vengeance » (1999) puis l’enveloppe anonyme avec ses propres lettres tachées de sang, autant écrire que le but de Pascal NEGRE était de lui faire croire que la césure était une préméditation de ma part suivie d’une menace de mort.
Elle n’a donc pas été surprise que je puisse être l’expéditrice et animée des pires intentions à son égard puisqu’elle n’en a pas douté et a vécu cette agression comme « logique » de ma part avec une réaction terrifiante en 2001 : elle a réagi en sorte de mettre ma vie en danger, à savoir, m’exposer aux plus fanatiques de ses fans, la moindre critique étant vécue comme un blasphème qui se traduit par des menaces de mort.
C’était cela, son soi disant « message » dans le livret de « Les Mots » (2001), une photo d’elle exhibitionniste décrite plus bas (vulgaire, malsaine et perverse): une grande psychotique qui n’en fuit pas moins la Justice : elle était prête à rendre publics ses propos accusateurs tenus à son graphiste Eric sans « garde fou », en me renvoyant la responsabilité de sa tentative de suicide. J’explique ci-dessous que ce n’était évidemment pas le but escompté du « corbeau », car Mylène FARMER et l’unique suspect - Pascal NEGRE - se seraient retrouvés aux assises. Le « corbeau » est donc un ami vraiment très intime qui a obtenu un mutisme total de la chanteuse, donc une complicité de sa part qui le protège, qui dure encore et qui me laisse exposée à cet assassin.
La peur panique de Pascal NEGRE en septembre 1998 et la dissimulation de « Mémoires » : un commissaire divisionnaire de la ville Paris.
Découvrant l’annonce du titre du prochain album « Mémoires » enregistré l’été à Los Angeles, j’avais envoyé via Polygram la preuve manuscrite de l’origine éditoriale de la césure, elle était de la main mon oncle commissaire divisionnaire de la ville Paris, poète et ami du rédacteur de Phréatique. J’imagine la décomposition de Pascal NEGRE : il n’était plus possible de la convaincre que j’avais prémédité la césure après avoir offert le texte : elle n’avait pas à réagir à la césure car elle n’avait pas à la connaître ! Mon texte était inédit et pour Phréatique comme en 1995. L’album « Mémoires » depuis est dissimulé et Mylène FARMER dans un mutisme total sur la cause de cette « disparition » d’un commun accord avec Pascal NEGRE malgré le coût des frais engagés à Los Angeles. Laurent BOUTONNAT et sa soeur avocate ne le sont jamais su.
Le « corbeau » identifiable par la confrontation et les témoins à charge : l’unique suspect est Pascal NEGRE
Le « corbeau » est identifiable depuis son acte criminel et barbare dans son procédé mais que Mylène FARMER s’est bien gardée de faire savoir à la Justice, elle a toujours eu besoin de Pascal NEGRE pour lui offrir rubis sur l’ongle des shows comme NEVERMORE (2023-2024) à 65 millions d’euros, la corruption ne l’a jamais contrariée.
J’ai compris que Pascal NEGRE est le « corbeau », âgé de 37 ans au moment des faits, gravement compromis en tant que président de Polygram. Si ses avocats qui lisent ma page avaient un autre « candidat » elle aurait été effacée depuis 3 ans ! Il leur faudra donc argumenter la raison pour laquelle la hiérarchie des priorités est bafouée au profit des intérêts financiers de l’industrie du disque, du spectacle (NEVERMORE) et du cinéma (son film pour Pathé) depuis que ma page est publique, soit 2022.
La démonstration de l’identité du « corbeau » est lisible ici et dans un rapport pour le CNRS depuis 2023.
Agent du CNRS et témoin-clé pour identifier le responsable de l’homicide commis sur Bertrand LEPAGE l’éditeur-pygmalion de Mylène FARMER
Ma mémoire et ma conscience font trace avec un fil rouge, je suis la témoin-clé depuis 1997 pour élucider le destin tragique de cet inconnu dans ma vie, destin encore inédit mais inoubliable et qui finira par être édité tant le scandale de l’omerta et des moyens déployés suscite l’écœurement et désormais l’indignation au sein d’instances du CNRS : l’éditeur-pygmalion de Mylène FARMER, Bertrand LEPAGE a été retrouvé mort par balle en juin 1997 peu après une invitation que j’avais envoyée via Polygram (rue des fossés Saint Jacques, Paris), pour assister au colloque de l’UNESCO « Sciences et quête de sens ». La date et la nature du décès sont cachées à la société, pire, les circonstances sont encore dissimulées à la Justice et le vrai responsable toujours protégé d’une confrontation avec moi-même devant un juge d’instruction par de nombreuses complaisances et depuis 2001 par des agissements occultes au sein du Tribunal de Grande Instance d’Evry (voir plus bas).
Tout est démontré, reconstitué et vérifiable par une instruction et lisible publiquement sur ma page. Le nom du « corbeau » est lisible dans une information déposée au TGI d’Evry depuis 2001 jamais démentie mais dissimulée, ainsi que dans mes rapports pour les juristes du CNRS et ici sur ma page afin de m’en prémunir pour l’avenir : Pascal NEGRE. Cet individu a des raisons de me lire au même titre que Mylène FARMER, Caroline FABRE-BOUTONNAT et son frère Laurent BOUTONNAT, le compositeur des deux albums « Anamorphosée » et « Mémoires » et qui ne me démentent pas en exigeant la disparition de ces lignes. La flagrance est phénoménale et plusieurs agents du CNRS l’ont constaté et compris que mon propos est fondé: très grave pour les incriminés, Pascal NEGRE aurait déjà réagi avec son caractère autocrate s’il n’était pas le « corbeau ».
Mylène FARMER a toutes les raisons de me lire, ne serait-ce que suite à l’invitation prestigieuse du Pr. Henry de LUMLEY avec mon nom pour la recevoir, en date de janvier 2020 et à laquelle elle n’a pas répondu, alors que c’est elle qui avait contacté en personne son secrétariat.
Des manques de discernement et de bon sens élémentaire: Bertrand LEPAGE avait une collaboratrice
L’absurdité d’un envoi de mon second texte « Chutes et Mémoires » à Pascal NEGRE avait échappé à Mylène FARMER. Si j’avais eu un contrat avec la société « BERTRAND LE PAGE Music Editions » (Paris), ce n’est pas par Polygram qu’elle recevait mon texte, mais par la collaboratrice de Bertrand LEPAGE, Corinne VAGLIO, co-propriétaire des parts de la société comme l’atteste le PV de l’AGE du 2 mai 1997 (cachet et numéro de dépôt 36813 en date du 15 juillet 1997) - le document est en accès libre sur internet. En 2017-2019 elle était en co-écriture avec Christophe DANCHAUD, ami Mylène FARMER dès l’époque de Bertrand LEPAGE (1989) et chorégraphe depuis 1996. Il lui a tiré le portrait au festival de Cannes 2025 - en ignorant qui elle est vraiment - ce qui démontre bien que cette femme est une grande dissimulatrice qui compartimente ses relations et n’a que mépris pour autrui à cacher son statut de hors-la-loi, son mépris de l’Etat de droit et du sens des valeurs comme: honnêteté, confiance, intégrité, probité, sincérité.
La menace d’une intervention du CNRS est prise au sérieux par ses avocats, puisqu’elle a aussi vite disparu du festival de Cannes 2025 pour Paris. Corinne VAGLIO est un agent d’artiste pour des films comme C’est quoi cette mamie ?!, une distribution France UGC 2019, dont le directeur de programmation est Henri ERNST qui me connait depuis plus de 20 ans. J’avais présenté un hommage à sa mère, une grande amie attachée à l’œuvre de Pierre Teilhard de Chardin, et qui m’avait considérablement soutenue dans cette épreuve effrayante imposée par l’inhumanité égocentrique de Mylène FARMER (nombreuses lettres manuscrites).
Certainement, donc, les avocats de Mylène FARMER me lisent, mais ils restent immobiles comme autant d’aveux de très graves culpabilités de Pascal NEGRE et de Mylène FARMER et devront donc le justifier auprès des juristes du CNRS. Ils auront compris la raison très tardive de leurs sollicitations : malgré un contact personnel avec la fondation Institut de Paléontologie Humaine en 2014 (raison connue de la MIS), Mylène FARMER n’a jamais répondu depuis 2020 à l’invitation prestigieuse du Président Henry de LUMLEY à venir le visiter en ma présence. La raison en est qu› il n’y a pas prescription et qu’elle est complice du blocage de la « manifestation de la vérité » permettant de mettre un nom et un visage sur le vrai responsable de l’homicide qui a détourné les soupçons de meurtre sur ma personne. Le but du « corbeau » : obtenir de Mylène FARMER un détournement de son métier et de ses propres productions à des fins doublement criminelles : me faire fuir pour ne pas avoir à rendre de compte à la Justice, sans exclure de me livrer en pâture aux plus hystériques de ses fans en rendant publics ses propos au graphiste Eric.
Bertrand LEPAGE avait « crié » dans « Libération » l’extrême dangerosité de cette femme qui livre en pâture les personnes humaines qui hantent ses psychoses, Alice, l’araignée au plafond de Bercy (1996) en est la magistrale démonstration. Ce ne sont pas les preuves qui manquent me concernant lisibles ici, avec des témoins à charge, elle nous a livrés Bertrand LEPAGE et moi-même à Pascal NEGRE, dès ma lettre du 22 novembre 1996.
L’arnaque (1995), l’homicide (1997) et la censure d’un hommage au défunt par Pascal NEGRE (1998) : à qui profite le crime ?
Mylène FARMER et Pascal NEGRE (Polygram/Polydor) étaient en contrat en mars 1995 pour l’album enregistré à Los Angeles et qui s’intitulera « Anamorphosée ». Ils le sont encore avec la société HashtagNP fondée en 2016 par ce dernier suite à son éjection de la direction d’Universal Music Group France (UMG) par son principal actionnaire Vincent BOLLORÉ. Cet album avait été composé par Laurent BOUTONNAT, le frère de l’avocate qui m’a renvoyé la responsabilité du décès de cet inconnu, et enregistré/arrangé par Thierry ROGEN qui quitta le projet « suite à des problèmes relationnels ». Cet ingénieur du son fut collaborateur de Bertrand LEPAGE en 1997 pour une jeune chanteuse. Un titre dédié à sa mémoire dans leur album de 1998 produit par Polygram/Polydor, a été censuré par Polygram, sur décision de Pascal NEGRE.
Pascal NEGRE et Mylène FARMER ne veulent pas que le décès et surtout sa nature, un homicide, soit connue des médias, de la société civile et des consommateurs qui l’idolâtrent. L’omerta règne sur les circonstances de la tragédie : à qui profite le crime sinon au responsable qui a des raisons personnelles de détourner les soupçons sur ma personne et fait tout pour le taire, surtout pour que Mylène FARMER se taise et qui ne me démentent pas via leurs avocats et sous les yeux des juristes du CNRS ?
Ma page rend publics et sans démenti de leur part et surtout de leurs avocats qui pourtant n’ignorent pas la hiérarchie des priorités, des noms de personne qui ont intérêt depuis novembre/décembre 1996 - mes premières lettres dont une à en-tête du CNRS, et pire depuis l’homicide en juin 1997, à cacher mon nom, mes titres et mes fonctions au CNRS, pour ne pas compromettre leur notoriété et les intérêts financiers de leur grand capital alors que les délits cachés et cumulés sont gravissimes.
La « dream team » de Mylène FARMER qui inclut sa société « Stuffed Monkey », n’a rien d’une entreprise à l’éthique libérale transparente et vertueuse.
Mylène FARMER et Pascal NEGRE sont en infraction avec la loi
La chanteuse - autrice de la grande majorité de ses chansons - a de très graves contentieux avec moi-même et donc avec le CNRS, cachés à la Justice avec l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT depuis 2005 et reconnus comme tel dans ces termes par feu Maître Georges KIEJMAN dans une lettre à en-tête Kiejman et Marembert Avocats à la Cour qu’il m’adressa le 5 août 2008 et vue par des agents du CNRS, en ces termes : « Chère Madame, (…) m’a bien transmis le dossier relatif aux différents que vous avez rencontrés dans le cadre de vos relations tant avec Polygram qu’avec Mylène Farmer. Compte tenu de mes relations professionnelles passées avec cette dernière et de mes relations professionnelles avec Maître Caroline Fabre Boutonnat, je ne puis vous venir en aide et je vous prie de m’en excuser (…). Bien cordialement à vous. Georges Kiejman ».
Je n’ai jamais eu de relations avec Polygram et Mylène FARMER. Elle n’a jamais répondu à aucune de mes lettres depuis novembre 1996 via Thierry SUC puis Polygram en 1997, lui demandant avec respect si elle avait lu mon texte publié Paysages mentaux et s’il y avait un lien avec Anamorphosée. Restées sans réponse, j’ignorais si elle me lisait ou si mes lettres étaient jetées. Ce sont des agressions incompréhensibles et ces calomnies effroyables qui m’ont révélé en 2001 que j’étais victime d’effrayantes malversations à mon insu. Ce ne sont pas des « différents », ce sont des actes criminels perpétrés au sein de Polygram dont j’ignorais la manifestation et des accusations gravissimes de Mylène FARMER contre mon nom et dont j’ignorais l’existence.
Je suis victime d’un « corbeau », de très graves calomnies de Mylène FARMER auprès du graphiste en 2001, et pire je me suis reçu le renvoi encore plus grave de la responsabilité du décès par cette avocate si proche de Maître Georges KIEJMAN. Depuis je subis leur absence de démenti de l’exploitation illégale de mes deux inédits pendant 3 années de questions : 2005 à 2007 jamais suivie d› une régularisation avec le CNRS et proposition de dédommagements !
Une lettre de cette importance met les juristes du CNRS devant la reconnaissance de l’authenticité d’une sorte de « contentieux malgré moi » avec Polygram (Pascal NEGRE) et Mylène FARMER, qui me concerne et concerne donc mon organisme employeur, par l’un des avocats les plus renommés du barreau de Paris. Il est donc question de l’homicide de son éditeur pygmalion Bertrand LEPAGE (né LE PUT) lié au vol dans une unité mixte du CNRS, de mes deux textes encore inédits, « Paysages mentaux des racines évolutives humaines » vers juin 1995 et « Chutes et Mémoires » vers juillet 1997 peu après le drame, et dont l’exploitation sous forme de chansons et de livrets avec leur enregistrement à Los Angeles financé par Polydor, filière de Polygram (Pascal NEGRE) est totalement illégale.
C’est une très grave atteinte à l’Etat de droit de la part d’avocats qui lisent ma page depuis au moins 2022, de laisser ces escrocs tromper des centaines de millier de spectateurs consommateurs des shows de NEVERMORE, « le corbeau » libre au milieu du public, de les laisser vendre l’album et le DVD du film (2024), alors que ce sont des imposteurs sur fond de crime de sang dissimulé et l’assassin en liberté.
L’accès à la vérité n’est toujours pas engagé par les avocats de Mylène FARMER auprès du CNRS malgré ma page non démentie
Cette avocate et Mylène FARMER ont procédé à une très grave rétention d’informations auprès du Tribunal de Grande Instance qui a mené l’enquête en juin 1997 et qui avait délivré le permis d’inhumation sans que ni Pascal NEGRE, ni Mylène FARMER n’aient jamais été confrontés avec moi-même. Le TGI a clôt l’enquête sans m’auditionner.
En 2005, lorsque mon avocat de l’époque chercha l’identité de l’avocat de la chanteuse, il y eut en réalité une double tentative d’obstruction de l’avocate auprès : 1) de Maître Georges KIEJMAN qui n’a pas cédé en donnant ses coordonnées puis 2) de mon représentant. Alors que je n’ai cessé de subir des agressions incompréhensibles peu de temps après la publication de « Chutes et Mémoires » tronqué (1997, 1998), un coup de fil anonyme lisant une lettre pour Mylène FARMER alors qu’elle venait d’être postée (fin 1998), des intimidations peu après la révélation du décès (1999), me découvrir victime d’un corbeau en 2001 qui a détourné les soupçons de meurtre sur ma personne !!! j’apprenais donc avec sidération et effroi, que Caroline FABRE BOUTONNAT, avocate des intérêts de son frère avec Polydor et Mylène FARMER, a renvoyé à mon avocat ma soi-disant responsabilité du décès de cet inconnu dans le cadre, donc, de mes activités au CNRS, « mon problème plus que celui de Mylène FARMER » !
Contrainte de transmettre mes questions, l’avocate avait donc répondu à mon avocat de l’époque, qu›elle ne comprenait pas le silence de Mylène FARMER ! Je n’étais plus la « menace de mort » et l’accusatrice de plagiat !
Le devoir de l’avocate était non seulement d’alerter la famille LE PUT mais aussi la Justice et d’obtenir la cessation de toute activité professionnelle compte tenu de la dangerosité de ses comportements psychotiques non encadrés, intimement amie du président de Polygram.
Au lieu de cela, elles sont restées emmurées dans un silence pendant trois années (2005-2007) avant que je ne décide d’abandonner devant l’évidente culpabilité de leur côté et leur malhonnêteté ahurissante, et que je me décide à chercher en 2008 l’aide de Georges KIEJMAN pour percer leur effarante corruption. Ces deux femmes et Pascal NEGRE n’ont jamais démenti l’exploitation illégale de mes deux textes, liée de façon flagrante à l’homicide, mais jamais entrepris la moindre démarche d’une régularisation avec le CNRS. Ce sont des hors-la-loi.
J’ai abandonné en 2008, dégoûtée par ces deux femmes et un milieu juridique qui protège des escrocs malgré toutes les preuves en mains et/ou vérifiables qui le démontrent. En 2014 un événement imprévu avait donné quelques espoirs - un appel personnel de Mylène FARMER au secrétariat de la Fondation Institut de paléontologie humaine, mais sans suite. En 2016, un nouvel événement décrit plus bas, a provoqué l’éjection de Pascal NEGRE d’UMG-France. Pour autant la chanteuse est restée sa contractuelle, unis par une « amitié » bien particulière et connue dans ce milieu (« culs et chemises »).
Je n’ai rien à voir avec le défunt inconnu dans ma vie et je n’ai jamais cherché la moindre relation avec cette chanteuse, professionnelle ou autre. Nos carrières sont antinomiques, la mienne est incompatible avec le star system et le culte de la personnalité pour des profits financiers crapuleux en la circonstance.
C’est le vol de mon premier inédit au CNRS et son exploitation illégale qui ont à voir avec le décès, le « problème » est celui de personnes qui n’assument pas la responsabilité de la vente illégale de « Anamorphosée » et qui fuient les juristes du CNRS depuis novembre/décembre 1996, pire depuis l’enquête en 1997 suivi de leur mutisme et immobilisme d’une insolence et d’un mépris absolus pour mes droits, ma personne et l’Etat de droit.
Le secret bien gardé : la date, la nature et les circonstances du décès toujours dissimulés
Bien que le mot suicide n’ait jamais été publié nulle part officiellement, la société civile le croit depuis la très furtive révélation du décès en 1999 par Platine, un secret bien gardé, accusant la chanteuse entre les lignes de porter la responsabilité de la mort de son éditeur. Car si tel avait été le cas, Mylène FARMER, convaincue d’être dans son bon droit malgré l’absence sidérante des preuves d’un lien quelconque avec son éditeur m’aurait désignée comme témoin à sa décharge. L’avocate sait, comme Mylène FARMER et Laurent BOUTONNAT depuis l’enquête, que c’est un homicide. Jamais elle n’a répondu à mon avocat de l’époque « c’est un suicide », « le nom de votre cliente m’est inconnu ».
Il est évident que j’aurais dû être convoquée et que Mylène FARMER dissimule depuis de très graves informations qui la compromettent vis-à-vis de moi-même. L’homicide et l’année sont cachés à la société et aux médias, mais pire encore, les circonstances sont cachées délibérément à la Justice et à la société civile depuis l’enquête et tout a été mis en œuvre par le vrai responsable et la complicité de la chanteuse, pour que la justice ne m’auditionne jamais. Le vrai responsable savait que suite à la découverte de l’homicide et des liens sidérants avec mon inédit, il aurait été confondu et identifié. Au lieu de donner nos deux noms, celui de Pascal NEGRE qui a signé le contrat en 1995 pour rembourser Polygram, et le mien, la chanteuse lui a laissé le champ libre et mon second inédit a été volé et exploité avant son édition - l’avocate Caroline FABRE BOUTONNAT ne l’a jamais nié ! sans que Pascal NEGRE se sente dans l’obligation de lui montrer un contrat avec moi-même et le CNRS.
Elles se taisent depuis 2005 car Pascal NEGRE est dans l’incapacité de leur montrer un contrat depuis qu’il a remis mon texte « Chutes et Mémoires » à Mylène FARMER en juillet/août 1997. Il n’est évidemment pas passé par la direction de Polydor, une filiale, qui aurait demandé à le voir.
En conséquence, Mylène FARMER est actuellement hors-la-loi à cacher au CNRS, à la société, à ses contractuels actuels et passés, aux médias ce « contentieux » toujours d’actualité et ces rétentions d’informations qui entravent l’identification du responsable de l’homicide. La chanteuse et l’avocate refusent encore de porter à la connaissance des juristes du CNRS, toutes les preuves de l’exploitation illégale de mes deux textes, de la vente de Anamorphosée par Polygram/Polydor (Pascal NEGRE, octobre 1995) et de la dissimulation de l’album « Mémoires », depuis l’automne 1998 sur décision de Pascal NEGRE, le titre étant annoncé en août 1998. Auparavant Pascal NEGRE avait déjà imposé la censure du titre en hommage à Bertrand LEPAGE dont le décès n’était pas encore révélé.
L’homicide le contrarie donc tant, étonnant si la direction Polygram n’était pas concernée…
Le Tribunal de Grande Instance d’Evry et les preuves dissimulées sur consigne en très haut lieu
Mylène FARMER a caché à la Justice les preuves de ces agissements d’un « corbeau » qui a détourné les soupçons de meurtre sur ma personne et qui sont connues du Tribunal de Grande Instance d’Evry depuis 2001 comme l’atteste une lettre manuscrite de René LENOIR (1927-2017) ancien directeur de l’ENA (devenue l’Institut national du service public - INSP) et secrétaire d’Etat. Il cite plus d’un passage de Paysages mentaux des racines évolutives humaines dans son livre A la recherche du sens perdu (2005). Sa lettre manuscrite à l’encre bleue et à l’en-tête de son nom en date du 19 juillet 2001, vue par des agents du CNRS « Chère Anne, Le dossier Mylène Farmer a été transmis au procureur de l’Essonne département où vous êtes domiciliée. Vous serez donc probablement convoquée et interrogée ».
