
Frédéric OKASSA

17 Place du Trocadero et du 11 Novembre
75116 Paris
. Chef de Projet pour le Patrimoine Culturel et Naturel du Congo et pour l’Afrique centrale à l’UNESCO
◼️ Recherche en vue, thématiques
PRETROP, avec Antoine LOURDEAU et David PLEURDEAU, en vue des travaux sur :
● Les « Modes de Technologie Lithique » .C’est la terminologie utilisée dans la thèse de préhistoire que j’ai présentée en 2007 (d’après Grahame Clark, 1959, World Archaeology in new perspective, 1977 : 15è éd.).
Cette terminologie en 5 modes, est préférée à la déclinaison classique du paléolithique dans la langue française (« stone ages », en anglais). Elle sera reprise dans les travaux de prospection et de fouilles préhistoriques visant une couverture de la totalité du territoire du Congo en recherches, Projet Unesco.
● Les modes de vie en préhistoire, leur interprétation, à travers l’étude des sites du Congo. Bibliographie : Leslie White, 1949, The science of culture. A study of man and civilization, Théories en écologie culturelle ; Higgs, E. 1975 : Palaeoeconomy, Cambridge, C.U.P., David Clarke, 1978 : Analytical Archaeology, 2è éd., Methuen, XIII-526 p).
● L’étude des buttes agroécologiques ou champs surélevés des populations agropastorales bantoues : fonctions nutritionnelle ou cultuelle dans la Cuvette centrale au Congo, au cours des 3 derniers millénaires. Photographies aériennes reçues du documentariste Yann Arthus BERTRAND en septembre 2011. Étude en 2012, par Frédéric Okassa, préhistorien, Richard Oslisly, géoarchéologue, Bernard Peyrot, paléogéographe.
● La paléoécologie de la forêt du Congo (60% de la superficie du pays qui est de 342.000 km2). On voudra caractériser les isotopes paléoclimatiques par le carottage d’une vingtaine de lacs et lagunes, y compris dans les « baÏ » (enclaves de savane dans la forêt, en dialecte pygmée). Très giboyeuses, elles ont pu attirer les hommes préhistoriques, dans ces parcs nationaux (parfois transfrontaliers). Pour en dresser une chronostratigraphie globale en paléogéographie d’écosystèmes pléistocènes, holocènes, actuels du Congo.
● L’Inventaire de la faune et flore autour des sites archéologiques, en vue de datations et corrélations en archéobotanique et archéozoologie avec les données en biodiversité d’environnements actuels.
● Taphonomie et étude des processus de formation des sites à industries leptolithiques holocènes du Congo (Schiffer, M. B. editor, 1978-1986 : Advances in Archaeological Method and Theory, vol. 1 à 9. New-York, Academic Pres.). Des industries connues sous les taxons de Tshitolien en Afrique centrale et de Wiltonien, en Afrique australe (Phillipson, David, 1985, African Archaeology. Cambridge University Press, 1988, 2è edition).
◼️ Participation à des programmes de recherches
Coordinateur, 2019-2025 du Programme international de recherches en Paléoécologie et Préhistoire de la République du Congo, sous le patronage de l’Unesco, Département Afrique et de la Direction Afrique du Centre du Patrimoine Mondial de l’Unesco (CPM-Unesco), avec la participation du Muséum National d’Histoire Naturelle (UMR 7194), l’UMR 7055 du CNRS à Paris Nanterre, l’Université de Montpellier 2, l’Université de Brazzaville. Avec le financement de TOTAL E&P Afrique-Paris La Défense et du Ministère de la Recherche