Malgré la gravité des propos vérifiables du graphiste Eric de Com’NB (Henry NEU), je n’ai jamais été convoquée et l’explication est simple (voir plus bas)
Les juristes du CNRS peuvent constater cette très grave entrave à la manifestation de la vérité et l’inaction de ses avocats avec ses conséquences : le blocage de l’identification du commanditaire du second vol dans les murs de la fondation IPH, siège de mon unité mixte de recherche CNRS-MuséumNHN, parce que le « corbeau », le vrai responsable de l’homicide est identifiable et que Mylène FARMER en contrat avec lui a des intérêts financiers qui priment de façon flagrante sur son identification, en infraction avec la loi : la hiérarchie des priorités, responsabilité qui m’a été renvoyée sans aucun ménagement et avec un aplomb ahurissant suivi d’un mutisme et d’un immobilisme délictuels et monstrueusement inhumains. Il est question de comportements illégaux, à commencer par la chanteuse Mylène FARMER depuis 1995, de millions de consommateurs à qui elle cache ses sources d’inspiration et leur mode d’accès, de deux albums illégaux dont un dissimulé, et des liens avec l’homicide de son manager-éditeur, aux causes non élucidées depuis 1997, et ce par sa propre dissimulation délibérée de l’origine du titre « Anamorphosée » mais aussi de mon nom, de mes titres et fonctions aux inspecteurs. Elle ne s’en était pas privée par contre, quatre ans plus tard, en 2001, avec le graphiste Eric de Com’NB (Henry NEU) pour justifier le choix de ses photos du livret de son premier Best Of « Les Mots ».
Le « corbeau » est l’assassin qui a des raisons personnelles de m’avoir dans son collimateur. C’est un assassin qui a intérêt à se débarrasser de ma présence dans sa propre carrière et à ce que Mylène FARMER continue de se taire.
La seule façon de percer l’omerta et de contraindre la parole de Mylène FARMER c’est de tout dénoncer sur ma page professionnelle, en particulier ce pervers très dangereux puisque toutes mes démarches avec les représentants de la Justice (avocats, TGI) ont été systématiquement entravées (lettres qui l’attestent). Pascal NEGRE, ex-président de Polygram et PDG déchu d’UMG-France est le « corbeau », il me lit et ses avocats ne me démentent pas en exigeant le retrait de ce texte.
Mylène FARMER, ma métaphore inédite volée et son mannequinat dans la photographie érotico-pornographique
Jamais, dans aucune langue de par le monde, le procédé de l’anamorphose n’avait été élevé au rang d’une métaphore décrivant la perspective du passé, d’une part, d’une vie humaine et de sa conscience, d’autre part, reconstituée par des images, l’ensemble formant les paysages mentaux d’une mémoire humaine : «Dans le rétro, ma vie qui s’anamorphose», c’est ma métaphore reprise dans la langue française, une mémoire humaine qui se voit anamorphosée par la résurgence des clichés de son lointain passé. Ma métaphore en titre de son album « Anamorphosée » : une réalité inattendue pour ma part, avec deux jours de différence entre la revue de Phréatique dans les mains des auteurs le 15 octobre 1995 et l’album « Anamorphosée » dans les rayons le 17 octobre 1995 (Polydor-Universal Music Group France, Pascal NEGRE). Un hasard qui n’en fut jamais un, une attente d’un côté, celle de la chanteuse, Mylène FARMER, qui ne me connait pas personnellement, qui n’a jamais cherché à me rencontrer, à discuter, et surtout qui n’a jamais vérifié ses sources et si elle ne commettait pas une erreur tragique. Les conséquences sont donc d’une gravité extrême, chronique, infernale car toujours d’actualité. La chanteuse était convaincue que je comprendrai l’interpellation de la femme :
»Océan d’ambre, elle marche sans savoir qui elle est, j’irai lui dire que ses yeux ont la couleur de nos cieux » (Eaunanisme); « c’est l’équation ax+b qui fait tilt, qu’on attend comme le messie » (Instant X); « exit petite âme, comme tu me manques, dépressive l’artiste » (Alice) et l’association de ma métaphore avec la photo de première de couverture de son album et celle du coffret maquillée à la dernière minute (de dos exposant sa paire de fesses nues) désignant ce passé dans le mannequinat pornographique.
Mylène FARMER a amalgamé ma métaphore avec ses références érotiques dans le clip le plus cher de sa carrière tourné en 1996 à Los Angeles par Abel FERRARA, « California » : « Dans le rétro ma vie qui s’anamorphose, la chaleur du canon c’est comme une symphonie ». Actualités Religieuses dans le Monde (ARM) avait publié deux grands entretiens, en avril 1995, avec mon nom comme titre, mon portrait en couleur pleine page avec mes yeux verts et mes cheveux déjà blancs, et, en septembre 1995 « L’Homme, cette symphonie inachevée ».
La volonté de dissimuler l’origine de son titre et de faire croire que la métaphore est de son propre fait était déjà flagrante à la sortie de l’album. Mylène FARMER a dit à une revue qui titre :
Un titre d’album pour le moins original.
»L’anamorphose est un phénomène optique qui rassemble les rayonnements épars (…). Je vais plutôt vous donner l’explication que moi, j’ai bien voulu lui donner (…) Ma perception du monde a probablement changé, en tout cas s’est élargie, et l’idée de l’anamorphose… Cette idée que j’ai eu besoin de l’anamorphose pour « reconcentrer » toutes ces idées, toutes ces impressions et ces sensations pour n’en faire plus qu’une. » (15 novembre 1995) : source, le site non officiel des fans.
Il est bien question d’une conscience humaine, de sa perception, sauf que dans son texte, il n’est pas question d’elle-même, tel le cylindre statique au milieu d’une scène difforme. Elle décrit un rétroviseur qui anamorphose son passé.
C’est la conception qu’elle a bien voulu donner de mon concept à son passé érotique, mais en se gardant bien de me citer vues ses ahurissantes confusions à amalgamer ma pensée avec ses photos de fesses nues.
Son attente n’avait aucune raison d’être réciproque. Elle n’avait aucun fondement rationnel et juridiquement authentifiable. Bertrand LEPAGE le savait. Et pourtant, elle fut suivie en 1999 de « larmes bleues, d’un bleu final, sait-on la Dame qui nous peine, éprouve-t-elle un grand chagrin, on crie vengeance, mitrailles, punition », mes « larmes bleues » de « Chutes et Mémoires » tronqué (octobre 1997) - jamais publiées ! sous la plume d’un artiste avec lequel elle avait interprété son premier duo en 1991, feu Jean-Louis MURAT.
Mylène FARMER, Pascal NEGRE et l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT n’ont jamais démenti l’exploitation de mon premier texte, ni de mon second texte, quelques semaines après l’homicide, et avant sa publication, surtout la partie finale supprimée.
Et combien de paroliers l’ont exploitée en faisant aveuglément confiance au couple NEGRE-FARMER ?
Ma première enveloppe avec deux lettres dont une lettre à en-tête du CNRS
Ma toute première lettre date du 22 novembre 1996, elle était à mon adresse personnelle et sous pli dans une enveloppe accompagnée d’une lettre à en-tête de mon unité de recherche CNRS pour son agent Thierry SUC (Tuxedo Tour). L’enveloppe contenait une copie de l’édition de « Paysages mentaux » et cette lettre qui lui demande - avec respect - si elle s’est inspirée de ma métaphore, ignorant encore que l’album « Anamorphosée » produit par Polydor, label Polygram, était paru en même temps et avait été enregistré l’été 1995 à Los Angeles. Jamais l’idée d’un vol de mon texte encore inédit dans mon laboratoire CNRS, ne m’avait effleuré l’esprit. Sans réponse, j’avais écrit une seconde lettre adressée à Polydor, le 26 mai 1997 pour inviter Mylène FARMER au colloque à l’UNESCO « Sciences et quête de Sens », après avoir contacté le secrétariat qui m’avait répondu « c’est important, nous ferons suivre ». Je n’ai jamais eu de réponse, aucun remerciement.
Les mois et les années qui suivirent sont devenues infernales jusqu’en cette année 2025 avec son prestation « exceptionnelle » au festival de Cannes, effarante par le mutisme et l’immobilisme des avocats des incriminés, l’omerta avec la complicité d’avocat et de hauts responsables de la magistrature se voit désormais des juristes du CNRS : le TGI d’Evry, puis l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT, puis Georges KIEJMAN qui n’a pas voulu la contrarier, puis les avocats actuels nécessairement saisis car cette fois, avec ma page professionnelle, les instances du CNRS et Edgar MORIN dont la demande de clarté a été remontée aux services juridiques, c’est l’édifice éminemment corrompu avec un mépris édifiant de l’Etat de droit qui se retrouve ébranlé d’une façon inattendue : des mentalités d’escrocs inhabitués à l’intégrité, à la perspicacité, à l’honnêteté et à la solidarité entre collègues et agents du CNRS incorruptibles et rompus à l’exercice de l’analyse, de la synthèse, et tout simplement, quand l’honnêteté et l’intégrité sont la norme: rompus au bon sens !
L’échec du film « Giorgino » (Laurent BOUTONNAT, octobre 1994), Polygram et le retour de l’éditeur-pygmalion persona non grata de Polydor
Bertrand LEPAGE était venu chercher des sources d’inspiration sur mon lieu de travail, à l’insu de tous : de moi-même, ignorant son existence, d’une part, de la chanteuse et surtout de la nouvelle présidence de Polygram, Pascal NEGRE, d’autre part. Ils connaissaient toutefois sa participation au projet de l’album « Anamorphosée ». L’ancienne direction de Polydor avait chassé Bertrand LEPAGE de la carrière de la chanteuse en 1990 en raison de comportements passionnels et incontrôlables qui la compromettaient.
L’éditeur-pygmalion l’avait recontactée en octobre 1994 suite à l’échec commercial du film Giorgino de Laurent BOUTONNAT avec Mylène FARMER dans le premier rôle et dont le coût s’élevait à 85 millions de francs. La société Stuffed Monkey de Mylène FARMER ruinée, elle tomba en dépression. Bertrand LEPAGE lui avait écrit, elle lui manquait et il lui demanda « de tout recommencer comme avant » (Platine avril 1995). Le chiffre d’affaire de l’album qui devait rembourser Polygram et donc selon un contrat signé avec Pascal NEGRE, celui de la tournée des concert qui suivit en 1996, se devait d’être « astronomique » et pour ce faire, il fallait « booster » la chanteuse, lui trouver une inspiration et donc, une raison d’être qui lui donne le désir et l’inspiration. Or il se fait que ma première grande interview était parue au moment de cette catastrophe financière, en octobre 1994, dans la revue Nouvelles Clés « un magazine de développement personnel et de spiritualité destiné aux créatifs culturels ». Son intérêt pour ma recherche et mon questionnement sur notre identité était cohérent. En 1991 L’Autre a marqué ma génération par des interpellations pertinentes comme « Désenchantée » ou la pertinence de la question du sens, « I am a human being », « Agnus Dei », la pertinence de l’éthique (la notion du bien et du mal). Mais quel rapport avec son passé dans le mannequinat érotique et pourquoi ne m’avoir jamais rencontrée.
Un camouflage in extremis de l’illustration pornographique du coffret Anamorphosée
A la sortie de « Anamorphosée », en octobre 1995, l’attitude de Bertrand LEPAGE avait radicalement changé, il s’exprima dans Libération : « C’est une mygale, Mylène, elle m’a tué, c’est la fin du pygmalion ». La photo initiale au dos du coffret de Polygram/Polydor la montrait exposant sa paire de fesses nues iconiques depuis « Libertine », elle fut camouflée à la dernière minute. L’éditeur avait découvert l’association entre ma métaphore et le passé de la chanteuse dans ce mannequinat. Il savait que l’association était insensée et une cause de violences en puissance, d’autant qu’il avait conscience de sa « trahison » en ayant volé mon texte sans aucune référence éditoriale et inventé de toute pièce un intérêt fantasmatique. Le camouflage in extremis de la paire de fesses de Mylène FARMER associé à ma métaphore déjà lisible dans « California » « dans le rétro ma vie qui s’anamorphose, la chaleur du canon, c’est comme une symphonie » et sa réaction dans Libération étaient déjà la preuve de leurs échanges très tendus à propos de la réalisation du livret et de ses illustrations érotiques qu’elle tenait absolument à associer ma personne et à mon texte. C’est un homme effrayé par la chanteuse qui s’est exprimé et son premier cercle l’avait bien compris. Bertrand LEPAGE, lui, avait compris que Mylène FARMER tenait à ce que je réagisse à cette association et qu‹elle l’attendait en passant par sa « boîte aux lettres ». Il a bien compris les vrais dangers : 1) que je découvre l’album à cause du titre unique dans l’édition et 2) la réaction de Pascal NEGRE, signataire du contrat pour cet album, s’il venait à apprendre le vol à mon insu au CNRS, parce que, si j’écrivais à Mylène FARMER, par son agent, ou par Polygram, elle en faisait état à Pascal NEGRE.
Et c’est ce qu’il s’est passé. J’ai découvert l’album 7 mois après sa sortie à cause de la faramineuse campagne publicitaire pour son show (mai 1996). Malgré mes doutes compte tenu de la forte connotation homosexuelle inexplicable, je me suis décidée à lui écrire 6 mois plus tard en novembre 1996, mais bien trop tardivement par rapport à son attente d’un « écho », quasiment à la fin de la tournée de son show et non par Bertrand LE PAGE, mais par l’agence Tuxedo Tours. Et 6 mois plus tard après mon coup de fil à Polygram et mon invitation à l’UNESCO, la police criminelle trouvait Bertrand LEPAGE mort par balle.
Deux phrases de la chanteuse de 1988 m’éclairent sur cette « folie » dont je serai victime à vie :
»Je pense qu’une relation très dense avec une femme doit passer par une relation physique dont je n’ai pas envie... Peut-être dans certains fantasmes, mais pas dans la réalité des choses. Donc je refuse tout ça complètement. »
« Il y a certainement une part d’éducation religieuse (…) beaucoup de questions sont restées sans réponses et cela correspond maintenant chez moi à une volonté de ne pas constamment se voiler la face comme le font beaucoup de gens. »
L’origine de cette folie à mon insu qui a vampirisé mon esprit et qui violente encore ma vie, est cousue de fil de blanc. Bertrand LEPAGE savait que Mylène FARMER, d’éducation catholique, ne trouverait l’envie, le désir et l’inspiration que dans une relation fantasmée avec une femme qui la comprend, qui se pose des questions sur le sens de l’hominisation. Et le seul toujours à ce jour à avoir osé briser ce tabou chez les catholiques est Pierre TEILHARD de CHARDIN. Bertrand LEPAGE a repris son rôle d’éditeur-pygmalion en lui inventant cette femme avec des fantasmes similaires à son égard, Océan d’Ambre et Alice, les deux faces de l’unique femme interpellée dans Anamorphosée: « Océan d’ambre, je sais qu’elle marche sans savoir qui elle est » et « Alice, petite âme, dépressive l’artiste, exit, comme tu me manques », n’ont jamais existé ailleurs que dans son imaginaire. Et comme je ne lui ai pas répondu, après la réaction de Bertrand LEPAGE à l’avoir qualifiée de mygale, Alice, Arachnée, est devenue l’araignée au plafond de ses concerts de 1996, qu’elle domine... Quand Mylène FARMER dit qu’elle est paranoïaque et qu’elle ne sait pas comment se débarrasser d’une personne qui l’obsède, elle ne plaisante pas ! Faute de réponse de ma part, et pour cause, Bertrand LEPAGE était coincé, elle n’a pu qu’imaginer des problèmes entre son éditeur et moi-même.
Et « le corbeau » a utilisé cette « paranoïa » manifeste avec cette araignée, clou du spectacle produit par Thierry SUC - qui n’a en effet pas de quoi s’en vanter, mais la vérité qui le dérange, refait surface sur ma page professionnelle et mes rapports officiels. Le comportement du « corbeau » est barbare, mais cohérent avec le profil sulfureux de Pascal NEGRE. J’ai compris que Pascal NEGRE a obtenu d’elle, qu’il lise toutes mes lettres, parvenant à se servir de sa paranoïa pour la convaincre que je la menaçais avec ses lettres volées et la manipulais avec mes vraies lettres qui lui révélaient l’imposture.
Les motifs inconnus de l’éditeur-pygmalion
Ces échanges avec son éditeur étaient épistolaires, le responsable de l’homicide mis en cause par l’illégalité de cet album les avaient découverts à son domicile comme le prouvent les manifestations de ce « corbeau » à mon encontre dissimulées à la justice par la chanteuse et découvertes en 2001 grâce la haute magistrate du Tribunal de Grande Instance de Paris. Elle connaissait ma rigueur et mes capacités de discernement entre la « vue de l’esprit » - argument bien commode pour se débarrasser d’une réalité trop choquante pour être admise - et des faits vérifiables qui conduisent jusqu’à la découverte effectivement extrêmement choquante par sa barbarie et sa cruauté.
Les motifs de feu Bertrand LEPAGE au comportement si irrespectueux à mon égard, ont une explication que seule Mylène FARMER connait. Pygmalion, elle était son chef-d’œuvre, mais quelque chose de très violent en 1995 en rapport avec ses photos érotiques a brisé cet homme. Si elle tenait tant à me connaître, qu’elle s’assume et fasse, elle, le premier pas, et qu‹elle vienne elle-même récupérer ses photos érotiques chez Bertrand LEPAGE qui circulaient visiblement illégalement. Il avait commencé à lui en renvoyer une partie à Los Angeles mais non pas les plus compromettantes comme je l’ai compris avec la révélation de ce « corbeau » qui m’a dans son collimateur.
Mylène FARMER n’a jamais eu envie de me rencontrer et son fantasme de la « relation très dense » qui devait passer par la voie épistolaire de son éditeur-pygmalion, s’est transformé en tragédie avec la mort de cet homme, un homicide caché et devenu un « enfer » dans ma vie jusqu’à ce jour et qui doit cesser !
20 mai 1996 : Le cercle de Minuit et un « sous-marin » de Bertrand LEPAGE
Rétrospectivement, des événements étranges ont fini par trouver leur place dans cette réalité qui gravitait dans mon dos et dont j’ignorais l’ampleur, la criminalité et les tensions. Le lendemain de mon passage au Cercle de Minuit avec Yves COPPENS, Hubert REEVES et Joel DE ROSNAY, un compositeur en herbe est venu à ma rencontre à la sortie de la cantine du Muséum. Il disait être fasciné par mon intervention, il me demanda un texte pour le mettre en musique et avait des liens avec un studio. Je l’ai mis à l’essai avec « Paysages mentaux » . Ses visites à l’IPH pour discuter étaient rarissimes, il ne manifestait aucun intérêt en réalité pour ma recherche. C’est lui qui me contactait. Il est revenu en juillet 1997 après des mois d’absence. Son projet sentait l’arnaque, deux amis l’ont rencontré pour avis. J’ai mis un terme en octobre 1997. Son attitude devenue insistante puis agressive, il fut persona non grata. J’ai compris des années plus tard qu’en réalité il avait été envoyé par Bertrand LEPAGE suite à mon passage au « Cercle de Minuit » alors que Mylène FARMER, qui attendait vainement une réaction de ma part, commençait sa tournée 10 jours plus tard avec son « Alice », devenue la grande araignée mécanique au plafond des salles de concert… J’ai compris des années plus tard quelle fut la panique de Bertrand LEPAGE à me découvrir sur le plateau avec Laure ADLER et Jean-François KAHN et à réaliser la gravité de son comportement et la dangerosité de sa situation, vu le profil connu de Pascal NEGRE autocrate et violent «qui casse la gueule des pirates ». Si je venais à découvrir l’album « Anamorphosée » à cause du titre choisi précisément pour m’interpeller et si j’écrivais à Mylène FARMER, lui savait que c’était « la fin du pygmalion » car rien ne correspondrait à son imposture - trahison. Ignorant son existence, mes lettres passeraient par Polygram.
Ma seconde lettre via Polydor, et ses très nombreuses conséquences : la « fin du pygmalion » (homicide) et l’engrenage infernal pour Pascal NEGRE
Mai 1997 : j’avais téléphoné à Polygram pour m’assurer de la pertinence de mon invitation au colloque de l’UNESCO. La réponse fut « c’est important nous ferons suivre ». J’avais donc écrit le 26 mai 1997, ignorant tous les agissements dans mon dos depuis 1995, reconstitués au fil des ans et ne connaissant pas la carrière de Mylène FARMER, et donc encore moins son profil psychologique. J’ai écrit et ce fut la « fin du pygmalion » en juin 1997 à mon insu, n’ayant jamais entendu parler de cet éditeur. Peu après son décès, mon texte « Chutes et Mémoires » encore inédit fut volé en juillet 1997 au CNRS (IPH) alors que lui seul savait en 1995 où et comment se procurer mes fichiers informatiques dans le dédale de l’Institut de Paléontologie Humaine en 1995, et surtout, savait que la chanteuse ne vérifiait pas ses sources et était dépourvue d’un minimum de sens critique : croire qu’une chercheuse du CNRS médiatisée n’aurait pas demandé à la rencontrer pour savoir ce qu’elle attendait exactement. Quel intérêt aurais-je eu, ainsi que le CNRS, à ce que Mylène FARMER intègre ma découverte avec son passé érotico-pornographique.
En 1999 je découvre dans une chanson Larmes bleues, d’un bleu final, sait-on la Dame qui nous peine, éprouve-t-elle un grand chagrin, on crie vengeance, mitrailles, punition, de son ancien duo, Jean-Louis MURAT.
Je découvre également le nom de Bertrand LEPAGE et son décès révélé par Platine « un secret bien gardé », mort « à cause de Mylène FARMER », soi-disant à la sortie de son nouvel album « Innamoramento », alors que la jeune chanteuse que le pygmalion produisait en 1997 s’était vue interdire par Pascal NEGRE la diffusion du titre en sa mémoire paru en juin 1998. L’omerta sur l’année, la date et la nature du décès est toujours d’actualité, aucun média n’a jamais annoncé l’homicide 6 mois après le concert à Bercy en 1996.
Je rencontrais un employé de son agent Thierry SUC pour lui remettre un document en main propre. Celui-ci avait donc sursauté en lisant le nom de Bertrand LEPAGE, criant qu’il ne fallait jamais l’évoquer devant Mylène FARMER. Mais pour quelle raison si sa mort ne la concerne pas. Il m’apprenait alors qu’elle avait tenté de se suicider.
Bertrand LEPAGE avait réagi à la sortie d’un nouvel album, mais en 1995, en exprimant sa frayeur d’un règlement de compte avec Mylène FARMER et/ou Pascal NEGRE, le patron de Polygram qui avait signé le contrat. En 1999, il était mort depuis deux ans, tué par un « corbeau » qui a détourné les frayeurs de la chanteuse sur ma personne en novembre 1997 et qui, depuis, protège le dit « corbeau ». Tout est démontré dans mes deux rapports au CNRS ainsi que son identité accessible à n’importe quelle intelligence honnêtement informée, et donc à un juge d’instruction.
« Vengeances et punitions »
Après la parution de « Chutes et Mémoires », en octobre 1997 avec la disparition de « Larmes bleues », j’en ai connu des « vengeances », des punitions, alors que personne d’autres que le rédacteur de Phréatique et moi-même n’étaient censés la découvrir, consternés : en novembre 1997 (violation de mon domicile avec vol de mon portable, interception d’un voleur et jugement au TGI d’Evry) ; en janvier 1998 (condamnation du « dangereux repris de justice » (sic), violation le soir même de mon laboratoire CNRS et apparition de tags chez moi un portable à la place du cœur, il faut une bonne dose de poésie pour supporter vos turpitudes ; des intimidations en 1999 en découvrant la mort de cet homme et faisant part à Mylène FARMER de mes inquiétudes en passant par son agent Thierry SUC, puis des menaces de mort physique en 2005 lorsque je parvenais à percer la forteresse de Mylène FARMER et de son « ami parfois de bons conseils », le directeur de Polygram Pascal NEGRE, en contactant l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT.
La dissimulation de l’avocate et les éditions Requiem Publishing de son frère
La dissimulation des faits vise à protéger la carrière de son frère et la réputation de leur patronyme qui ne doivent pas être souillées par la vraie cause du décès, l’illégalité de « Anamorphosée » et du livret des éditions Requiem Publishing, la société de Mylène FARMER et de Laurent BOUTONNAT domiciliée chez l’avocate. Peu leur importe si Pascal NEGRE qui a signé leur contrat pour l’exploitation de « Chutes et Mémoires » à mon insu, n’a jamais proposé des dédommagements au CNRS ? Peu leur importe s’il n’aide pas à l’identification du responsable en commençant par nous dire comment il a reçu mon inédit alors que Bertrand LEPAGE, que je ne connaissais pas, était décédé ? L’éditeur-pygmalion savait comment se déplacer dans le labyrinthe de mon Institut pour y trouver mes fichiers. Compte tenu de la gravité de son initiative, à trahir Mylène FARMER, avec un faux en écriture et l’invention d’une « passion secrète », il n’en avait jamais parlé à personne.
Alors qui a découvert les preuves de la vente illégale de « Anamorphosée » et avait intérêt à ce que l’unique témoin disparaisse avec ces preuves, non pas juste après ma lettre via Thierry SUC, mais 6 mois plus tard, juste après mon coup de fil à Polygram et avec l’attente de ma lettre pour Mylène FARMER « importante » ?
La loi impose le respect de la hiérarchie des priorités
Les priorités sont les circonstances du décès de l’éditeur en attente des vérités accessibles dans un Etat de droit, depuis près de 28 ans et connues depuis 20 ans par les intéressés de ces deux albums dans ce mutisme et cet immobilisme collectif désormais actés par le CNRS :
Mylène FARMER et Pascal NEGRE sont les deux instigateurs lors de l’enquête, de l’omerta sur les circonstances du décès de Bertrand LEPAGE avec la dissimulation de l’origine du titre « Anamorphosée » et de mes deux lettres du 22 novembre 1996 qui leur révélaient, en réalité, une escroquerie phénoménale. La chanteuse n’a jamais montré ma lettre personnelle et la photocopie de « Paysages mentaux » en expliquant aux inspecteurs de la police criminelle, que depuis, elle avait un doute sur la fiabilité de son éditeur et qu’elle en avait fait part à Pascal NEGRE, signataire du contrat en 1995 pour rembourser les fonds de Polygram avancés pour le film « Giorgino ». C’est la plus grave de ses dissimulations qui protège le « corbeau ».
Les liens avec l’homicide sont flagrants et connus de la chanteuse : je suis victime de ce « corbeau » qui a agi auprès de Mylène FARMER, provoquant des propos gravement diffamatoires en rapport avec le décès et mon texte « Paysages mentaux » qu’elle a exploité en toute illégalité en 1995. En 2001, j’apprenais donc sa diffamation gravissime auprès du graphiste du livret de son premier Best of « Les Mots », Eric de Com’NB. Il connaissait mon nom, « une chercheuse dans des trucs compliqués » : je l’aurais menacée, avec, entre autres, des photos érotiques avec des femmes, et l’accusais de plagiat, elle se servait de nouvelles photos d’elle érotiques pour son livret afin de « se débarrasser » de ma « présence » (sic), en réalité se débarrasser de ma volonté de comprendre la vérité en lui écrivant toujours avec respect. Et en effet, le livret le confirme, une photo renvoie à la partie disparue de mon second inédit volé « Chutes et Mémoires » qu’elle n’avait pas à connaître, « l’amour n’est pas un jeu d’adulte, c’est un don d’enfant qui connait le risque du refus ». Elle l’a souillée avec une posture obscène et vulgaire : elle est dans un lit d’enfant en fer forgé, hilare, les jambes écartées, les deux mains cachant son sexe. C’était la même posture vulgaire et provoquante de son livret « Live à Bercy » paru le 21 mai 1997, accroupie sur ses deux jambes écartées face au public, une authentique exhibitionniste qui vit de fantasmes sexuels obsessionnels.
Souiller mon concept de l’anamorphose sans vérifier ses sources ne lui avait donc pas suffi. Il lui a fallu souiller la fin jamais publiée de « Chutes et Mémoires ». Il n’avait jamais pu être question de plagiat, ce délit concerne des textes publiés et ce ne sera jamais le cas.
L’unique suspect, Pascal NEGRE, gagnerait à convaincre des avocats qu’elle fabule avec cette enveloppe anonyme, qu’il n’existe pas de « corbeau ». Or, si elle n’avait pas reçu ses lettres avec une preuve irrévocable de leur vol sur la scène du crime, elle n’aurait eu aucune raison de réagir ainsi contre ma personne, de m’accuser aussi ouvertement auprès de son graphiste avec la volonté de se servir de son « instrument » et le plus grave pour ma sécurité s’il elle se décidait à révéler à la masse qui l’admire (600 000 spectateurs pour son NEVERMORE 2023-2024) et surtout à des fans qui ne tolèrent pas la moindre critique sur leur déesse, le sens qu’elle donne aux photos de son Best Of « Les Mots ».
Les photos dans le mannequinat érotico-pornographique de Christophe MOURTHÉ
J’ai donc fini par comprendre que Bertrand LEPAGE ne s’était pas suicidé et qu’un « corbeau », le responsable de l’homicide, avait intérêt à ce que Mylène FARMER refuse de croire mes lettres, me fuit et se persuade que l’homicide « n’est pas son problème », alors que l’avocate était déjà convaincue du contraire : un « problème » entre elle, Bertrand LEPAGE et moi-même au CNRS et surtout pas avec Pascal NEGRE. Un homicide incontestable, mais surtout pas dans la carrière de son frère, surtout pas dans la famille des BOUTONNAT. J’ai compris que ce « corbeau » avait fait envoyer cette enveloppe anonyme à Polydor depuis ma commune, afin que le cachet de la poste ajoute à la vraisemblance de la démarche, contenant des documents de Mylène FARMER provenant des lieux du drame et qui me concernent de toute évidence puisqu’elle n’a pas été surprise que je puisse réagir d’une façon aussi menaçante. Cette enveloppe anonyme contenait, entre autres, des photos de sa période dans le mannequinat érotique de 1984 à 1986 prises par Christophe MOURTHÉ, ami de Bertrand LEPAGE. Mais ce ne sont pas ses photos pornos qui auraient justifié une menace de mort en réalité, car elles ne me concernent pas, ce sont ses lettres manuscrites de 1995 qui avaient effrayé Bertrand LEPAGE au point de la qualifier de « mygale » dans la presse.
A qui profite la disparition des archives et la mort de Bertrand LEPAGE
Le « corbeau » le savait et savait qu’elle ne dirait rien à la Justice, comme lors de l’enquête; il savait qu’elle ne m’avait pas désignée comme témoin pour la raison évidente que depuis mes deux lettres du 22 novembre 1996, je devenais un témoin à charge contre elle. Il savait qu’elle fuirait la Justice et le CNRS. Malgré toutes mes lettres envoyées dès mes premiers doutes en 1996, le « corbeau » est donc parvenu en 2001 à maintenir Mylène FARMER dans ses convictions de 1995 (sans aucune preuve à l’appui) selon lesquelles je connaissais son éditeur, ses photos et son exploitation de « Paysages mentaux », qu’elle n’avait rien à se reprocher (alors que mes lettres lui révélaient le contraire) et qu’elle devait me fuir comme la peste.
L’image que Mylène FARMER s’est faite de la femme interpellée en 1995 n’existe pas ailleurs que dans son imaginaire plus que confus avec « Alice » « l’arachnée high-tech ». Elle n’a jamais eu la moindre preuve que son éditeur me connaissait personnellement et ne s’en était jamais assurée. Je ne suis pas la personne à l’origine du décès dont la cause est son exploitation illégale de « Paysages mentaux » inédit et volé au CNRS. Ce n’est pas à moi que profitent sa disparition et celle des archives prouvant l’illégalité de la vente de « Anamorphosée », bien au contraire. Mes quelques lettres depuis le 22 novembre 1996 jusqu’à celle qui provoqua le retrait de « Mémoires » en 1998 étaient la preuve que j’ignorai l’existence puis la mort de son éditeur-pygmalion. Comment avait-elle pu continuer de croire que j’avais connaissance de sa correspondance manuscrite depuis Los Angeles en 1995 ! Pourquoi avoir écrit à la chanteuse le 22 novembre 1996 pour lui demander si mon texte l’avait inspirée sans évoquer Bertrand LEPAGE, puis en mai 1997 pour l’inviter à l’UNESCO sans le citer, alors que c’était la veille de son anniversaire fêtée avec la jeune chanteuse qu’il manageait. Si j’avais connu Bertrand LEPAGE j’aurais mentionné son nom. Des questions élémentaires face à des comportements d’une rare absurdité lui ont systématiquement fait défaut : ne pas la rencontrer en 1995 et la laisser s’enrichir avec le fond de ma réflexion sans me citer ? M’exposer à une dénonciation en 2001 dans le cadre d’un homicide non élucidé si j’étais la responsable ?
Puisque Mylène FARMER ne fut pas surprise que je puisse réagir d’une façon très menaçante, c’est bien que le « corbeau » était en possession de ses lettres qui mentionnent mon nom et mon texte. Surtout, elles compromettent le « corbeau », sinon ce dernier n’aurait eu aucune raison de les subtiliser, d’une part, et de s’en prendre en personne à Bertrand LEPAGE, le seul témoin de l’escroquerie, d’autre part. Si j’avais été auditionnée, les dates prouvaient la vente illégale de l’album « Anamorphosée ». C’est ce que le « corbeau » a découvert, tout s’est passé à mon insu et à son insu.
C’est le « corbeau » qui a découvert la supercherie en rendant visite à Bertrand LEPAGE peu après cette invitation pour l’UNESCO via Polygram. Il m’est évident qu’après ma première lettre de novembre 1996, Pascal NEGRE a donné son « bon conseil », celui de ne pas me répondre. Il lui a demandé de le tenir informé de toutes les lettres que je lui adresserai. Et pour la seconde fois consécutive, elle a montré à son ami intime, cette invitation pour l’UNESCO, qui ne passait pas par Bertrand LEPAGE.
Le responsable de l’homicide a donc tenté de faire croire à Mylène FARMER que, malgré cela, je connaissais son éditeur et que je lui avais rendu visite pour régler des comptes. Si tel avait été le cas, je ne me serais pas exposée à une dénonciation attendue d’une citoyenne normale, honnête, et saine d’esprit. Mais le « corbeau », lui, savait qu’elle se tairait et qu’elle ne réaliserait pas l’absurdité et donc l’invraisemblance d’un tel comportement. Il avait oublié que pour Bertrand LEPAGE, cette femme était une « mygale », qu’elle n’allait pas rester sans réagir.
L’obsession psychotique et l’art de la maltraitance : »Anna belle entre dans mon fesse à moi » (2003)
Mylène FARMER a donc réagi avec les illustrations de son livret « Les Mots » et en 2003 je constatais la mise en acte des propos du graphiste Eric de Com’NB : « Anna belle entre dans mon fesse à moi », Good Sex Valdes, compositeur Laurent BOUTONNAT. Ce fut bien une chanson en conformité avec ses propos- se débarrasser de moi-même à l’insu de la Justice après avoir reçu ses photos pornographiques avec au moins une autre femme. Ce fut suffisant pour convaincre le père abbé Dom LAFOND (1926-2010) de l’abbaye liée à ma famille paternelle de l’authenticité de mon propos qui m’en fit part lorsqu’il m’a écrit dans un email conservé : « elle se moque de vous » et à l’échelle sociétale d’une masse qui l’admire et dépense sans savoir les horreurs qu’elle leur donne à entendre en remplissant ses comptes et ceux de Pascal NEGRE.
Le CNRS pourra-t-il tolérer une telle imposture et un tel traitement d’une de ses chercheuses sur d’aussi longues années ?
Le seul lien théorique pertinent côté CNRS, entre moi-même et Mylène FARMER est le titre « Anamorphosée »
C’est donc un lien authentique pour le « corbeau ». La vente est donc illégale pour Pascal NEGRE. Et la nature du décès lié à cette illégalité est cachée depuis 28 ans d’un commun accord, au même titre qu’une enquête expédiée qui n’a jamais identifié le responsable. Le « corbeau » connait donc mon nom et les liens illégaux, et à mon insu et il est toujours libre, dans l’impunité. Or qui d’autre que le président de Polygram avait tout intérêt à convaincre Mylène FARMER et l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT que la chanteuse n’avait rien à se reprocher, que tous les torts étaient du côté du CNRS, afin que lui, parvienne à leur faire croire qu’il n’avait aucune raison de se sentir concerné par le décès, aucune raison d’être interrogé lors de l’enquête. En vérité, Pascal NEGRE est le premier concerné par la vente illégale de « Anamorphosée » par la faute de cet homme, Bertrand LEPAGE et à avoir des raisons de faire disparaître toutes les preuves ainsi que l’unique témoin de l’illégalité puisqu’au moment du meurtre j’ignorai tout.
Le soir du 12 janvier 1998 : Christophe MOURTHÉ pénètre illégalement dans l’IPH et demande comment accéder au sous-sol
L’avocate aussi fut maintenue dans cette conviction que le drame devait être extérieur à Polygram et renvoyé au CNRS. Le meurtre extérieur à la carrière de son frère et renvoyé au CNRS l’arrangeait. La preuve, le soir de la condamnation du repris de justice, le 12 janvier 1998 par le TGI d’Evry, le photographe Christophe MOURTHÉ reconnu plus tard dans la presse au côté de Mylène FARMER, a vandalisé l’IPH. Cet individu, dandy, m’a croisée dans le hall de l’IPH et saluée. Le lendemain, la salle de collection de paléontologie humaine avait été fouillée, des armoires forcées. Des témoins diront qu‹il cherchait le laboratoire au sous-sol que je venais de quitter, la lumière visible depuis la rue venait de s’éteindre. Des tags sont apparus chez moi, « un portable à la place du coeur », « lettre sans en-tête, vide sans fond, sans lendemain ».
Le « corbeau » et Pascal NEGRE ont les mêmes intérêts : le lavage de cerveau de Mylène FARMER, de sa soeur Brigitte, de Christophe MOURTHÉ et de Caroline FABRE-BOUTONAT
Alors qui peut bien être le « corbeau » qui a envoyé à Mylène FARMER ses photos érotiques pour convaincre Christophe MOURTHÉ qu’il fallait chercher la cause d’un règlement de compte soi-disant à cause d’un trafic de ses photos du côté du CNRS ?
Qui a commandité la vengeance des effets de la coupure à mon domicile, sa tentative de suicide, vengeance criminelle dans un Etat de droit, car faire justice soi-même est un délit : Pascal NEGRE pour ne pas perdre la face ! Qui surveillait le procès de peur d’une dénonciation ? Pascal NEGRE ! Qui a donné mon portable à une personne blessée pour Mylène FARMER ? Pascal NEGRE. Et qui est venu taguer les réjouissances « d’un trophée » et se plaindre « d’une lettre sans lendemain » alors que le repris du justice était condamné, au lieu de réfléchir et se demander pour quelles raisons la chanteuse n’avait pas donné mon nom aux enquêteurs ? Qui fut assez proche de Mylène FARMER pour renvoyer un comportement cruel au point de le taguer avec des références explicites : je devais comprendre que c’était un règlement de compte du premier cercle de la chanteuse ! Cette personne est une témoin à charge, la seule dans son cercle intime en âge de taguer la nuit et de réagir d’une façon aussi irréfléchie, au courant de la césure de « Chutes et Mémoires », et donc du « brouillon » offert encore une fois à mon insu avec encore un faux en écriture, c’était sa sœur aînée, Brigitte GAUTIER qui apparait dans un de ses clips. Dans mon rapport j’ai écrit « fratrie ».
Je ne suis pas responsable de la tentative de suicide de sa sœur. Qu’elle dénonce donc Pascal NEGRE qui lui avait remis mon portable.
Pascal NEGRE est un manipulateur qui connaît très bien le profil psychotique de la chanteuse, d’une grande perversité pour être parvenu à inhiber le manque de sens critique de Mylène FARMER. Il est évident que la chanteuse, en état de choc à l’annonce de l’homicide, n’aurait jamais pris seule la décision très grave de dissimuler aux enquêteurs les liens entre le titre « Anamorphosée », Bertrand LEPAGE et mon texte « Paysages mentaux ». C’est Pascal NEGRE qui lui a « conseillé » de le dissimuler en argumentant le fait que le crime est extérieur à l’album et, à l’évidence, un règlement de compte crapuleux avec son trafic de photos : son ignoble plan machiavélique pour ne pas éveiller les soupçons sur Polygram.
Le grain de sable dans les rouages mafieux de Pascal NEGRE
Je suis le grain de sable qui grippe sa machinerie infernale. Puisque je suis dans le collimateur du « corbeau » et que le seul lien théorique entre moi-même et Mylène FARMER, c’est l’album et mon texte encore inédit lorsque « Anamorphosée » était enregistré à Los Angeles, il est clair que le motif du meurtre et du vol des archives de Bertrand LEPAGE est la vente illégale de cet opus qui compromet Pascal NEGRE et mettait en cause le remboursement de 49 millions de francs. La stratégie pour sa défense consisterait à nier avoir « conseillé » la chanteuse en la faisant passer pour une mythomane ingrate et mal intentionnée à son égard. La façon de le prendre en défaut, c’est écrire la réalité vérifiable sur ma page officielle et permettre à leurs avocats comme aux juristes du CNRS de constater, lui qui « casse la gueule des pirates », qu’il ne me dément toujours pas au fils des mois.
Qu’il tourne donc la tête vers ma page officielle, et me démente s’il n’est pas le « corbeau », elle est écrite publiquement pour que des avocats le constatent. M’entendre aurait fait de moi la seconde « témoin » de l’illégalité, le premier étant mort. Et depuis le décès je suis la témoin-clé qui peut confondre l’unique suspect, qui peut confondre Pascal NEGRE avec de nombreux témoins à charge de ses comportements vis-à-vis de ma personne (cités avec arguments dans le rapport de 38 pages). Sa liberté ne tient qu’au silence de Mylène FARMER depuis l’enquête et à la dissimulation de ses lettres envoyées par le « corbeau » depuis leur réception. En toute logique, elles ont la trace biologique de son identité (ADN).
Pascal NEGRE était le seul à avoir intérêt à rencontrer Bertrand LEPAGE à l’insu de tous et à ce que Mylène FARMER me craigne et me fuit.
Comme elle a refusé de donner son nom aux enquêteurs, alors qu’il était déjà le premier suspect à lui « conseiller » de se taire, Pascal NEGRE avait la voie libre. Il a procédé comme Bertrand LEPAGE en 1995 pour la booster avec la même stratégie. Puis, compromis par les effets de la césure, il a joué au « corbeau » d’un côté, et, au père de substitution de l’autre, leur père étant décédé depuis 1986. C’est chez Bertrand LEPAGE que Mylène FARMER a appris le décès de son père.
Novembre 1997 correspond à une concentration de non-sens et d’erreurs de Pascal NEGRE cohérentes entre elles
Sa diversion préméditée sur les lieux de la tragédie avait orienté les enquêteurs vers la période pornographique 1984-1986 de Mylène FARMER qu’il n’avait pas connue. Aux yeux de la Justice et des collègues de Bertrand LEPAGE, Pascal NEGRE n’avait donc aucune raison d’être entendu. Mais la césure de « Chutes et Mémoires » à laquelle personne ne s’attendait, et lui encore moins, l’a totalement compromis.
-la lettre du « corbeau » : Pascal NEGRE s’est arrogé le droit - sans contrat - d’exploiter mon texte volé au CNRS, sa priorité était donc d’éloigner les soupçons et donc de les détourner sur moi-même, la césure devait être vécue par Mylène FARMER comme une agression préméditée de ma part, ce n’est pas l’avocat Caroline FABRE BOUTONNAT qui aura démontré le contraire ! La lettre anonyme du « corbeau » devait convaincre la chanteuse avec le cachet de ma ville, elle date, logiquement de novembre 1997, juste après la publication de « Chutes et Mémoires » avec la disparition de la partie finale, « Larmes bleues » et « la plume » pour continuer l’écriture »sur les pages blanches du temps ».
-« Ecriture » : un coffret très attendu mais privé d’album
La chanteuse avait commencé à enregistrer des titres en août 1997 et un coffret avait été annoncé par Polygram, « Ecriture ». Mais à la consternation des fans, en novembre 1997 il n’y avait pas de CD, uniquement de cartes postales de ses portraits au concert de Bercy 1996, un carnet de voyage et des timbres à son effigie. Des années plus tard, j’ai compris que « Ecriture » renvoie à la partie disparue de « Chutes et Mémoires » : Si un matin d’une nuit, le génie d’une plume s’éveillait encore, que nos fondements soient son encre pour y tracer de nouveaux fils de Soi.
Les timbres et l’écriture au dos des photos d’elle (cartes postales), renvoient très probablement à ce fantasme créé par Bertrand LEPAGE d’une « intense relation » par voie épistolaire avec ses photos. Tandis que la disparition du CD est la conséquence de la disparition de la fin de mon texte qui avait été donnée à exploiter par le patron de Polygram et qui ne fut jamais publiée.
C’est à cette date, novembre 1997, que Mylène FARMER a tenté de suicider.
Pascal NEGRE ne devait pas perdre la face mais coincé par sa fuite de la justice lors de l’enquête, il a cru faire preuve d’une justice de l’ombre en me rendant responsable de la coupure et de la tentative de suicide, en commanditant le vandalisme de mon domicile ; les tags « Lettre sans en-tête », « vide sans fond, sans lendemain », « un portable à la place du coeur », étaient contemporains de cette annulation et confirment un second faux en écriture, cette fois par Pascal NEGRE, avant de devenir le « corbeau » avec son art de l’imposture identitaire.
-« La femme nue debout » - « Savoir Aimer » : l’erreur fatale de Pascal NEGRE
Pascal NEGRE est également le commanditaire des illustrations du livret « Savoir Aimer » de novembre 1997. Christophe MOURTHÉ dissimulera-t-il encore longtemps que c’est Pascal NEGRE qui l’a orienté vers l’IPH (le soir même de la condamnation du TGI d’Evry) et qui s’était « approprié » une de ses « casanovas » nue volée chez son ami Bertrand LEPAGE. Il l’a retrouvée associée à la dédicace de « Dors » ‹Pour toi Anne- X ». Elle fut peinte pour former deux jumelles nues debout mais avec la tête de X parfaitement identifiable.
Pascal NEGRE a donné à peindre des photos de Christophe MOURTHÉ conservées et volées chez Bertrand LEPAGE. Ce n’est pas Mylène FARMER qui les lui aurait données après les avoir récupérées, si elle avait été responsable de l’homicide. Pour quelles raisons aurait-il demandé à Mylène FARMER qu’elle les lui donne, il aurait été son complice à la protéger, lui le grand patron de Polygram. Ces photos n’ont jamais concerné Pascal NEGRE et c’est précisément le sens de sa diversion, ne jamais éveiller le soupçon d’un règlement de compte en tant que patron de Polygram !
Le « corbeau » qui m’a dans son collimateur, est le voleur des photos pornographiques de Christophe MOURTHÉ conservées dans les archives du projet « Anamorphosée » de Bertrand LEPAGE, celles de Mylène FARMER avec des femmes nues se livrant à des pratiques que révèle « Anna Belle ». Elles ne me concernent pas plus que le patron de Polygram, la chanteuse est seule responsable de ses confusions à Los Angeles à associer ma métaphore, à sa paire de fesses et à ses pratiques shootées par ce photographe.
Ce qui le concerne c’est le vol de mon inédit exploité illégalement. Mais il s’est compromis en commettant une erreur.
« X » est tellement identifiable que c’est cette dédicace avec cette casanova de Christophe MOURTHÉ, la « femme nue debout », montrée à un avocat, qui a déclenché l’enquête grâce à la haute magistrate du Parquet de Paris et la découverte en une semaine des propos du graphiste Eric de Com’NB. C’est avec cet avocat que l’information sur le décès a été rédigée et transmise par René LENOIR au Tribunal de Grande Instance d’Evry et qui l’a dissimulée.
La « relation intense » inventée en 1995 par Bertrand LEPAGE devait nécessairement s’accompagner de photos offertes pour être crédible, il avait envoyé, mais aussi conservé, des « photos volées » selon l’expression de ce milieu, de X et de moi-même. Elles étaient dans les archives dérobées par le « corbeau » qui a des raisons personnelles de m’avoir dans son collimateur. Son problème fut de croire que j’avais prémédité la coupure mais il a commis une erreur fatale, il s’est trompé de femme ! Mylène FARMER n’aurait pas commis cette erreur, elle avait donné assez signes dans « Anamorphosée » pour que je m’identifie « j’irai lui dire que ses yeux ont la profondeur de nos cieux » (ARM avril 1995). Il ne me connaissait donc pas et pour un patron censé tout contrôler, ne pas me connaître pour un texte donné à exploiter aurait dû l’alerter.
Christophe MOURTHÉ sait, comme tout un chacun, que c’est Pascal NEGRE qui a donné à peindre une fusion de sa « casanova nue » avec la tête d’une autre femme aux cheveux noirs. Mylène FARMER sait que Pascal NEGRE s’était trompé en donnant l’autre femme prise en ma compagnie. Tout est vérifiable. Mylène FARMER avait-elle compris depuis ce livret, que Pascal NEGRE est le voleur des archives et le « corbeau » et se serait-elle enfermée dans le déni face à une évidence aussi flagrante mais trop compromettante à admettre ?
En 1999, dans l’album « Innamoramento » re-écrit après « Mémoires » dissimulé, elle écrit « Redeviens la femme nue debout, c’est mon dernier recours ». Je ne comprenais rien à ses chansons et lui avais écrit que je faisais erreur à lui demander si j’étais la femme interpellée, elle s’adressait à une autre femme. Platine n’avait pas encore révélé le décès de cet inconnu, Bertrand LEPAGE.
Si elle avait quelque chose de grave à me dire elle passait par la Justice ! C’est toujours ce que je lui ai écrit et qu’elle continue de lire, cette fois publiquement et non plus dans le confort de l’ombre de son « corbeau » mafieux et milliardaire qui a du sang sur les mains !
1999 : intimidations de Thierry SUC et dissimulations des malversations à Caroline FABRE-BOUTONNAT
Les propos extrêmement blessants de Mylène FARMER tenus en 2001 à son graphiste et gravissimes par ce qu’ils auront caché en pleine ouverture du festival de Cannes 2025, sont donc connus du TGI d’Evry depuis 2001 d‹un immobilisme plus que suspect et à la source comprise depuis février 2016, ainsi que du CNRS depuis janvier 2023 avec d’autres preuves.
Ce sont mes lettres pour la chanteuse via son agent Thierry SUC et pour ce dernier en 1999 après la révélation très furtive du décès. Thierry SUC est parfaitement au fait de la tentative de Pascal NEGRE de bloquer ma correspondance mais il n’en fit jamais état à l’avocate, alors qu’il sait que le décès est un homicide et que le responsable du décès de Bertrand LEPAGE dont il a pris la succession, n’est pas identifié. Il sait aussi comment, lui, Thierry SUC, a tenté de m’intimider pour que je cesse d’écrire et ne contrarie pas leur tournée de 1999. Cet individu a préféré m’envoyer deux employés en faction dans une estafette un soir près de mon portail pour me crier « ce sont des psychopathes ». A chaque agression suspecte qui suivait une lettre pour Mylène FARMER, j’en faisais état à la chanteuse par voie épistolaire. Thierry SUC ne tient pas à ce que l’industrie du disque et du spectacle découvre que son collègue est mort assassiné 6 mois après sa production du concert de Mylène FARMER à Bercy et dans le cadre de l’album « Anamorphosée » dont il a assuré le management. Sa lâcheté et ses procédures sournoises n’ont d’égales que celles de Caroline FABRE-BOUTONNAT, l’homicide associé à la carrière de la chanteuse ne devait pas être en lien avec leurs activités 1995-1996.
La diversion sur le passé dans le mannequinat pornographique 1984-1986 les arrangeait bien. Ce ne sont que des escrocs avec des comportements de mafieux car le crime de sang fait tâche dans leur marketing de milliardaires.
Tous ces faits sont portés à la connaissance du CNRS depuis mars 2023 (38 pages : Christophe MOURTHÉ, Thierry SUC, Caroline FABRE…) et en cours d’analyse depuis janvier 2025 avec un nouvel état des faits et une analyse logique et vérifiable de l’identité du « corbeau » afin que Mylène FARMER régularise sa situation avec moi-même et le CNRS. Elle doit permette de mettre un nom sur le « corbeau » dont elle connait l’identité et pour m’en protéger puisqu’il connait mon identité et aura toujours des raisons personnelles de ne pas m’oublier et de garder en tête l’existence de mes archives qui l’accablent.
Un bilan accablant
Lorsque Mylène FARMER a reçu l’enveloppe « anonyme » en novembre 1997, ils n’étaient que deux à cacher mon nom à la justice et au CNRS depuis l’enquête, Mylène FARMER et Pascal NEGRE. Elle avait laissé ainsi le vrai responsable qui m’a dans son collimateur sans inquiétude. J’ai bien compris qu’il est question de Pascal NEGRE. Mais celui-ci n’est toujours pas identifié officiellement par la Justice, comme tous les acteurs de cette omerta le savent, des témoins à charge qui ont fait le choix de se taire et certains qui se découvrent sur ma page dévoilés dans leur culpabilité. La liste des témoins des malversations de Pascal NEGRE est longue : la chanteuse, le commandité du second vol en juillet 1997 (un sous-marin de Bertrand LEPAGE identifié), l’artiste-peintre du livret « Savoir Aimer », la sœur de la chanteuse qui a récupéré mon « portable à la place du coeur », le repris de justice commandité, Christophe MOURTHÉ, l’avocate FABRE-BOUTONNAT, Thierry SUC…
Jamais Caroline FABRE-BOUTONNAT et Mylène FARMER n’ont proposé d’engager des démarches avec le CNRS pour authentifier les faits, permettre à la famille de Bertrand LEPAGE de mettre un nom sur le vrai responsable et de me protéger du « corbeau », un assassin comme elles et leurs avocats l’ont compris.
En 2025, les capacités de persuasion de Pascal NEGRE, pourtant « viré » sans autre forme de procès d’UMG-France, sont très inquiétantes pour parvenir à obtenir de la chanteuse le maintien de 28 années d’omerta collective et sa fuite de ses obligations civiques, préférant son album L’Emprise (septembre 2022), son spectacle filmé NEVERMORE (2023-2024) diffusé à Paris dans le prestigieux cinéma Pathé par Thierry SUC, sa prestation exceptionnelle à Cannes (mai 2025) en cachant à Juliette BINOCHE-STALENS, la nièce de feu mon collègue Henri STALENS, toutes ses dissimulations. Thierry SUC a cru opportun de programmer une célébration cinématographique les 29 et 30 mars 2025 alors qu’il sait ce qui est caché depuis ses spectacles filmés à partir de 1999 : l’homicide commis sur la personne de son collègue le pygmalion, le fait que le responsable n’ait jamais été identifié, sa propre dissimulation des entraves de Pascal NEGRE à ma quête de vérité et l’envoie de deux employés me crier « ce sont des psychopathes » pour ne plus être importuné. Au regard de la loi, Thierry SUC se devait d’alerter au moins Caroline FABRE pour m’informer par des voies légales, que j’étais victime de « psychopathes ». L’entrave à la manifestation de la vérité avec dissimulations de malversations pour servir ses propres intérêts est un délit. Désormais la carrière de Thierry SUC passe par la case « CNRS ».
Une succession de mépris et de délits
Je laisse les liaisons dangereuses à la psychanalyse, mais je ne livrerai certainement pas la mort de cet inconnu qui marque ma mémoire, ma vie, ma carrière au CNRS et mon écriture, à l’oubli en faisant le jeu du responsable de son décès toujours en liberté, et de ces quatre acteurs-actrices de l’omerta : Mylène FARMER, Pascal NEGRE, Thierry SUC et Caroline FABRE-BOUTONNAT. Je suis victime de leurs mépris successifs depuis 30 ans, en raison de leurs conflits d’intérêts qui ont violenté ma vie et mon activité professionnelle intentionnellement (Christophe MOURTHÉ après son ami Bertrand LEPAGE), alors que je suis totalement extérieure à ce milieu dominé par le profit et le mépris des petites gens extorqués sans scrupule. Ce n’est plus supportable dans un Etat de droit, au vu de l’exploitation commerciale des productions des trois partenaires contractuels qui, depuis la révélation du décès en 1999, taisent sa nature et sa véritable date : Mylène FARMER (Stuffed Monkey, Requiem Publishing), Pascal NEGRE (HashtagNP) et Thierry SUC (TS3), en maintenant l’image iconique flatteuse pour ses contractuels qui finiront tôt ou tard par découvrir ce que Bertrand LEPAGE a découvert : la « mygale » ou une duplicité qui compartimente et cache un passé douteux dans le trafic de photos pornographiques.
Une omerta sur une véritable mafia avec un meurtre dissimulé, l’auteur de l’homicide en liberté, deux vols au CNRS et recels à Polygram, toujours d’actualité connue en très haut lieu
René LENOIR ancien directeur de l’ENA et secrétaire d’Etat, Commandeur de la Légion d’honneur, avait remis en main propre, en 2001, au procureur de la république de l’Essonne (TGI d’Evry, ma préfecture), une information sur le décès rédigée avec un avocat et moi-même, suite aux propos du graphiste du livret « Les Mots ». La haute magistrate du parquet de Paris par laquelle furent connus les propos gravissimes du graphiste de Mylène FARMER, m’avait conseillé le dépôt de plainte pour diffamation (lettre manuscrite). L’onde de choc serait remontée au CNRS et ma jeune carrière en aurait été impactée, le plus sage était d’entendre Mylène FARMER s’expliquer et justifier des propos aussi calomnieux, diffamatoires que criminels à m’accuser au sein de son staff, de l’agresser. Il n’en fut rien, l’information est restée sans suite malgré la gravité des faits vérifiables et les liens flagrants entre le jugement du « dangereux repris de justice » (TGI d’Evry en 1998) et le vandalisme de l’IPH le soir même par Christophe MOURTHÉ, ami du défunt.
Je n’ai jamais été convoquée pour m’entendre dire que je n’avais aucune raison de m’inquiéter. Ce procureur n’en a plus jamais parlé à René LENOIR alors qu’ils étaient voisins. En voyant le nom de Mylène FARMER dans le titre de l’information, et les preuves d’un acte prémédité d’un « corbeau » détournant les soupçons de meurtre sur ma personne, avec Pascal NEGRE comme unique suspect, il m’est évident que ce procureur en a fait état à la Garde des sceaux.
Le 18 février 2016, trois semaines après avoir été présentée au Premier Ministre de l’Inde et au président de la République François HOLLANDE, dans le cadre de ma mission diplomatique (janvier 2016), Pascal NEGRE apprenait par Vincent BOLLORÉ qu’il n’était pas reconduit à son poste de PDG d’Universal Music Group France (l’expression médiatique est « viré », « départ inattendu »). Il est évident que la DCRG a enquêté auprès du TGI de ma préfecture Evry pour s’assurer que j’étais « présentable » et que l’information sur le décès - dissimulée - a été remontée au chef de l’Etat.
Simple constat : le 12 février 2016, l’ancienne Garde des Sceaux en poste en 2001 recevait un bref appel de François HOLLANDE pour lui notifier qu’elle n’était plus ministre de son gouvernement. Six jours plus tard, Pascal NEGRE était éjecté d’UMG-France. C’est cousu de fil blanc et vérifiable : Pascal NEGRE étant l’unique suspect, je suis convaincue que la Garde des sceaux lui a demandé si cette information était fondée et qu’elle la cru sur paroles.
La réouverture de l’enquête permettrait de vérifier la cause en amont du TGI d’Evry qui a entravé le cours normal de la Justice et la manifestation de la vérité.
De même, depuis 2016, le principal actionnaire d’UMG-France n’a jamais cru bon engager une enquête en interne alors que les délits seront toujours ceux de Polygram/Polydor-Universal Music Group-France : 1) cacher la vente illégale de « Anamorphosée » et 2) l’exploitation illégale de « Chutes et Mémoires », l’album « Mémoires » existe, enregistré l’été 1998 lui aussi à Los Angeles sur les fonds de Polygram/Polydor.
La place de Pascal NEGRE est aux assises à devoir justifier tous ses délits et mensonges, au TGI de Paris, à UMG-France et au CNRS, expliquer comment il a pu être en possession en juillet/août 1997 de mon second inédit « Chutes et Mémoires » alors que le seul en 1995 à connaître la façon de le trouver, était décédé depuis peu. Et Mylène FARMER devra justifier son exploitation, sans aucune trace de contrat avec moi-même et le CNRS, et surtout son silence suite aux preuves du second vol que je lui avais envoyées en 1998, qui s’est traduit par le retrait de l’album « Mémoires » en accord avec Pascal NEGRE (voir plus bas, l’effroi provoqué sur ces deux escrocs, par un petit mot de mon oncle ancien inspecteur général de la police des polices).
Ma petite croix en allumettes
Dans le contexte actuel des omerta qui percent, révélant la gravité des silences complices, l’immobilisme d’avocats qui lisent ces lignes et ne portent pas à la connaissance du CNRS les preuves connues de ces délits, alors qu’elles sont prioritaires, sera historiquement retenu et analysé par les SHS du CNRS. Mylène FARMER aura pu continuer de tromper la société en se produisant en ouverture du festival de Cannes alors qu’elle sait que le vrai responsable, le « corbeau » de Polydor compromis, qui ne manque pas de lire ces lignes lui aussi, n’est toujours pas identifié officiellement.
Mylène FARMER sait que cet individu ne m’oubliera jamais, alors que le cumul de ses comportements menaçants est sidérant. Elle sait ce que Pascal NEGRE faisait avec mes lettres qu’il lisait. Lui sait le sens de la petite croix en allumettes que la chanteuse porte sur une pochette en date de 2005. Elle sait que s’il n’était pas le « corbeau », il aurait dû réagir pour me traîner devant les tribunaux du TGI de Paris en 2001 : je lui ai dédicacé son portrait avec une petite croix en allumettes, inspiré des photos érotiques du livret « Les Mots », en lui faisant dire qu’il est le responsable de l’homicide et de s’en plaindre au TGI de Paris. J’ai conservé l’original, Mylène FARMER a reçu une copie, et l’avocate sait que la photo est dans le dossier sur CD-ROM envoyé en 2005 par mon avocat de l’époque.
Non assistance à personne en danger
Mylène FARMER sait qui avait intérêt à me menacer de mort physique en 2005, lorsque je parvenais à percer leur rempart, Pascal NEGRE étant nécessairement dans la boucle des questions transmises à Mylène FARMER demandant si la vente de « Anamorphosée » est légale. En me renvoyant la responsabilité de l’homicide, l’avocate a brisé le sceau du « secret » entre Pascal NEGRE et Mylène FARMER et a elle mis le « corbeau », le responsable de l’homicide en danger de dénonciation par la chanteuse si elle rompait ses liens corrompus avec « son ami de bons conseils ». J’ai été menacée d’être écrasée contre une balustrade par un véhicule qui m’attendait à la gare du RER, m’a suivie, dépassée et s’est positionné perpendiculaire au trottoir et à démarrer en faisant mise de me coincer. Cette avocate fut immédiatement informée de cette menace, photos à l’appui et n’a jamais entrepris la moindre démarche pour mettre un terme à toute cette criminalité. Mylène FARMER sait que la menace a été commanditée par le « corbeau », le seul à redouter depuis l’enquête en 1997 qu’elle lui cède et dise la vérité. Je lui ai fait savoir que s’il m’arrivait - comme Bertrand LEPAGE en 1995 qui se savait en danger de mort - un « accident » suspect, Pascal NEGRE serait immédiatement suspecté en signalant l’information déposée au TGI d’Evry. Depuis 20 ans Mylène FARMER et Caroline FABRE BOUTONNAT savent que la cause du décès est de leur côté avec Pascal NEGRE dans la boucle des questions. L’avocate sait que Mylène FARMER avait donné toutes les informations me concernant au patron de Polygram. Il sera toujours question de « non-assistance à personne en danger » de la part de ces deux femmes avec, depuis, la dissimulation et la rétention d’informations à la Justice et au CNRS, pleinement conscientes et donc responsables de leur choix, c’est un très grave délit au regard de la loi, qui revient à protéger le vrai responsable du décès et vaut complicité.
Le commanditaire du second vol au CNRS
Qui aurait pu transmettre la version jamais publiée de « Chutes et Mémoires » à Pascal NEGRE ? Il ne veut pas donner de nom car il est le commanditaire. Que répond Pascal NEGRE aux avocats devant ma page officielle : « ce n’est pas son problème » ? Exploiter « Chutes et Mémoires » sans contrat avec moi-même et le CNRS, et incapable de se justifier, ce n’est pas son problème ? Si Pascal NEGRE, PDG déchu d’UMG-France, veut démontrer aux avocats des incriminés qu’il n’est pas le « corbeau » qui lit mes lignes comme il l’a fait pendant des années avec mes lettres en quête de vérité - qu’il contacte donc les juristes du CNRS pour restituer mes biens intellectuels et proposer des dédommagements conséquents au CNRS : 30 millions de francs de bénéfices au bas mot que Polygram (Pascal NEGRE) devait récupérer en 1996 et 1997 (album et concert) !
Son mutisme et son immobilisme face à ces lignes ne font qu’alourdir la liste de ses contradictions avec ses propres fuites de la justice. Les preuves de sa volonté de me faire fuir, lui, Pascal NEGRE, avec ses titres, fonctions et abus de pouvoir autocrate, existent, Mylène FARMER et moi ensemble avons des preuves complémentaires accablantes qui le prouvent. Il lui sera difficile devant un juge d’instruction de se faire passer pour un individu « sain d’esprit » dont je ne serais pas l’obsession et nier devant Mylène FARMER l’usage détourné extrêmement pervers de mes lettres, petite croix en allumettes pour mettre aussi Mylène FARMER face à sa propre duplicité, malhonnêteté et corruption.
Le droit, le devoir et la loi face à la corruption d’un star system qui contrôle et entretient une idolâtrie de façade
Le CNRS ne gardera pas cachée et sans restitution des biens et de la vérité, une escroquerie juridico-culturo-commerciale d’une ampleur sans précédant qui le concerne face au TGI d’Evry qui a dissimulé la gravité des faits avec l’origine vérifiable par un juge d’instruction. Les sciences sociales et humaines (SHS) du CNRS qui analysent les faits de société de grande ampleur, ne peuvent pas s’ignorer. Avec mes deux rapports, les SHS sont au cœur d’un phénomène de société historique, et il n’y aurait aucune excuse à contraindre mon organisme-employeur, alors que c’est aux avocats de Mylène FARMER, à obtenir de sa part, la régularisation de ses devoirs depuis que mes lignes sont publiques, bien avant NEVERMORE programmé au stade de France en juillet 2023, annulé sur ordre du Président de la République à la dernière minute, le stade, propriété de l’Etat où ce spectacle de Thierry SUC n’avait pas sa place.
Question de bon sens
Le bon sens incite à penser qu’en raison de ma page professionnelle persistante n’ayant pas d’autre alternative dans un Etat de droit et les menaces d’une intervention légitime du CNRS, la chanteuse Mylène FARMER qui se lit déchue au CNRS, a fini par céder et par montrer ses lettres reçues anonymement à ses avocats, ce sont des pièces à conviction majeures dissimulées depuis l’envoie par le « corbeau » en 1997 car elles me nomment. Mon témoignage public et légitime, leur permet de constater qu’elle leur montre la vérité contrariante pour le « corbeau », son ami intime aux liens privilégiés de si « bons conseils » : ses lettres qu’il lui renvoya s’adressent à Bertrand LEPAGE, elles datent de 1995, elles mentionnent mon nom, le titre de mon texte « Paysages mentaux » (les dates permettent de constater qu’il était encore inédit, preuve de la compromission de Polygram) et probablement le titre de son album « Anamorphosée ». La chanteuse avait compris que ses lettres avaient disparu car les enquêteurs ne lui ont jamais mentionné mon nom, et réciproquement, elle s’est gardée de signaler leur disparition ainsi que mon nom, alors que j’aurais dû être convoquée. Pour une chanteuse qui n’aurait rien eu à se reprocher, cette dissimulation prouve bien le contraire et que ses lettres en sont la preuve. Elle ne fut donc pas surprise de les recevoir, mais elles n’étaient pas de nature à la terrifier pour me fuir, alors que tel était le but du « corbeau ». Ce qui est une menace et terrifiant, c’est bien la preuve de la mort avec coup et blessures, donc elles portent des traces de sang du défunt, preuve que cet album prend sa source dans un terreau de violences en 1995, qui n’a pas surpris la chanteuse et qui justifie probablement la « trahison » de feu Bertrand LEPAGE. Le « corbeau » lui a renvoyé ses propres lettres avec des traces de sang du destinataire, traces incontestables, et donc décédé à cause de ce qui est lisible dans ses lettres. Or qui d’autre que l’auteur de l’homicide savait que ce sang était celui du défunt et avait des raisons personnelles d’attiser la psychose de la chanteuse et de continuer de la manipuler en 2001 avec ses livrets pour tenter de me chasser ?
Et qui d’autre que Pascal NEGRE en réalité, a des raisons d‹obtenir de Mylène FARMER, avec leurs liens privilégiés, un silence absolu, un individu qui use de la terreur pour parvenir à ses fins, parce que la chanteuse a été mise dans un état de terreur avec cette lettre anonyme, la menace de subir le même sort. Le « corbeau » qui donc, en vérité, est auteur de l’homicide avec des raisons personnelles de chercher à m’atteindre.
Cet individu est un « tueur dans l’âme », Mylène FARMER était dans un état de terreur suite au crime de sang, Pascal NEGRE le savait, il est de notoriété publique qu’elle est suicidaire. Je considère, ayant moi-même subi une menace de mort physique, que son but était de se débarrasser des témoins de sa compromission, sans éveiller de soupçons de son côté; elle devait mettre fin à ses jours et c’est exactement ce qu› il s’est passé avec sa tentative de suicide peu après la réception de cette enveloppe.
Ce pervers a réussi à convaincre sa fratrie que j’étais l’instigatrice, suite à la coupure de « Chutes et Mémoires » . En 2001, comme je continuais de lui écrire, il a su convaincre Mylène FARMER que je menais un double jeu, elle devait me faire fuir avec ses comportements malsains obsédée par ses photos et ses postures pornographiques.
Des comportements psychotiques contre-productifs
L’effet fut contraire aux objectifs et aurait du conduire Mylène FARMER et Pascal NEGRE devant les tribunaux du TGI d’Evry. Je maintiens que le « corbeau de Polydor » qui m’a dans sa mémoire est d’une perversité et d’une duplicité qui ne cesseront jamais et dont la dangerosité doit être reconnue. Il doit être identifié par la justice : les avocats peuvent constater la flagrance, aucun ne dément ces lignes, à commencer par Pascal NEGRE, ainsi que l’ampleur désormais historique de cette très grave omerta, car j’en suis la victime et n’en serai jamais la complice : mes témoignages sont inscrits dans ma carrière au service de l’Etat, avec une haute conscience de l’éthique, de la déontologie, du devoir et du respect de la personne humaine.
Ce qui me choquera à vie, outre le meurtre commis à cause du vol de mon inédit, c’est l’absence d’un comportement adulte de Mylène FARMER. Elle savait que son éditeur était dangereux mais elle n’avait rien vérifié avant de s’assurer qu’elle ne commettait pas une « méprise » à stigmatiser une femme qu’elle ne connaissait pas et dont elle n’avait jamais reçu la moindre lettre manuscrite. J’ignore encore quel « deal » le défunt lui avait inventé à mon insu sachant à l’avance qu’elle n’y résisterait pas, animée d’une naïveté, d’une immaturité et d’une crédulité alarmantes, qui génère chez elle des réactions psychotiques avec une volonté de blesser qui en dit sur long sur ses profonds déséquilibres psychotiques et sa quête d’emprise hypnotique sur les foules.
Elle n’a jamais dit un mot sur cette « Alice », clou de son spectacle de 1996, parce que Pascal NEGRE lui a ordonné de se taire en ayant compris qu’elle est le fruit de ses psychoses. Par contre, elle n’a pas résisté à donner mon nom à Eric le graphiste avec une volonté de nuisance manifeste en 2001. Ma page lui renvoie cette vérité publiquement qu’elle ne dément pas. La chute est iconoclaste mais elle s’inscrit dans une information d’intérêt public pour en finir avec des comportements psychotiques aussi criminels que toxiques.
Du discernement pour les avocats sur la dangerosité de Pascal NEGRE
Replacer dans le contexte la sortie du livret Live à Bercy, le 21 mai 1997, mon invitation pour le colloque le 26 mai 1997, le crime de sang début juin 1997. Bertrand LEPAGE ne s’est pas donné la mort en découvrant le livret de Innamoramento en 1999 (mensonge pour un média), il a été retrouvé mort par balle après le livret de Live à Bercy et ce n’était pas un suicide. En découvrant Anamorphosée en 1995, cet homme avait compris qu’il était en danger de mort si j’écrivais à Mylène FARMER : « c’est une mygale, elle m’a tué » . Qu’a-t-il découvert dans le livret du Live à Bercy ? La chanteuse peut tout confirmer, c’est dans son intérêt : sa dédicace manuscrite « Vous m’avez manqué, vous me manquez merci…, Mylène Farmer » sur une des pages non concernées par ses postures sexuelles provoquantes d’une rare vulgarité, tandis que le président de Polygram qui veille à l’illustration du livret et qui avait déjà accepté de noircir sa paire de fesses d’Anamorphosée, avait choisi la page centrale, Mylène FARMER dominant Alice, l’araignée au plafond de Bercy, et comme dédicace sur le même thème du manque en caractères d’imprimerie « comme tu me manques, comme tu me manques, comme tu me manques, l’araignée » en taille décroissante. Bertrand LEPAGE a alors compris cette stigmatisation d’Alice dans le livret du Live : 1° j’avais écrit sans passer par lui, évidemment, et Pascal NEGRE avait été informé par Mylène FARMER, 2° elle ne m’avait pas répondu et elle restait dans son délire à communiquer par ses livrets, 3° elle était complice de Pascal NEGRE dans la dissimulation de ma lettre à Laurent BOUTONNAT et à sa sœur avocate, 4° Pascal NEGRE se moquait de ma personne, ayant cru que je m’étais identifiée et se doutant que je vérifierai le livret, faute d’une réponse honnête et normale de la chanteuse.
Quand bien même croire qu’une telle dédicace manuscrite s’adresse à des centaines de milliers de consommateurs relève de l’absurde, je n’avais aucune raison de m’identifier. Pour un esprit équilibré, si lui manquer avait été le cas, il lui aurait suffi de me contacter à l’adresse de mon Unité de recherche au CNRS, et au minimum de m’envoyer une photo dédicacée en réponse normale à ma lettre. Le résultat ne fut pas celui escompté, puisqu’elle fut invitée au colloque de l’UNESCO via Polygram-Polydor.
Rétrospectivement j’avais bien affaire à une personne au sens critique « peu aiguisé », Mylène FARMER n’ayant pas compris l’élémentaire évidence : si je lui écrivais plus d’un an après son album « Anamorphosée » via son agent, en expliquant que je la découvre et en lui demandant si mon texte l’a inspirée, c’est que je n’étais au courant de rien. Sa dédicace était absurde, son éditeur en avait conscience. Lui écrire était ce qui pouvait lui arriver de pire, Bertrand LEPAGE s’est découvert trahi par Mylène FARMER, livré à Pascal NEGRE.
Et les avocats croiraient encore que Bertrand LEPAGE n’avait pas redoublé d’angoisse ? Qu’il ne craignait pas un règlement de compte du président de Polygram, Pascal NEGRE ? Que se munir d’une arme à feu chargée, ce n’était pas se sentir en danger de mort ? Que sa mort est un homicide involontaire ? Le « corbeau » avait la tête froide, il a su maquiller la scène de crime avec les photos pornos pour éloigner les soupçons de Mylène FARMER de Polygram (Pascal NEGRE) et subtiliser toutes les preuves manuscrites de Mylène FARMER prouvant l’illégalité de « Anamorphosée ». Avec une maîtrise en mathématiques, Pascal NEGRE a un esprit logique. Il avait tout compris comme le prouve cette dédicace « Comme tu me manques l’araignée », il sait que la chanteuse n’a pas le QI d’Einstein et il eu confirmation de tout en se rendant chez Bertrand LEPAGE, se gardant bien d’annoncer sa visite. Personne ne devait le savoir et surtout pas Mylène FARMER. Il me lit et ne me dément pas.
La manifestation de la vérité à géométrie variable : une enquête expédiée aux manquements édifiants
Depuis l’enquête de 1997 sur les circonstances (cachées) de l’homicide de son éditeur-pygmalion, jusqu’à preuve du contraire tout n’est que complaisance pour ne pas contrarier Mylène FARMER jusqu’au festival de Cannes. Le sandale est consommé. C’est flagrant avec le TGI d’Evry depuis 2001 et auparavant avec les enquêteurs qui n’ont pas cherché longtemps du côté de la profession de Bertrand LE PAGE « pour la manifestation de la vérité ». Il avait fondé une nouvelle maison d’éditions en 1995 avec d’autres femmes, dont Corinne VAGLIO tout en manageant une nouvelle chanteuse. Elles ont été logiquement les premières entendues, les enquêteurs n’ont donc pas pu ignorer que l’éditeur avait qualifié Mylène FARMER de « mygale » lorsque « Anamorphosée » était sorti. L’évidence d’une malversation cachée entre le livret et des sources d’inspirations transmises par l’éditeur, n’a pas échappé à son premier cercle et en 1999 Platine a percé une partie de l’omerta « un secret bien gardé » accusant implicitement Mylène FARMER d’être à l’origine du décès et de sa dissimulation publique.
La complaisance des enquêteurs de cette époque est d’une évidence qui restera historique. Il n’y avait aucune trace de contrat entre la maison d’éditions et l’auteur d’un texte à l’origine du titre aussi original. La faute des inspecteurs est magistrale, ils ne lui ont jamais demandé l’origine du titre aussi peu commun, si il y avait un lien avec son éditeur et d’elle-même, elle l’a bien dissimulée comme le prouvent déjà ses propos en 1995 en contradiction avec sa chanson « California ».
Elle dissimule et tord la réalité sans aucun scrupule. C’est une entrave à l’identification de l’auteur de l’homicide et la manifestation d’un mépris pour le défunt et sa famille.
Face à ma page, face à l’Etat de droit
Il faudra des thèses en sciences humaines pour analyser ces comportements dans les arcanes de la Justice qui dissimulent des délits, surtout au CNRS face au TGI d’Evry et l’origine de la dissimulation, elle remontera officiellement à la surface. Les avocats de Mylène FARMER lui auront-ils fait entendre qu’être face à ma page officielle et connue du CNRS, c’est être face à l’Etat de droit ? Et qu’entraver par son immobilisme l’identification du « corbeau », le vrai responsable de l’homicide qui m’a dans son viseur, parce que je suis la chercheuse du CNRS spoliée et donc témoin, vaut complicité ? Elle a les mêmes devoirs que les miens, l’obligation d’informer la Justice de ce qu’elle cache à la famille du défunt depuis son accord secret avec son ami aux liens si privilégiés Pascal NEGRE à la minute où elle lui a fait part du décès : cacher mes deux lettres du 22 novembre 1996, celle à en-tête du CNRS et celle avec mon adresse personnelle.
Ma page s’inscrit dans cette obligation et mon action est connue à la Direction des Ressources Humaines du CNRS. Mylène FARMER (GAUTIER) a donc le devoir prioritaire de confirmer au CNRS tout ce qu’elle dissimule des liens entre mes deux textes et Polygram/Polydor, leur exploitation à mon insu et de mettre un terme à ses comportements intolérables à mon égard à faire le jeu du « corbeau » en connaissance de causes depuis au moins 2005. Lâcheté et mépris pour la famille LE PUT, pour Laurent BOUTONNAT qui n’a pas assisté à son NEVERMORE.
Tant que Mylène FARMER ne sera pas contrainte par ses avocats, face à ma page qui perce son omerta, à se comporter en citoyenne qui respecte ses devoirs civiques les plus graves, elle continuera de trahir la confiance comme au festival de Cannes et de mépriser des grandes institutions comme le CNRS.
Un dégoût pour Pascal NEGRE et un documentaire de Netflix, une vraie « bombe » sur sa mafia à quelques semaines du festival de Cannes et à laquelle Mylène FARMER ne s’attendait pas
Le dégoût pour cet individu finit ENFIN par se faire entendre en mars/avril 2025 avec le documentaire d’Anne-Sophie JAHN et les preuves d’artistes contraints de se taire pour ne pas contrarier la carrière d’un chanteur. On retrouve les vices du personnage et son mépris de la gravité des faits, minimiser un féminicide qui doit rester une affaire privée pour ne pas contrarier la promotion d’un album attendu par des fans. Faut-il s’étonner que cette journaliste enquêtant sur les circonstances d’un meurtre ait subi , elle aussi, « des vagues de harcèlement très agressives » (sic) et découvert le déni de Pascal NEGRE de la violence faite aux femmes, « un accident » ?
Et le décès de Bertrand LEPAGE, c’était aussi un accident qui a contrarié le « corbeau de Polydor qui m’a dans son viseur » ? Notre point commun : l’ex-PDG d’UMG-France, ex-patron de Polygram, le « corbeau » qui lit ses lignes et se terre dans un mutisme révélateur. Au moins une femme chanteuse, Lio, grande amie de Marie TRINTIGNANT, aura eu l’audace de faire face à cette autre omerta, en disant le fond de sa pensée, et combien ce milieu lui a fait payer sa franchise et son courage.
En définitive, ce que Mylène FARMER a à dire depuis 1997, et Caroline FABRE-BOUTONNAT le sait, c’est à un juge d’instruction : jamais un mot pour Bertrand LEPAGE depuis son décès, jamais un mot sur l’origine du titre « Anamorphosée », jamais un mot poli, honnête et respectueux pour moi-même. Au moins ma page a l’honnêteté de citer cet inconnu dans ma vie, en restituant une immense partie immergée de l’iceberg corrompu de sa carrière avec mes larmes qui ne tarissent pas :
J’ai écrit à Polygram sur les encouragements des salariés de Pascal NEGRE et cet inconnu en est mort assassiné !
Les avocats des incriminés ont-ils la capacité de comprendre la réalité, ce que cela représente dans ma vie et ma carrière ?
Au moins j’ai une conscience et une éthique élémentaire à rappeler que ses 30 ans de carrière 1995-2025 sont inséparables de ma carrière et qu’elle doit la vérité au CNRS afin d’être en règle avec la société et la famille LE PUT.
Je ne suis pas la femme qu’elle a cru interpeller depuis 1995 et elle me laisse en héritage de ses 30 ans de carrière le lien indélébile entre mon texte pour Phréatique et l’homicide de son éditeur.
Un dégoût pour Thierry SUC
Ce que je pense de Thierry SUC trop vénal en 1999 pour se soucier du sort de son collègue défunt et qui voulait me voir cesser de l’importuner à lui écrire et à passer par TS3 : ce monsieur ne connait la politesse que si l’on fréquente ses « stars » avec une mentalité de snob à étaler son statut social, ce qui n’est pas mon cas et bien mal lui en a pris. Il est donc en bonne place dans mon rapport de 38 pages pour le CNRS depuis mars 2023. Qu’il aille lire mon site personnel, entre autres dans L’épilogue de mon « Empire du Milieu » pour en découvrir dans mon premier cercle, qu’il connait bien, si proche de mon oncle, ancien inspecteur général de la police des polices et comment il provoqua une telle panique chez Pascal NEGRE et Mylène FARMER, qu’ils en annulèrent « Mémoires » en 1998.
Un dégoût pour l’hypocrisie de femmes qui prétendent vivre pour des valeurs mais qui entretiennent la maltraitance
Caroline FABRE-BOUTONNAT, femme de loi qui ne fallait pas davantage importuner, se retrouve également en bonne place avec les mêmes devoirs que les miens, reconnue pour avoir été « juge et partie ». Quant à Mylène FARMER : depuis mars 2023 elle est en réalité une icône déchue au CNRS : déposer une plainte a paru légitime et cette fois j’ai répondu OUI ! sans hésitation.
Voilà « pour la manifestation de la vérité » qui m’est interdite au profit d’escrocs dans un Etat de droit, alors que les avocats sont bien placés pour savoir que la dissimulation d’informations permettant la « manifestation de la vérité », en l’occurrence l’identité du responsable de l’homicide, « le corbeau », est un délit : la loi concerne tout citoyen, autant des avocats que l’agent de l’Etat que je suis. Ses avocats savent où et quand le drame s’est produit et quel TGI n’a pas insisté, comme celui d’Evry, pour identifier le responsable du décès de l’éditeur qui a compromis la carrière prometteuse de Pascal NEGRE, patron de Polygram à 33 ans.
Voilà le fond de ma pensée que je ne communique pas de façon codée et cachée à l’insu de la société. De sa « carrière » je ne retiens que l’homicide de son éditeur-pygmalion caché et qui m’a été renvoyé par l’avocate, sœur du compositeur de « Désenchantée » et réalisateur de « Libertine », pour ne pas contrarier Pascal NEGRE et leurs contrats. Les faits sont là : le vol de mes deux inédits « Paysages mentaux des racines évolutives humaines » et « Chutes et Mémoires », jamais démenti par cette avocate et exploités illégalement pour leurs albums « Anamorphosée » et « Mémoires », chez Polydor. C’est leur société Requiem Publishing (Farmer & Boutonnat) qui a édité le livret illégal « Anamorphosée », et qui devait éditer les chansons de « Mémoires ». Probablement le sont-elles depuis septembre 1998.
Le CNRS est en position de faire valoir « La manifestation » de la vérité » sur les illégalités entre cette société et mes deux inédits.
Tous entrés par la mauvaise porte de l’histoire du CNRS, je laisse Mylène FARMER me lire et y voir le reflet de ma petite croix en allumettes, comme elle l’étale sur sa pochette « Avant que l’ombre » (2005) en « prostituée de l’assassin ». Il eut été plus honnête pour le compositeur Laurent BOUTONNAT d’intituler cet « opus » « A l’ombre de la Justice ». C’est ce que les Sciences sociales retiendront de la véritable biographie des incriminés (FARMER, NEGRE, SUC, FABRE-BOUTONNAT) et elles ne resteront pas inédites.
En 2014, toujours naïve à croire cette femme honnête, un concours de circonstances fit que grâce à des personnes au fait de cette réalité reconnue par des personnalités du niveau moral et intellectuel comme René LENOIR, il me fut possible de lui remettre une enveloppe évitant le « corbeau » (Pascal NEGRE) et le très vénal et très lâche Thierry SUC (TS3). Je lui ait offert un exemplaire de l’album photo « Souviens-toi de ta noblesse » (2014) avec ce passage « Le paradigme perdu est à découvrir dans une humanité réconciliée avec sa féminité, avec les premières des mères, celles qui portaient dans l’eau salée des océans primitifs, la naissance de l’humanité et en ayant accepté un jour, d’aller au-devant de tous les risques d’une terre-mère inconnue, le premier cimetière mais aussi une larme bleue dans l’immensité du cosmos, si singulière par l’émotion qui en rayonne. »
Quelques mois plus tard Mylène FARMER téléphonait au secrétariat de l’Institut de Paléontologie Humaine, mais sans suite. Voilà son niveau « d’humanité » dans un Etat de droit.
En 2018, Mylène FARMER sortait DESOBEISSANCE anamorphosé sur AN avec Histoire de fesses et Des larmes dont le clip de 2019 s’achève sur une louve blanche avec laquelle elle partage ses pensée et une phrase : « Et dans ma prison de verre, moi je ne sais plus comment faire ». Avec ma grande naïveté, elle a donc reçu une belle invitation en 2020 pour visiter l’IPH avec moi-même, en raison de son appel personnel à la fondation en vu d’un « potentiel » tournage, invitation restée sans réponse. Résultat : une jeune chanteuse promue par Laurent BOUTONNAT et Mylène FARMER disparait aussi vite et Laurent BOUTONNAT qui brille par son absence au NEVERMORE alors qu’il était le « chef d’orchestre » du précédant show en 2019, aura sans doute compris que l’échec de Giorgino est l’origine du vol de mon inédit. « L’effet papillon » pour rembourser Polygram se lit sur cette page 30 ans plus tard, avec l’assassinat de son collègue par le patron Polygram Pascal NEGRE qui reste aussi muet qu’une carpe. Ce qui serait très grave, c’est de ne pas l’avoir encore compris, mais sa soeur lui a expliqué « il n’y a pas prescription » pour la vente de « Anamorphosée » qu’elle sait illégale depuis 20 ans, car les liens avec mon texte inédit sont cachés aux enquêteurs et Pascal NEGRE refuse d’aider à identifier l’assassin, ce qui en fait l’unique suspect.
30 années de très graves impostures : mai 1995 - juin 2025, une « confession » et des cumuls de maltraitances
En mai 1995, alors que je travaillais à l’IPH, sans que je n’en sache rien, Mylène FARMER exploitait donc mon inédit volé dans ces murs avec l’intention de m’interpeller sans s’assurer qu’elle ne commettait pas une effroyable méprise, alors que Bertrand LEPAGE avait été expulsé par l’ancienne direction de Polydor en raison de comportements trop compromettants pour Mylène FARMER et sa carrière. A la sortie de l’album il la qualifie de mygale et elle cache toute référence à mon texte en mentant et en faisant croire qu’elle était, elle, l’auteure de MA métaphore.
En avril 2025 Pascal NEGRE annonçait que Mylène FARMER a été « sollicitée » pour « une prestation exceptionnelle » en ouverture du festival de Cannes (mai). J’ai cru qu’elle aurait saisi cette occasion pour soutenir la réalisatrice Anne-Sophie JAHN et Lio, tant elle est connue pour sa proximité avec Pascal NEGRE et le désavouer. Il n’en fut rien. Lio restera historiquement une femme actrice et chanteuse qui aura eu le courage, elle, de faire face à l’omerta de Pascal NEGRE, aux vices cachés de l’industrie du disque quand une mort dérange.
En plein festival, Mylène FARMER savait depuis 20 ans, qu’elle est une escroc hors-norme à cacher cette vérité depuis que sa forteresse a été percée, l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT découvrant toutes les horreurs dissimulées par l’ex de son frère.
Cet inconnu dans ma vie, Bertrand LEPAGE, est aussi martyr : assassiné avec coups et blessures, ses archives volées, détournées, instrumentalisées par un « corbeau » qui m’a dans son viseur, sa mémoire bafouée, mes efforts pour percer l’omerta étouffés au sein du Tribunal de Grande Instance d’Evry (l’origine du mot d’ordre est facilement déductible depuis le 12 février 2016), le martyr est enfin archivé au CNRS.
Mylène FARMER me lit car elle redoute mes capacités de dénonciation dans le cercle de Bertrand LEPAGE et mes décisions à son égard, outrée par autant de mépris et d’authentiques lâchetés. Elle sait qu’Eric de Com’NB a vendu la mèche en 2001 et que suite à ces propos calomnieux, l’information sur le décès a été rédigée ! C’est rédhibitoire devant un juge d’instruction qui découvrirait l’origine de sa dissimulation, car elle est vérifiable.
Mylène FARMER me lit depuis 1995 ! et n’a en fin de compte rien produit d’exceptionnel, elle a changé ses plans en dernière minute, écrit un texte très court plaqué sur la mélodie d’une chanson offerte par trois admirateurs nostalgiques de NEVERMORE complètement « à côté de la plaque », qu’elle a intitulé « Confession » avec un visuel dans la même fibre que MORE : quatre lettres au final de son dernier concert NEVERMORE projetées sur grand écran se reflétant comme dans une mare de sang et toutes éclaboussées. Des fans avaient été intrigués par ce « message ». Le visuel de Confession est un fond rouge couvert de tâches de sang sombre et elle qui s’enfuit à grande enjambée « Te chercher sans cesse (…) trouver la paix (…) Nos cicatrices sont là, je coagule mal ».
Sa tentative de suicide, certainement sans cesse présente à son esprit, est une des nombreuses conséquences de sa fuite des juristes après la lecture de ma lettre de 1996, dont la pire est l’assassinat et le plan machiavélique du « corbeau » assassin qui a des raisons personnelles de se focaliser sur ma personne, l’ex-président de Polygram Pascal NEGRE, alors que pour moi-même et donc les juristes du CNRS les liens avec l’album « Anamorphosée » sont théoriques et doivent être confirmés par les voies de la Justice.
Mais si Mylène FARMER tenait vraiment à trouver la paix, au lieu de s’enfermer dans ses chansons codées dont elle tire profit avec Pascal NEGRE à l’insu des consommateurs, elle contacterait la DRH du CNRS comme elle aurait dû le faire depuis son éjection en 2016 et elle remplirait ainsi ses devoirs civiques. C’est pourquoi sa DESOBEISSANCE (2018), son EMPRISE (2022), son NEVERMORE (2023-2024), sa CONFESSION (2025) ne sont que de la poudre aux yeux, des fantasmes. Ses avocats ont une très lourde responsabilité à maintenir son omerta. Ils n’ont sans doute pas encore compris ce qu’est le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et sa finalité ? : étudier, analyser et diffuser, et que ce scandale incommensurable, une mafia au cœur de l’industrie du disque et des méga-shows de Thierry SUC, sera étudié, analysé et publié par le CNRS puisque l’Institution est concernée, que j’en suis membre et que ce scandale concerne le CNRS et ma carrière.
« Trouver la paix », mais avec des états d’âme à géométrie variable selon le sens du vent. En fait, trouver la paix parce que je ne cède pas et que je deviens une menace chronique avec des réalisatrices comme Anne-Sophie JAHN si elle ne régularisait pas sa situation et continuait de tromper la société sur ses 30 années d’escroqueries. A lire ma page, elle en a pris conscience peu avant le festival, car se savoir la plus grande escroc de la chanson française et complice à couvrir l’assassin de son éditeur, le « corbeau » de Polydor qui n’est pas prêt de nous oublier, elle et moi-même, n’avait pas pour autant troublé sa conscience pendant qu’elle mimait une IA dans le film « Dalloway » inspiré d’un roman de la fille de Joel de ROSNAY.
Alors « trouver la paix » avec son saut de puce au festival de Cannes et sa voix de complice du « corbeau » et le compositeur de sa « Confession » de façade - qui ne s’en remet pas, « il s’est passé quelque chose » (!) - sonne plutôt faux, contrainte parce que acculée face au CNRS et ma détermination : elle me doit la vérité et être iconoclaste m’indiffère totalement. Les « informés » n’en doutent pas, elle n’a pas fini de laisser des blessures qui ne se cicatriseront jamais, quelque chose de l’ordre du monstrueux dans son absence totale de morale, de déontologie et d’éthique toujours au service de sa seule gloire : son « dessin » pour les 25 ans de Lolita par Alizée, juillet 2025 : ce n’est pas un souvenir d’un moment de joie propre à cette jeune chanteuse, c’est Mylène FARMER soi-même, en fillette qui boude et son double, une chatte bipède. Il n’y en a que pour elle.
La France est un Etat de droit
Nous sommes dans un Etat de droit, le CNRS ne peut pas aller à l’encontre de la loi en faisant le jeu d’une mafia criminelle qui a volé et exploité des talents d’un de ses agents, en dissimulant mes rapports circonstanciés après toutes les preuves de complaisances d’avocats à son égard et d’inactions au sein du TGI d’Evry dont la cause est vérifiable en empêchant une famille de connaître l’assassin d’un de ses enfants pour ne pas contrarier Pascal NEGRE, Mylène FARMER, Thierry SUC et les BOUTONNAT.
Je consacre 50 % de ma page à décrire ce scandale incommensurable afin que les avocats de la chanteuse régularisent cette situation, ANORMALEMENT silencieux avec le CNRS et devant ma page à lire qu’Edgar MORIN a souhaité que la clarté soit faite. Les juristes du CNRS informés depuis janvier 2025 peuvent constater jour après jour que ses avocats auront fait le jeu de l’omerta jusqu’au festival de Cannes, alors que le très grave contentieux avec moi-même et le CNRS en lien direct avec l’homicide est lisible sur ma page officielle qu’ils ne démentent pas et vérifiable sur pièce par un juge d’instruction avec les excuses ! de feu Georges KIEJMAN, ne pouvant pas m’aider, alors que je le portais en grande estime. Je n’aurais jamais cru possible qu’il couvre sa collègue avocate, qui 1° m’a renvoyé la responsabilité du décès, 2° s’est emmurée dans le mutisme le plus total, ne comprenant plus pourquoi Mylène FARMER cessait de m’accuser de l’avoir menacée de mort avec ses lettres tachées de sang et de la traiter de plagiaire et 3° constatant que la chanteuse ne me démentait pas : Mylène FARMER a exploité mes deux textes avant leur édition et oui elle savait depuis longtemps par mes lettres qu’ils étaient pour Phréatique et donc volés inédits au CNRS (unité mixte CNRS-Muséum).
Je résiste donc avec ma page professionnelle, c’est un vrai combat de femme et ce n’est pas mon ami Edgar MORIN qui m’aura écrit le contraire : la résistance et il sait de quoi il parle.
Le scandale est plus phénoménal que celui du documentaire d’Anne-Sophie JAHN. Ses avocats continuent de démontrer magistralement le déni de la hiérarchie des priorités, identifier l’assassin, « le corbeau » de Polygram qui m’a dans son viseur.
J’ai une page mais aussi une plume qui n’oubliera jamais Bertrand LEPAGE, sa biographie inédite avec celles et ceux qui l’ont connu et ont subi et subissent encore l’omerta du trio FARMER-NEGRE-FABRE BOUTONNAT. Vu le contexte avec la reconnaissance des violences faites aux femmes dans la « société du spectacle », je la laisse méditer sur le rapport d’enquête de l’Assemblée nationale, 2 avril 2025, avec ses messages cryptés et lâches pour « initiés » bien à l’abri de la Justice :
Mais quelle humanité pour les victimes, brisées, silenciées, oubliées, bannies ? Quelle pensée, par exemple, ont eu Pascal Nègre et Wajdi Mouawad pour Marie Trintignant et Kristina Rady ? Au nom de l’argent, de l’art et du talent, on ne s’intéresse qu’à la prétendue « souffrance » de l’artiste maudit, à son « effondrement tragique », à sa « chute phénoménale ». Cessons d’humaniser à outrance le regard que l’on porte aux auteurs de faits pénalement réprimés, mettons un terme à cette indécence ; cessons de déshumaniser les victimes, mettons en lumière leurs combats.
Leur biographie est désormais inséparable du CNRS et c’est ma dignité et ma satisfaction de ne pas leur ressembler. Mylène FARMER restera toujours responsable des conséquences tragiques de ses erreurs accumulées depuis 1995, depuis sa fuite des juristes en 1996, 1997 et de cet enfer dans ma vie. Elle s’est rendue coupable d’entrave préméditée à la manifestation de la vérité en juin 1997.
Si elle n’a pas encore compris que je ne laisserai pas à mes héritiers un dossier aussi dangereux, et le CNRS sait ma détermination de mère sans équivoque - et cette détermination là, ni Mylène FARMER, ni personne d’autre, ne me la retireront, elle en découvrira le prix légalement mais sans compassion.
Au final personne ne ressortira indemne d’une relation avec Mylène FARMER depuis au moins 1995. Je ne lui ai jamais rien demandé, j’ai cherché à l’aider jusqu’en 2020, sacrifiant ma page professionnelle depuis 2022 pour que ses avocats lisent tout ce qu’elle, Pascal NEGRE et Caroline FABRE BOUTONNAT dissimulent au CNRS, à la Justice et à la famille du défunt et pour la sortir de son marasme d’une inhumanité ahurissante !
En fin de compte le constat est là : elle me lègue un meurtre dans ma carrière par sa faute avec l’assurance d’un parfait mépris collectif : sa fratrie, les BOUTONNAT et le très vénal et très lâche Thierry SUC.
C’est sera une honte historique pour ses avocats d’avoir laissé cette femme, la plus grande escroc de la chanson française, déchue au CNRS (la pertinence d’une plainte) être présente au festival de Cannes et se produire devant une assistance qui ne sait rien de sa duplicité et de sa propre criminalité à couvrir le PDG déchu d’UMG-France, le seul à qui profite l’élimination du défunt et le vol des lettres avec mon nom envoyées par le « corbeau ». Pascal NEGRE et le « corbeau » ne font qu’un. Elle sait le sens de la petite croix en allumettes, elle en aurait eu besoin avec nos preuves réunies en 2005 pour prouver le détournement de mes lettres par Pascal NEGRE et ce qu’il en faisait, lui, le grand patron de Polygram puis d’UMG-France qui n’est pas censé avoir un toc pervers à mon égard depuis la publication incomplète de « Chutes et Mémoires » !
La fabrique du mensonge et mes « larmes bleues, en bleu final »
Les avocats de Mylène FARMER sont conscients qu’elle aura caché son vrai statut de hors-la-loi. Une conscience corrompue depuis l’homicide. En réalité, elle porte seule la responsabilité de son ahurissante attitude à mon égard en 1995 : ne pas se donner la peine de me contacter pour vérifier et avoir une telle malhonnêteté à s’approprier mon concept de l’anamorphose de la conscience sans me citer.
Je n’ai jamais accusé Mylène FARMER de plagiat et la vérité c’est que mon texte n’était pas édité quand elle l’a exploité.
La présence de Juliette BINOCHE au festival de Cannes, la nièce de mon collègue Henri STALENS, aura été un imprévu comme un boomerang venu des profondeurs, celles chargées du sens des valeurs si bafouées.
Mylène FARMER est le genre de personne à qui il ne faut rien céder et surtout ne pas se laisser séduire, « s’apitoyer ». Il n’y a pas de fumée sans feu, Jean-Louis MURAT (1952- 2023) n’avait pas écrit sur un coup de tête : En larmes bleues, d’un bleu final, sait-on la Dame qui nous peine, éprouve-t-elle un grand chagrin, son triste cœur, ce bois de hêtre, nous ferait donc croire au Malin, on crie vengeance, mitraille, punition » après la révélation du décès et les accusations d’une responsabilité à force de dissimuler sa nature et la non identification du responsable. C’est dans le rapport de 38 pages.
Elle a généré des rages collectives à la voir rendre des comptes et elle continuera de jeter de l’huile sur le feu tant qu’elle sera dans le mépris de l’être de l’autre et de l’Etat de droit.
Des comptes à rendre au CNRS de la part de Mylène FARMER et de Pascal NEGRE
Les avocats auront des explications à apporter aux juristes du CNRS sur ce que Pascal NEGRE a fait de « Chutes et Mémoires », de quel droit, et ils devront m’expliquer comme Jean-Louis MURAT a pu stigmatiser la fin de mon texte inédit volé au CNRS dans une fondation princière jamais publiée, si Mylène FARMER n’avait été que la seule à l’exploiter sans vérifier la source et à se retrouver compromise par la disparition que personne n’avait à découvrir, en dehors de moi-même et du rédacteur de Phréatique ! La chute sera d’autant plus historique au CNRS et en sciences humaines et sociales, pour les avocats compris, qu’elle aura visé trop haut avec le festival de Cannes, à avoir caché le crime de sang et protégé Pascal NEGRE, son « corbeau », dans son intérêt personnel avec son agent Thierry SUC. Lui aura à justifier, aux assises, la dissimulation des tentatives de blocages de ma correspondance en pleine révélation du décès.
Personne ne la retient pour contacter le CNRS - la MIS - en confirmant ma page pour reconnaître qu’elle a exploité mes deux inédits. « Paysages mentaux » c’est elle, et personne d’autre. Le CNRS qui en informerait le TGI de Paris, c’est la mise en examen de Pascal NEGRE pour homicide, et quoi de plus normal dans un Etat de droit : le PDG d’UMG-France limogé sans autre forme de procès, incapable de justifier son propre détournement de mes lettres, frappé d’un toc à mon égard, je ne le connais ni d’Eve ni d’Adam (petite croix en allumettes pour lui rafraîchir sa mémoire).
Le choix « suicidaire » de Bertrand LEPAGE
En conclusion, le « mystère » Bertrand LEPAGE dans ma vie et ma carrière que cette femme refuse de me révéler a quelque chose qui a trait à une inhumanité chez cette femme que le CNRS ne pourra que confirmer avec mes deux rapports et cette prestation à Cannes sans aucun démenti de ma page par ses avocats et ceux des incriminés.
Bertrand LEPAGE avait sans doute conscience que nous sommes incompatibles, il a fait le choix de ne jamais me contacter. Dom LAFOND (1926-2010) avait presque raison lorsqu’il m’a écrit elle se moque de vous en découvrant Anna belle entre dans mon fesse à moi (2003). C’est bien plus qu’une moquerie de ma personne qui l’obsède depuis l’échec de Giorgino - octobre 1994. C’est un harcèlement et un pathos qui échappe à mon entendement. Mylène FARMER est au service d’elle-même et de son image pour séduire le plus grand nombre. Je suis au service de la découverte et de la connaissance utile au plus grand nombre.
Mais quand on a la prétention de se présenter comme LA référence de la chanson française dans le saint des saints du cinéma international, on commence déjà par répondre respectueusement à l’éminent Professeur Henry de LUMLEY, président de l’Institut de paléontologie humaine et ancien directeur du Muséum national d’histoire naturelle. Pour donner la mesure du privilège exceptionnel qui lui aura sans doute échappé, même son ami Luc BESSON, croisé à l’IPH en 2004 pour le tournage de « Les Rivières pourpres 2 : Les Anges de l’apocalypse » n’a pas eu un tel honneur. Juste un mot de remerciements ne l’engageait à rien, c’est dire le niveau de sa culpabilité à mon égard, puisque je lui aurais fait visiter les collections fermées au public.
Une star déchue
Edgar MORIN a écrit Les stars (1972) : « Edgar Morin présente la star comme une Déesse. Il indique que le mythe de la star est un processus de divinisation qui en fait l’idole des foules. Elle comprend la douleur de la vie, elle comprend ses fans. Elle est moralement parfaite. Cette spiritualité est complétée par l’élément suprême qui fait d’une actrice une star : la sur-personnalité ».
Concernant Mylène FARMER ce mythe est en réalité une très grave imposture depuis 30 ans et d’une immoralité collective incomparable.
Cette chanteuse restera dans ma vie et mon regard d’une effrayante inhumanité masquée par une façade de fausse innocence et de fausse sentimentalité que le devoir moral et civique m’oblige à combattre avec le CNRS en la contraignant à passer aux aveux. Il n’y a plus que ma détermination avec les juristes du CNRS pour que la famille LE PUT, quel que soit le degré de parenté avec le défunt, ne soit plus laissée pour compte par la mauvaise foi et l’absence de compassion de Mylène GAUTIER MARTIN alias FARMER, qui me touchent aussi et qui laissent à mes héritiers un dossier humiliant et très dangereux hors contrôle ! Je n’ai rien à voir dans l’homicide de Bertrand LEPAGE contrairement aux affirmations de Caroline FABRE-BOUTONNAT, ni avec sa tentative de suicide. Par contre Mylène FARMER a tout à voir dans l’exploitation illégale de mes deux inédits volés au CNRS.
Que les avocats de Mylène FARMER réunissent les témoignages à charge contre Pascal NEGRE figé comme une statue de sel devant ma page, si ce n’était déjà fait. Qu’ils lancent la procédure pour régulariser la situation de Mylène FARMER avec moi-même et le CNRS et permettre la réouverture de l’enquête afin d’entendre l’ex-patron de Polygram et PDG-déchu d’UMG-France se justifier quant à l’exploitation illégale de « Chutes et Mémoires ». On ne se moque pas impunément du CNRS et de ses agents, Mylène FARMER est une star déchue qui a des comptes à rendre à la société. A se croire dans l’impunité, c’est une leçon qui l’attend plus tôt qu’elle le croit : apprendre ce qu’est un Etat de droit.
Pardon du peu pour les « intimement compartimentés » de Mylène FARMER, les rares qui auront été « invités » à découvrir ma page, incrédules puis sous le choc à découvrir la réalité et sa gravité reconnue par l’élite intellectuelle française en politique à l’instar de René LENOIR et en sociologie et philosophie au rayonnement national et international comme Edgar MORIN, directeur de recherche émérite au CNRS. Mylène FARMER est une bourgeoise qui a grandi dans les beaux quartiers de l’ouest parisien, qui fréquentait l’église de Garches et qui, dans le cadre de la catéchèse, partageait des activités avec les élèves en situation de handicap du centre Jean Monnet. C’est tout ce que nous avions en commun sans nous connaître, proximités et activités, avant qu’elle lie pour l’éternité l’assassinat de son éditeur Bertrand LEPAGE à mon texte « Paysages mentaux » parce qu’elle l’a exploité inédit illégalement à mon insu et parce que j’ai écrit pour lui demander si je suis la femme interpellée.
Ces « amis intimement compartimentés » auront été démunis des bons repères pour comprendre qu› elle n’est pas dans la cour des femmes de grande valeur morale à dissimuler l’origine du titre Anamorphosée et encore moins de grande valeur civique à protéger le « corbeau », le responsable de l’homicide, ce qui aux yeux de la loi en fait sa complice.
Le reste est affligeant, sortie de l’ombre par un cinéaste en herbe et qui depuis l’échec cuisant de Giorgino s’est prise pour le sel de la Terre avec ses fantasmes : croire qu’une paléoanthropologue du CNRS médiatisée en 1994 et 1995 se serait sacrifiée pour elle, rester dans son ombre et ne pas discuter ensemble de mon texte et de ma découverte !
Sa « confession » et mes larmes bleues
Elle ne serait pas allée à Cannes « en coup de vent » en faisant un bras d’honneur, cette fois, à ses avocats, si sa « Confession » ne laissait pas entendre qu’ils ont un dossier avec ses aveux, les lettres envoyées par le « corbeau » et les témoignages à charge contre Pascal NEGRE. Ses contractuels vivront le choc à découvrir tout ce que Mylène FARMER a écrit sur fond de vols, de recels et d’homicide dont elle ne se remet pas. Est-elle à ce point dépourvue de discernement à croire qu’un scandale aussi phénoménal ne percera pas avec le CNRS dans la boucle et Edgar MORIN qui a formulé le souhait que la clarté soit faite, sur les liens entre mes deux inédits volés au CNRS, Mylène FARMER (donc Requiem Publishing) et Pascal NEGRE (donc la présidence de Polygram), pour récupérer bien plus que 30 millions de francs à cause de l’échec commercial cuisant du film « Giorgino » : Laurent BOUTONNAT aura fini par comprendre que « dans le fond », me voler au CNRS pour remplir ses caisses cela se payera.
Mes « larmes » ne finiront jamais de couler à comprendre très progressivement toutes ces horreurs dans mon dos, ces comportements criminels et lâches à mon égard, jusqu’à me lire ici sans démenti.
Mes « larmes bleues » et sincères ne finiront jamais de couler face à autant de mépris. Face à la décomposition d’une poésie marquée jusqu’aux temps présents par les effets d’une cruauté plurielle, celle de l’album « Mémoires » de Mylène FARMER et Laurent BOUTONNAT, caché depuis octobre 1998 par Pascal NEGRE (Polygram), le mépris de tant de lettres, tant de destinataires pour comprendre la vérité, désormais archivée en des lieux propres à ma carrière pour faire respecter la loi et être étudiée à l’avenir en Sciences humaines et sociales au CNRS. C’est tout ce qu’elle mérite si ses avocats ne régularisent pas rapidement sa situation, être replacée à sa juste place après 30 années d’escroqueries, d’impostures, de lâchetés sur fond de crime de sang dissimulé et d’hypocrisies :
Pour mémoire : L’anamorphose (…). Je vais plutôt vous donner l’explication que moi, j’ai bien voulu lui donner (…). Quelle ahurissante et édifiante malhonnêteté intellectuelle.
Tout tient dans ces quelques lignes révélatrices d’échanges épistolaires violents de Mylène FARMER avec Bertrand LEPAGE et qui me concernent : l’éditeur a découvert l’amalgame sexuel des paroles écrites pour les chansons peu avant la mise en vente de « Anamorphosée », ce qui s’est traduit par le noircissement en dernière minute de sa paire de fesses et par son revirement dans les médias à la qualifier publiquement de « mygale ». A la suite de quoi elle s’est perdue dans de fausses explications sur l’origine du titre « Anamorphosée » avec une incohérence magistrale entre ce qu’elle avait écrit et ses propos publics :
L’anamorphose est un phénomène optique qui rassemble les rayonnements épars (…). Je vais plutôt vous donner l’explication que moi, j’ai bien voulu lui donner (…) Ma perception du monde (…) j’ai eu besoin de l’anamorphose pour « reconcentrer » toutes ces idées pour n’en faire plus qu’une. Il est bien question d’une conscience humaine, de sa perception, sauf que dans son texte, il n’est pas question d’elle-même dans l’instant présent tel le cylindre réfléchissant statique au milieu d’une scène difforme. Elle décrit un rétroviseur qui anamorphose son passé et le titre qui le stigmatise sur la première de couverture du livret, son passé méconnu dans la photographie pornographique et qui était censé m’interpeller !
Quels seront les arguments des avocat face aux juristes du CNRS dans un Etat de droit : le grand capital primerait-il sur l’identification du « corbeau » compromis par « Anamorphosée », l’individu qui m’a dans son viseur après avoir réglé ses comptes avec Bertrand LEPAGE et subtilisé les lettres manuscrites de Mylène FARMER avec mon nom en des termes a posteriori susceptibles de susciter la réaction que le « corbeau » en réalité, a vécu, en les découvrant.
L’immobilisme de Pascal NEGRE à ne pas exiger la destruction de ces lignes vaut des aveux ! Ce n’est pas moi qui suis compromise par l’illégalité de « Anamorphosée », si j’avais réellement découvert ces lettres j’aurais demandé des dommages et intérêts, preuves en main avec Bertrand LEPAGE bien vivant comme témoin.
La future biographie de Mylène FARMER
La biographie de Mylène FARMER ne fera pas l’économie de ma carrière au CNRS et encore moins de ce qui nous lie à vie avec le meurtre (ou assassinat c’est la Justice qui tranchera) de son éditeur Bertrand LEPAGE : qu’elle n’oublie jamais Eric de Com’NB (Henry NEU) qui connaissait mon nom parce ce que c’est elle qui l’a prononcé - alors que je n’ai jamais eu aucune certitude sur le fait qu’elle me lisait !!! et les raisons pour lesquelles elle lui parlait aussi ouvertement en des termes aussi diffamatoires que dangereusement mal intentionnés avec sa fan base de fidèles hystériques : « ne pas savoir comment se débarrasser » (sic) de moi-même « une chercheuse dans des trucs compliqués », sans passer par la Justice ! Il s’en souviendra toute sa vie, comme de les avoir répétées à un inconnu, un ami orienté par la haute magistrate du parquet de Paris et plus que probablement découvertes par les services de sécurité dans l’information déposée au TGI d’Evry lors de la préparation de ma rencontre avec les deux chefs d’Etat en Inde. Cette découverte est la cause du limogeage immédiat de Pascal NEGRE d’UMG-France, le « corbeau », en attendant le vrai procès qui aurait dû s’ouvrir en juin 1997 si les « liens privilégiés » qu’il a tissés par pur intérêt égoïste avec Mylène FARMER ne l’avaient pas couvert pendant l’enquête. Il nous méprise depuis ma lettre de novembre 1996, elle n’a été que son instrument pour le protéger de la Justice, résultat elle vit avec un fantôme et des kilomètres d’interviews mensongères depuis ce scandale à faire croire qu’elle a inventé Ma métaphore. Cette femme ne doute rien avec sa soi disant « confession ». Le CNRS l’attend encore et pas dans une chanson au festival de Cannes.
Instant X et « tilt »
Pascal Nègre, le nouveau patron d’UMG-France, a annulé la vente de l’album « Mémoires » en octobre 1998 parce que le CNRS ne devait jamais savoir le vol de sa version intégrale et inédite peu de semaines après l’assassinat de Bertrand Lepage et le TGI qui a clôt l’enquête de façon expéditive, la disparition des lettres de Mylène Farmer prouvant le premier vol de «Paysage mentaux ».
L’Etat de droit n’interdit pas l’honnêteté à Mylène FARMER, au contraire, il la contraint à remplir ses devoirs civiques : 1) contacter la Mission de l’Intégrité (scientifique) du CNRS pour reconnaître l’exploitation illégale de mes deux inédits avec un avocat, lisible publiquement sur ma page professionnelle non démentie par Pascal NEGRE, 2) aller au commissariat qui a mené l’enquête sur l’homicide pour annoncer qu’elle a des révélations à faire sur les circonstances de l’assassinat de son éditeur-pygmalion en juin 1997, avec un avocat. Est-ce si compliqué quand on se veut l’idole de la liberté de penser, de l’intégrité et une référence jusque dans la sphère du cinéma ? Ou ses avocats ont-ils pris acte d’une authentique « absence de prescription » depuis son silence à la prestigieuse invitation de 2020, et pris connaissance, depuis, de l’ampleur et gravité des délits cachés ; lui est-il est plus difficile de faire le deuil de la poule aux œufs d’or d’une mafia de l’industrie du disque, que le deuil de Bertrand LEPAGE, victime d’un mafieux de Polygram qui lui a réglé son compte et qui m’a dans son viseur, avec, depuis 2001, ma petite croix en allumettes restée en travers de la gorge ? Les avocats de Pascal NEGRE auront du mal à expliquer à un juge d’instruction son « toc » à mon égard s’il n’était pas le « corbeau », leur but est commun : lui éviter les tribunaux en obtenant la cession de mes lettres pour Mylène FARMER via TS3 (Thierry SUC est parfaitement au courant du nombre d’années).
Je vis avec la présence de son assassin bien vivant qui n’est pas prêt de m’oublier car je ne suis pas prête de l’oublier et le CNRS l’a bien compris !
Ce n’est pas gratuit de prendre le temps d’agents du CNRS, ni de mon temps pour faire ce que les avocats auraient dû engager depuis 2022 : démontrer que ce n’est pas Mylène FARMER qui a réglé de comptes avec Bertrand LEPAGE et que l’assassin est le corbeau de Polygram qui a des raisons personnelles de se servir d’elle pour me chasser. Comme c’est dur à comprendre que Pascal NEGRE doit être entendu par un juge d’instruction, confronté aux témoins à charge et que le CNRS est en droit récupérer les millions de bénéfices de Polydor (UMG France) grâce à mon texte inédit. La conscience anamorphosée est ma propriété intellectuelle et n’a jamais été celle de Mylène FARMER. Elle peut se confesser car quel mensonge en son âme et conscience, se « confesser » au CNRS et à Universal Music Group France.
Et les avocats de Mylène FARMER qu’attendent-ils ? Ne se sentent-ils pas trop mal « aux entournures » entre UMG et le CNRS ? Envisage-t-elle de prouver qu’elle est encore membre de la grande famille des humains, qu’elle est une conscience capable de demander pardon, parce qu’en matière de maltraitance de la femme, elle est passée experte dans le domaine, Mylène GAUTIER MARTIN alias FARMER.
Confession ? Chagrin sincère 28 ans plus tard ? Elle était hilare dans le lit d’enfant, les jambes écartées ses deux mains cachant son sexe pour illustrer son Best of « Les Mots » en 2001, et souiller ma conclusion inédite volée « L’amour est un don d’enfant qui connait le risque du refus » : ça fait « tilt », la maltraitance pour ses avocats ? qui me lisent depuis bien trop longtemps pour ne pas à avoir à en rendre compte dans les futures semaines ! au lieu de laisser la chanteuse soi-disant « se lamenter » avec sa Confession. Ce n’est pas la cellule du soutien psychologique du CNRS qui aura constaté et mémorisé le contraire.
J’irai cracher sur vos tombes n’est pas le vrai, n’est pas le beau
Ce n’est pas son mouchoir posé sur la tombe de Bertrand LEPAGE qui pèse sur sa conscience : elle ne veut pas mourir en laissant chez certains la certitude qu’elle n’est pas étrangère à l’homicide. Depuis qu’elle a écrit dans « Anamorphosée » : « j’irai cracher sur vos tombes n’est pas le vrai, n’est pas le beau », elle ne veut pas que certaines-certains laissé.e.s pour compte aient de bonnes raisons de cracher sur sa tombe. Pour ma part, je ne crache pas sur celle de son éditeur-pygmalion, ce qui nous sépare radicalement, parce qu’à la différence de cette dissimulatrice (hypocrite), je suis totalement étrangère à l’homicide et profondément meurtrie à vie, par l’assassinat à cause de l’exploitation illégale de ma métaphore, la plus signifiante de ma découverte et la plus éclairante sur l’inadéquation du néodarwinisme avec notre identité évolutive et la réflexion sur notre Devenir.
Pendant ce temps, ses fans trompés l’admirent, ignorant que depuis « Innamoramento » (1999) derrière ses mots elle cache un mort, un assassin identifiable et une famille qui n’a pas droit à la Justice, parce qu’elle se complait à ne jamais donner la clé de ses mots, jamais inquiétée par la Justice. Qui peut encore faire confiance à Mylène FARMER avec son soi-disant hommage à un cinéaste depuis son mensonge ahurissant pour s’approprier ma métaphore.
C’est tellement simple pour les avocats d’informer le CNRS qui informerait le TGI qui a bâclé l’affaire en 1997, et cette fois bien obligé de reprendre l’enquête pour auditionner Pascal NEGRE. Qu’est-ce qui bloque chez les avocats ? Ils n’ont pas à se soucier de savoir si les clans du « parrain », du « corbeau » de Polygram, les GAUTIER, les BOUTONNAT et Thierry SUC, se retrouvent sous les feux de la rampe dans un TGI du mauvais côté pour leur image de marque: la famille LE PUT n’est que du menu fretin pour ces gens-là, et l’assassin en liberté en échange de centaines de millions d’euros, il est évident que le menu fretin ne fait pas le poids dans la balance, cela se nomme « corruption ».
Mais ne pas attendre les comportements conformes à la loi de la part d’avocats me parait inconcevable et inacceptable : faudrait-il confier une double enquête , à Mediapart et à Anne-Sophie JAHN dont je comprends les harcèlements scandaleux qu’elle a subis, pour palier aux manquements de juristes-avocats-magistrats qui continuent de donner le change à Pascal NEGRE ?
Mes « larmes bleues », elles, sont authentiques, et je constate l’absence d’empathie et de discernement des avocats de Mylène FARMER et de Pascal NEGRE : entre « hominisation » et « déshumanisation », il y aura matière sous ma plume incorruptible à poursuivre la réflexion au pays des droits de l’Homme dans un Etat de droit, lorsque l’identification d’un meurtrier passe après les intérêts financiers que ce refus d’identification permet encore : le non-respect de la hiérarchie des priorités et le CNRS laissé pour compte restent encore flagrants. Compte tenu de l’ampleur sociétale impactée, la société volontairement aveuglée par « la fabrique du mensonge », ce laisser-faire et l’indifférence qu’il exprime sont hideux par leur irrespect et ne seront pas oubliés des sciences humaines et sociales. Le CNRS ne fera pas le jeu d’une corruption aussi immorale que monstrueuse par ce qu’elle cache en ayant la mesure des atrocités perpétrées par « le corbeau » sachant quelles psychoses attiser chez Mylène FARMER pour s’éviter les assises. Grand moment de solitude pour Pascal NEGRE face à ma page et ses avocats qui constatent qu’il ne me dénonce pas, pas plus Mylène FARMER pour lui renvoyer son vrai visage, mais qui n’en laisse pas moins, avec ses avocats, UMG vendre son arnaque « Anamorphosée » cause de l’assassinat…
J’ai conclu mon rapport de 38 pages (2023) sur les dommages et intérêts que l’industrie du disque (Polygram, Polydor, UMG-France) doit à la recherche en préhistoire au CNRS, c’est un minimum après 30 années d’imposture.
L’avenir de Mylène FARMER
Quant à Mylène FARMER, née Mylène Jeanne GAUTIER MARTIN, il est attendu qu’elle soit reconnaissante aux autorités de me laisser écrire publiquement pour la sortir de son marasme et enfer d’inhumanité en ne cherchant ni le scandale ni à en rajouter dans la dose de souffrances ahurissantes ! A elle de trouver le moyen de mettre un terme à l’idolâtrie indécente de sa personne, désavouer ses fanatiques qui menacent de mort les iconoclastes lucides et honnêtes et de régulariser cette situation dans l’intérêt public en mettant un terme à ses maltraitances, à moi-même, à elle-même - elle ne s’en porterait que mieux et comme jamais depuis 30 ans, mais aussi aux ayants droits de feu son éditeur-pygmalion Bertrand LEPAGE (LE PUT) qui ont droit, comme moi-même et le CNRS, à la vérité !
Je cherche encore une authentique réhumanisation de la chanteuse après sa très douteuse Confession puisque le 13 juin 2025, le « corbeau » Pascal NEGRE annonce qu’elle sort « L’Emprise » (2022) en 33 tours vinyle. L’illustration de cet album au titre plus que manipulateur est directement inspirée de la page « Délivrance » de mon site avec l’image du fœtus en cours d’humanisation (2019). Mylène FARMER restera définitivement « l’escroc du siècle » avec cette remarquable preuve du mépris de la hiérarchie des priorités de ses avocats, les SHS du CNRS analyseront cette évidence le moment venu. Plus l’imposture mafieuse enfle, plus la chute s’annonce fracassante. Qu’elle n’oublie pas, la parole des femmes se libère, la série d’Anne-Sophie JAHN est le second score de Netflix : « deux millions de vues en quatre jours après sa sortie le 27 mars 2025 » (La Voix du Nord) : la réputation sulfureuse de Pascal NEGRE et le CNRS informé, « l’affaire Mylène FARMER » avec le meurtre caché de son célèbre pygmalion et le responsable et non moins célèbre « corbeau » de Polygram protégé par la chanteuse, sont des arguments de vente qui garantissent à eux seuls un immense succès au box office.
Ma vérité : la folie des grandeurs
Bertrand LEPAGE a compris que si je découvrais le titre unique au monde et donc interpellant « Anamorphosée », si j’écrivais à Polygram puisque je ne le connaissais pas, c’était « la fin du pygmalion ». J’ai écrit à Polygram. Et il est mort assassiné par un « corbeau » à la direction de Polygram : dès lors qu’il se savait en danger de mort, ce crime n’est pas un accident. Cet homme est mort à cause de l’exploitation illégale de mon inédit. Est-ce que Mylène GAUTIER alias FARMER est capable de se mettre à ma place et d’intérioriser l’horreur de cette évidence pour moi au lieu de fuir l’évidence de sa part de responsabilité et de s’inventer des personnages surnaturalisés à l’esthétique magnétique pour mieux tromper ses idolâtres. Louis II de Bavière fit construire son palais royal fantastique, avec sa folie des grandeurs, il n’en fut pas moins diagnostiqué atteint d’une « schizophrénie psychotique incurable ». Des fans sont attirés comme les papillons par une flamme sur le site non officiel passé sous le contrôle de Pascal NEGRE qui veille aux commentaires hagiographiques du webmaster sur la chanteuse, site régulièrement pourvu de ses propres photos inédites. Des fans attentifs l’ont constaté, le webmaster sait qui les lui fournit avec une clause de confidentialité, la source dissimule la réalité connue des avocats et du CNRS et occulte les énormités dérangeantes (symptômes de troubles psychotiques iconoclastes). La femme « Alice » interpellée « dépressive l’artiste, comme tu me manques, exit petite âme », devenue l’araignée au plafond de Bercy qui n’était jamais que son second concert ! (1996), ou les énormes pansements aux poignets qui la maintiennent dans une position de crucifiée (1999), révèle son art à tordre la réalité; mais qui ne trompera pas l’histoire, le sacrifié est Bertrand LE PUT et il est trop tard pour l’oublier, j’ai fait œuvre d’humanité en détruisant leur omerta en la révélant au CNRS et non pas parce c’est conforme au droit ! Que font les avocats : qu’ils demandent à Mylène FARMER et à sa sœur Brigitte GAUTIER, qui donc est la femme que Pascal NEGRE a donné à peindre; la chanteuse et sa sœur le savent avec son tag « quand c’est pas l’une c’est l’autre », un faux de Bertrand LEPAGE inspiré d’une lettre volée dans mon dossier (CNRS 1995) et dans mon ordinateur-portable (domicile 1997) qui tombait à point nommé pour encourager des compétences : « Un portable à la place du coeur » ! C’est une mafia de clans familiaux avec Pascal NEGRE comme « parrain protecteur » depuis l’homicide.
Et que comptent faire les avocats avec Pascal NEGRE « à la place du coeur », lui laisser encore 20 années de liberté ? Croient-ils encore que le CNRS restera insensible au fait que l’éditeur-pygmalion de Mylène FARMER a été assassiné par le « corbeau » de Polygram qui m’a dans son viseur à cause du vol et de l’exploitation illégale d’un texte avec un concept sans précédant sur une découverte historique tout à l’honneur de la recherche française ? Et qui s’est trahi à donner XX à peindre sur une Casanova de Christophe MOURTHÉ ! Qu’écrira l’histoire sur leur immobilisme, leur peur de la grandeur du CNRS, leur sidération de la complicité de la chanteuse à couvrir le « corbeau » Pascal NEGRE ?
J’attends de constater que le « fœtus » se réhumanise avec ma page comme cordon ombilical… et si après avoir « planté la petite graine » en janvier 2020, soient 66 mois de gestation à attendre la « délivrance », les avocats conscients de la démesure de ses impostures, « la folie des grandeurs », sont des « sages-femmes »… ou s’il me faudra user de forceps ! Ma patience a des limites et les risques d’en révéler les raisons à Anne-Sophie JAHN sont chroniques avec comme solide accroche pour l’affiche, ma caricature originale de Pascal NEGRE avouant son crime : il ne porterait pas plainte, ma petite croix en allumettes lui cloue son bec de « corbeau » depuis un quart de siècle. Mylène FARMER est bien placée pour le savoir et je lui demande si s’afficher avec cette petite croix sur une pochette au lieu de laisser toutes mes enveloppes « lettres mortes », est une attitude saine d’esprit ou de la maltraitance. Et les avocats se complaisent-ils à en rajouter une couche au pays des droits de l’Homme ? Quel exemple pour les futures générations ! Au royaume de la « folie des grandeurs » le bilan « de l’effet papillon » de la théorie du Chaos, est humainement tragique : assassinat et le responsable jamais inquiété, couvert en 2001.
Quand l’aube se lèvera-t-elle sur des juristes, des avocats et des magistrats qui ont une conscience professionnelle : le respect de la hiérarchie des priorités ! Identifier l’assassin, le « corbeau » de Polygram qui a des raisons personnelles de m’avoir dans son viseur, le voleur des lettres tachées de sang ! Si Pascal NEGRE était sûr de lui devant un juge d’instruction et la liste de témoins à charge, il se serait manifesté depuis 2022, dans une magistrale démonstration en contactant, LUI ! le CNRS. Qu’est-ce donc qui soit plus prioritaire : les contrats d’une bande de mafieux (Pascal NEGRE, Mylène FARMER et Thierry SUC couverts par l’avocate juge et partie Caroline FABRE-BOUTONNAT) ? Mylène FARMER n’a pas d’ailleurs que le CNRS de son « océan d’ambre » (1995) comme bouée de sauvetage (2025) à force de nager dans les eaux troubles et les courants contraires de ses confusions et manipulations « Je cherche une âme qui pourrait m’aider, dis-moi dans ces vents contraires comment s’y prendre » L’Autre (1991), »Exit petite âme comme tu me manques dépressive l’artiste » (1995), « Et moi dans ma prison de verre je ne sais plus comment faire » Désobéisssance (2018) : ce n’est pas moi qui suis liée à Mylène FARMER, c’est Mylène FARMER qui est liée à ma personne en ayant fait le choix de m’interpeller en 1995 sans que je n’en fus jamais informée, qui est liée à ma pensée en s’étant approprié ma métaphore encore inédite sans jamais me citer ! et à ma carrière, en ayant puisé dans mon inédit rédigé en tant que paléoanthropologue et volé au CNRS, c’est Mylène FARMER dont la carrière est liée au crime de sang en se gardant bien de le faire savoir au chanteur STING ! Pour Pascal NEGRE, après le noircissement de sa paire de fesses in extremis pour l’illustration du coffret Anamorphosée, son explication de la métaphore bien trop subtile et si éloignée d’une telle vulgarité, tombée comme un cheveu sur la soupe, alors qu‹elle est en dépression et interpelle une femme, n’était pas crédible ! Sa con-fesse empeste sa corruption jusqu’à l’os avec une jubilation malsaine à savourer son emprise sur la masse, elle n’est que mépris de l’être de l’autre : Laurent BOUTONNAT et les avocats ont compris ce dont elle est capable à stigmatiser une personne sous forme d’une araignée géante au plafond de Bercy. Je ne suis pas la clinique Sainte Anne !
Contacter la Direction des Ressources Humaines du CNRS (DRH) est-ce si compliqué pour des avocats qui savent que la hiérarchie des priorités est d’identifier l’assassin et de confondre Pascal NEGRE face à mes questions concernant l’exploitation illégale de mes deux inédits ? Ou est-ce parce que tous les informés ont compris que l’assassinat aurait pu être évité si cette chanteuse psychotique avait réagi légalement à la réception de ma lettre du 22 novembre 1996. Je n’aurais jamais écrit à Polygram en mai 1997 et il n’aurait pas été assassiné ! Elle-même a fini par l’admettre mais la « star » déchue au CNRS redoute la honte publique. Etre iconoclaste avec Mylène FARMER poserait-il un problème à ses avocats, elle les paye pour faire respecter la loi et non pour défendre une escroc sidérante (écoeurante ?) par ses aveux. Il n’y a jamais eu d’emprise, Mylène FARMER a l’art de se moquer du monde avec ses mensonges aussi ahurissants que consternants à se faire passer pour l’auteure de la métaphore « Anamorphosée », alors que c’est une obsédée sexuelle exhibitionniste (livret du Live à Bercy 1997, même thème de la photo du livret Les Mots dans un lit d’enfant 2001) d’où la claque qu’elle s’est prise lorsque le « corbeau » lui en renvoyé la preuve écrite de son mensonge avec ses photos pornos, ce n’est pas moi la claque « pleine de sang » avec ses lettres, c’est le patron compromis de Polygram ! Qui n’aura pas compris la colère noire et la violence de cet individu à se découvrir compromis, elle lui mentait déjà pour justifier le noircissement de sa paire de fesses, elle ment à tour de bras et se garde bien de révéler son vrai visage à Luc BESSON et à STING (et tant d’autres), ses avocats sont conscients de son art de la compartimentation et de sa malhonnêteté autant intellectuelle que juridique.
Il est intéressant d’apprendre que les présidents et des membres du Conseil supérieur de la magistrature « chargé d’assister le président de la République dans son rôle de garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire » viennent de visiter le Muséum (juin 2025). Le TGI d’Evry dissimule depuis 2001 l’information sur le décès lié aux vols commis dans une unité mixte du CNRS - Muséum national d’Histoire naturelle. Quel corbeau de Polygram a obtenu la dissimulation de l’information sur le crime de sang, autrement dit, le « corbeau » qui a subtilisé les archives de Bertrand LEPAGE prouvant le vol en 1995 dans un laboratoire mixte du Muséum ? Le « corbeau » est l’unique suspect, celui interrogé par l’ancienne Garde des sceaux de 2001 qui pourrait confirmer ce que Pascal NEGRE lui a bonimenté pour le couvrir et couvrir Mylène FARMER ? elle ne sachant pas comment se « débarrasser de ma personne » sic » ! Le couperet fatal devant un juge d’instruction pour ces deux escrocs hors-la-loi.
Le Muséum est signataire de la Charte française de déontologie des métiers de la recherche : signaler un vol de données pour enrichir à millions une mafia qui cache l’assassinat du voleur est un devoir ! Est-ce si compliqué pour les avocats de Mylène FARMER d’appliquer la loi dans un Etat de droit ? S’il y avait des dommages et intérêts à récupérer avec cette page sous l’autorité de l’Etat, pour le profit de ces mafieux, leurs avocats ne s’en seraient pas privés, les rôles sont inversés et l’avocate Caroline FABRE BOUTONNAT qui m’a renvoyé la responsabilité du décès avec mes fonctions de chercheur au CNRS sans avoir été auditionnée lors de l’enquête (ce ne serait pas la faute de Mylène FARMER, vraiment ?) le sait depuis 2005. Quand on est la mieux placée, professionnellement, pour savoir en janvier 2020 qu›il n’y a pas prescription, la priorité n’était pas de se séparer de la jeune chanteuse Julia en cours de promotion avec Laurent BOUTONNAT et Mylène FARMER la plus grande escroc de la chanson française qui couvre le « corbeau » assassin de son éditeur, mais d’alerter les services juridiques du CNRS toujours en attente de sa régularisation. Mais elle préfère continuer de tirer la couverture à l’occasion des 25 années d’imposture cachées à Alizée, son avatar en 2000 : « c’est pas ma faute, quand je vois les autres tous prêts à se jeter sur moi, coléreuse et pas mi-laine, je donne ma langue aux chats ». En 2001 Mylène FARMER n’allait pas avouer à la justice qu’elle cachait ma lettre de 1996 et l’origine du titre « Anamorphosée » depuis l’assassinat, et que c’est bel et bien sa faute si elle a laissé Pascal NEGRE libre de ses mouvements et si j’ai été spoliée de mon second inédit en 1997.
Que les avocats mesurent l’étendue de la perversité de ce quatuor de mafieux qui se considèrent au-dessus de l’Etat de droit : un auteur-compositeur considérait mon oncle, « Inspecteur général de la Police des Polices » qui a paniqué Pascal NEGRE en 1998, comme son père, et ma tante maternelle, son épouse, comme sa mère. Nous nous connaissons, Bertrand BURGALAT, qui a écrit et composé pour Alizée. Son ex-compagne, Valérie LEMERCIER connaissait aussi mon oncle et ma tante et elle apprécie Mylène FARMER ignorant son vrai visage et sa langue de vipère bien pendue. Son agent est le très vénal et très lâche Thierry SUC.
Bertrand LEPAGE a été assassiné et mon second inédit a été volé par sa faute, que Mylène FARMER se regarde dans une glace après m’avoir lue pour savoir quoi répondre à un juge d’instruction le moment venu. Elle me doit des comptes avec sa langue de vipère à Eric le graphiste de Com’NB et je retiens le mépris pour René LENOIR manifesté par cette entrave à la manifestation de la vérité, dont le président de la République a découvert la source en février 2016, entrave à l’accès de la vérité sur les liens entre l’assassinat du pygmalion de Mylène FARMER et mon inédit volé dans une fondation princière en convention avec une unité mixte du CNRS, alors que l’information clé sur ce témoignage du graphiste payé par Polydor/Polygram émanait d’une haute magistrate. Substitut du procureur de la République du TGI de Paris, elle était qualifiée, alors que la Garde des sceaux en fonction en 2001 n’appartenait pas au corps de la magistrature, le procureur d’Evry n’avait pas à mettre en doute une information de cette valeur et de cette importance, son impéritie historique à nous laisser René LENOIR, la haute magistrate et moi-même, dans un silence scandaleux par son mépris de l’Etat de droit restera monstrueuse par son inhumanité.
Une escroc VIP et Pascal NEGRE, le « corbeau » qui dissimulent le crime de sang au concert du DJ SNAKE (9/07/2025)
Quand et comment Mylène FARMER compte-t-elle retrouver sa dignité (cesser de cacher l’assassinat) et son humanité (dénoncer l’assassin), parce que cette fois avec la DRH du CNRS, c’est le chef de l’Etat qui est en amont et il serait temps de tirer les leçons de l’ordre de l’annulation du SDF en juillet 2023 à la dernière minute, une question de sécurité pour les spectateurs, dans la rue, mais aussi à l’encontre d’une bande de mafieux et d’avocats complaisants, histoire de leur rappeler que la République française est un Etat de droit. Jamais deux sans trois : 1 - éjection de l’ex-garde des sceaux suivie de celle du PDG d’UMG-France (2016), 2 - éjection du Stade de France (2023) et 3 : Les assises « à force de » trop tirer sur la corde : mise en avant sur scène au concert du DJ Snake en présence de Pascal NEGRE (9 juillet 2025) : elle et ses avocats ne respectent pas la hiérarchie des priorités. Se croient-ils encore au-dessus de la loi, ils me lisent mais se taisent.
Le dossier est « nucléaire » avec des avocats aussi complaisants, une affaire d’Etat en or pour Anne-Sophie JAHN qui a su percer la vraie personnalité de Pascal NEGRE, avec son mépris pour la femme et sa sympathie pour un assassin avec comme priorité pour sa part, la chanteuse Mylène FARMER, sa complice dans l’entrave à l’identification de l’assassin tombée au plus bas d’elle-même réduite à l’état de potiche sans personnalité, sans âme, dépourvue de toute dignité, vidée de toute valeur. Pascal NEGRE, le « corbeau » assassin, est son « œuvre au noir » toxique. Jean-Louis MURAT l’avait bien compris, « les larmes bleues » « en bleu final » qu’elle dissimule depuis 20 ans sont sa condamnation. La place de cette femme tissée d’inhumanités est aux assises, nulle part ailleurs. L’argent de Mylène FARMER, corrompue n’a pas d’odeur, mais ses avocats qui me lisent et restent muets, n’ont-ils rien à dire devant un tel étalage de corruption, ne se sentent-ils pas morveux avec mon actualité internationale ? Ce n’est qu’un prélude, avec une bonne notoriété mondiale pour une super série de Netflix avec Anne-Sophie JAHN et une belle enquête pour comprendre la complaisance de ce genre d’avocats qui ne s’empressent pas d’inquiéter Pascal NEGRE l’assassin figé devant ma page : est-ce lucratif de faire traîner l’affaire Mylène FARMER-Pascal NEGRE au lieu de joindre la DRH du CNRS ? Identifier le « corbeau » assassin ne serait pas prioritaire sur les intérêts de cette mafia ? C’est la question qui finit par se poser. Ses avocats auraient-ils traité Yves COPPENS pendant 3 ans au moins comme ils me traitent, si c’était un de ses inédits qui avait été volé au Collège de France avec les mêmes conséquences pour l’éditeur-pygmalion ? J’en doute fort, ces derniers auront des explications à me faire savoir via la Direction des Ressources Humaines du CNRS, car l’homicide laissé pour compte ne passe pas après les intérêts de cette mafia centrée sur Mylène FARMER qui a signé un documentaire d’Arte sur elle (info juillet 2025) ? Et ces avocats vont la laisser continuer sa gravissime imposture qui dissimule un crime de sang caché à cause d’un vol d’un inédit d’une chercheuse notable au CNRS ? Cela ne serait-il pas une gravissime dissimulation de ses vices, un très grave délit pour des avocats déjà acté avec l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT et lisibles sur ma page et jamais démentis qui peut leur coûter la radiation du barreau ? Faut-il alerter ARTE ? J’ai conservé une lettre de Jérôme CLEMENT, le directeur d’ARTE qui s’excusait en 2005, du lynchage du film de mon ami Thomas JOHNSON par un pseudo débat d’individus atteints par la théorie du complot.
Oui, en 1995 Mylène FARMER a pillé la métaphore inédite de la paléoanthropologue, un des fils rouges de ce film, elle a tenu des propos gravissimes qui revenaient à l’accuser de l’homicide et qui a réagi de façon immonde avec son livret « Les Mots ».
Oui, ses avocats cachent à l’autrice de Dalloway, que Mylène FARMER est la pilleuse de cette paléoanthropologue, alors que son père Joël de ROSNAY et la victime de son pillage sont dans le même ouvrage de Marc WELINSKI « Comment bien vivre la fin de ce monde ».
Oui Mylène FARMER et ses avocats refusent encore de le reconnaître auprès du CNRS, alors que l’avocate FABRE-BOUTONNAT le sait et se tait. Et cette bande de mafieux croit que je vais laisser la chanteuse faire un bras d’honneur au CNRS et à moi-même en particulier avec un tel mépris pour la mémoire de Bertrand LEPAGE ? Ces avocats ne se sentent pas trop morveux à dissimuler la liste de ses délits dont le plus criminel est l’entrave à l’identification de l’assassin par une décision de Justice, alors qu’une intelligence honnêtement informée a bien compris que c’est Pascal NEGRE, qui ne me contredit pas ? Il faut éviter les vagues en septembre pour ne pas contrarier les intérêts financiers de Mylène FARMER ? Que le clan des BOUTONNAT fasse pression pour qu’elle finisse par passer aux aveux dans un cabinet feutré d’avocats me parait plus réaliste, des avocats dont on peut se demander, depuis le point de vue des juristes du CNRS, ce qui justifie leur silence, ce qui ne les contrarie pas à la laisser tromper le DJ et les spectateurs, elle et moi-même dans Le Parisien, à moins de 15 jours d’intervalle, cela ne leur donne pas l’impression de jeter de l’huile sur le feu à la couvrir ?
Alors il y aura de la concurrence entre l’imposture de la plus grande escroc qui cache l’homicide, protège l’assassin, couverte par des avocats complaisants et la vérité éclairée qui va conforter Anne-Sophie JAHN, à lire ma page et la complaisance de ces avocats qui n’inquiètent pas Pascal NEGRE. Le message d’Edgar MORIN transmis au CNRS, c’est du pain béni pour cette réalisatrice : que la clarté soit faite sur les liens entre mon inédit, Mylène FARMER et Pascal NEGRE et les conséquences (connu de la MIS et de la DRH du CNRS); elle ne le désavoue jamais en public ; la lettre de Georges KIEJMAN (le contentieux de Polygram (Pascal NEGRE) et Mylène FARMER reconnu), la lettre de René LENOIR (l’information sur l’homicide déposée au TGI d’Evry) : le témoin des propos du graphiste est le fils de la haute magistrate, petit-fils de Roland DEJEAN de la BATIE, procureur de la république d’Arras, les propos gravissimes de l’avocate Caroline FABRE-BOUTONNAT qui m’a renvoyé la responsabilité de l’homicide « plus que Mylène FARMER » (!), ceux de la « langue de vipère » Mylène FARMER rapportés par Eric de Com’NB qui a révélé l’existence d’un « corbeau » assassin compromis à Polygram et qu’elle protège, sa photo vulgaire du livret « Les Mots », mes lettres à Thierry SUC avec les RAR signés de Bruno BALTO (un danseur de la troupe) et la preuve d’une tentative de blocage (retour) de Pascal NEGRE, rien que pour renvoyer Thierry SUC à son vrai visage depuis 1999 avec son immense imposture juridique NEVERMORE. Thierry SUC est une crapule : son adresse était celle à laquelle écrire à Mylène FARMER en toute confiance, il s’est bien gardé de me faire savoir par Caroline FABRE que Mylène FARMER avait donné à Pascal NEGRE la liberté de me lire en pleine révélation du décès par des proches du défunt, écoeurés par son omerta. Pascal NEGRE, Mylène FARMER et Thierry SUC sont d’authentiques mafieux à faire savoir aux réalisateurs-trices honnêtes. Et naturellement tout ce que le CNRS sait et a reconnu : le préjudice moral exercé sur ma personne par cette femme corrompue par Pascal NEGRE avant et plus encore depuis le meurtre. Sa famille en payera le prix, celui de la honte et de l’infamie, Thierry SUC et les BOUTONNAT aussi selon le comportement du compositeur avec Pascal NEGRE.
Et alors, Pascal NEGRE qui me lit dans le dos de la Justice, officier de la légion d’honneur depuis 2019, au lieu d’aider à identifier le « corbeau » de Polygram et m’expliquer comment il a pu donner à exploiter « Chutes et Mémoires » sans contrat avec moi-même et le CNRS : pas un seul selfie avec Mylène FARMER au concert du DJ qui ignore que la star déchue est venue avec l’assassin de son éditeur, les avocats l’ont compris depuis ses aveux face à ma page. Il transpire le crime de sang caché, le « corbeau » qui m’a dans son collimateur après avoir volé les lettres tachées de sang qui prouvent qu’Anamorphosée est illégale, une anarque de Polygram. Il est le seul à avoir intérêt à ce que Mylène FARMER cache leur entente à tout dissimuler aux enquêteurs et à me chasser : échec et mat, le « casseur de gueule de pirate » figé devant mes lignes, grillé par la lettre de Georges KIEJMAN qui reconnait que ce sale type que je ne connais pas a un contentieux avec moi-même et donc avec le CNRS ! Et les avocats n’auraient pas encore compris pourquoi ? Il leur faut un dessin, ma caricature peut-être, avec la petite croix en allumettes ? Ils n’ont pas la nausée de voir que Pascal NEGRE est officier de la légion d’honneur alors que René LENOIR, Commandeur de la Légion d’honneur en 2000, a été méprisé en 2001 par le procureur d’Evry aligné sur l’ex-garde des sceaux aux petits soins de Pascal NEGRE, éjectée du gouvernement en 2016 , juste avant l’éjection du PDG d’UMG-France ? Mylène FARMER qui continue de fuir la justice en 2019, alors qu’elle sait qu’il est l’assassin avec un chiffre d’affaire de 8 millions d’euros pour sa société Stuffed Monkey : il n’y a plus de mots pour la qualifier. Elle ne savait pas comment se débarrasser de moi-même en 2001 (sic). C’est pour cette raison que Mylène FARMER a laissé Pascal NEGRE disposer à sa convenance de mes lettres, abuser de son pouvoir avec sa « méthode » pour me faire fuir. Laurent BOUTONNAT n’en a jamais rien su, et surtout pas la vraie cause de l’annulation de Mémoires. Ils lui en doivent des explications, derrière ses apparences de mannequin séduisante et son appel personnel à l’Institut de Paléontologie Humaine en 2014-2015, ses avocats savent tout ce qu’elle dissimule. Sa place est aux assises avec Pascal NEGRE, tous deux mis à nu sur ma page qu’ils ne démentent pas et qui doivent être mis en examen dans le cadre de la réouverture de l’enquête dont ils ont délibérément entravé le cours en sachant tirer des profits commerciaux colossaux des effets secondaires - sans un mot à Laurent BOUTONNAT - au nez et à la barbe de la société civile, du CNRS et des escroqués comme WOODKID et le DJ SNAKE ignorant la monstruosité de leurs comportements à mon égard.
De la petite Skhul 1, cette étoile naissante dans le monde, de cette renaissance là, je suis fière : pour la première fois un crâne et une mandibule donnent un visage à une enfant sapiens-néandertalien inhumée depuis 140 000 ans, « We’ll never die » pour elle, quand on est une enfant dans l’innocence. Elle mérite un documentaire, mais certainement pas Mylène FARMER ! Laurent BOUTONNAT est victime comme je le suis aussi, de leur fabrique du mensonge. Mettre ses compositions sur mes inédits sans que nous en ayons discuté préalablement est invraisemblable ! Avec ma page non démentie, il est en droit de s’opposer à tout projet de cette nature sur cette chanteuse et qui constitue une désinformation, comment accepterait-il de rester plus longtemps le « dindon » d’une très mauvaise farce, aussi humiliante ! Aux avocats de veiller à ce qu’il n’y ait plus d’arnaques crapuleuses avec les signatures de Mylène FARMER pour se vendre, la dissimulation de ses gravissimes délits par des avocats preuves en main (Caroline BOUTONNAT et elle sait bien qui sont les avocats « mous du genou » en présence à lire mes lignes), c’est la radiation du barreau.
Je ne doute pas une seconde qu’ils me lisent. Je n’apprécie pas d’être traitée comme une « moins que rien » par une bande de mafieux arrogants qui se croient intouchables et ont cherché à se débarrasser du meurtre en le renvoyant au CNRS à travers ma fonction. Que Pascal NEGRE, le PDG déchu d’UMG-France passe aux aveux, c’est tout ce qu’elle mérite, et qu’elle dénonce tous ses comportements pervers à mon égard, c’est son devoir. J’en pense autant de Thierry SUC, lâche, vénal et pédant, qui a trahi ma confiance et m’a traitée comme une moins que rien. Résultat ils sont grillés au CNRS. Les collègues savent que, s’il le fallait, il m’est possible de faire savoir au président du Sénat, Gérard LARCHER, comment Mylène FARMER et ses avocats traitent l’amie de René LENOIR, d’Edgar MORIN et la cousine de Jean-Louis SCHROEDT-GIRARD, époux BOUTRY-DAMBRICOURT, conseiller honoraire des services du Sénat, ancien secrétaire général de la Présidence du Sénat. Après l’actualité brûlante de Bertrand CANTAT grâce au documentaire d’Anne-Sophie JAHN, ce serait l’actualité nucléaire de Bertrand LEPAGE, car il n’est pas concevable dans un Etat de droit que Gérard LARCHER ignore ce que le CNRS sait avec toutes les preuves écrites, ignore les lettres de René LENOIR, de Georges KIEJMAN, les propos de Caroline FABRE-BOUTONNAT écrits par mon ex avocat, et le message d’Edgar MORIN remis au CNRS qui demande que toute la clarté soit faite sur les liens entre mes inédits, Mylène FARMER et Pascal NEGRE, le V de Victoire du DJ Snake sera celui des Victimes de ces mafieux. Et non la leur contre l’Etat de droit sur fond d’homicide dissimulé et entrave à la manifestation de la vérité : l’identité de l’assassin avec les 49 millions de francs que Polygram devait récupérer et qui partaient en fumée si l’illégalité d’Anamorphosée était découverte. Bertrand LEPAGE savait sa mort programmée si j’écrivais à Polygram. Et les avocats « mous du genou » n’ont pas encore compris ce que Pascal NEGRE avait compris et quelle était sa priorité : récupérer une lettre testamentaire de l’éditeur avouant le vol et désignant son assassin en puissance s’il était retrouvé mort. Qui a dû attendre que la paire de fesses de Mylène FARMER pour le coffret de « Anamorphosée » soit shootée ? Polygram/Pascal NEGRE. Cela ne les gênent pas de laisser l’idolâtrie surfer sur l’omerta comme le site Innamoramento.net : le comble de l’indécence à demander les avis des fans sur le visuel de « Confession » qui suinte le crime de sang inavouable ? Cela ne les gênent pas de penser que le frère du défunt, Marc LE PUT décédé en 2004 n’a pas pu connaître l’identité de l’assassin en 2001 à cause d’une garde des sceaux qui a failli à ses devoirs ; une enquête permettrait de le vérifier : qui peut croire qu’un procureur de la République a pris sur lui d‹ « enterrer » une information aussi grave, remise en mains « propres » par René LENOIR, secrétaire d’Etat et ex-directeur de l’ENA ? Il ne l’aurait pas fait sans être couvert par sa ministre de tutelle. Cela ne les gène pas de laisser leur cliente faire sa star au festival de Cannes puis dans les arènes de Nîmes, alors que ses dénis, sa mauvaise foi et ses lâchetés accumulés depuis 1996 ont généré un scandale d’Etat ? Ils n’ont pas compris qu’elle continuera à se croire dans l’impunité tant qu’elle n’entendra pas un juge prononcer la peine à la hauteur de ses délits dont le plus grave : protéger le meurtrier de son éditeur-pygmalion ? Qu’elle s’active à annoncer la fin de sa « carrière » d’escroc avant que je me décide à ce que Gérard LARCHER découvre ce que ses avocats dissimulent et la laissent faire.
Ma recherche transdisciplinaire « Sciences, Arts et Cognition » se poursuit, en étroite fidélité de pensée avec mon ami Edgar MORIN.
Edgar MORIN, toujours d’actualité, Y a-t-il des leçons de l’histoire ? Denoël (2025) a intégré la découverte des attracteurs harmoniques dans « La méthode de la Méthode », honoré le 9 novembre 2024 au Sénat pour son livre « La Méthode » (2024), le 17 décembre à la Maison de l’Europe de Paris « pour son engagement profond en faveur de la construction d’une conscience européenne. Le sociologue et philosophe français, l’un des plus grands intellectuels de notre époque, était représenté par Christopher Yggdre, délégué général de la Fondation Edgar Morin ».
Toujours présent, toujours à mon écoute, mon ami Edgar MORIN qui célèbre 104 ans, qui a toujours soutenu sa diffusion et se réjouit du succès mondial de Skhul 1, m’a permis de défendre la transdisciplinarité avec la même préoccupation du devenir de l’Humanité en identifiant les processus de déshumanisation : « Edgar Morin, un siècle de sagesse en trois leçons » (26/07/2025), que les avocats « mous du genou » en prennent de la graine !
Chaire Edgar Morin de la Complexité de l’ESSEC, 2018 Séminaire de recherche par Anne Dambricourt Malassé : « Le redressement du système nerveux et l’humanisation des comportements : l’anticipation, un garde-fou pour l’humain en devenir ».
12 août 2025
L’anticlinal plio-pléistocène de Chandigarh (Inde) et la Formation pliocène Masol avec les 50 mètres de dépôts fossilifères et préhistoriques nommés Zone Quranwala.
Vue sur Masol 6-Nord - limite supérieure de la Zone Quranwala - copyright A. Dambricourt Malassé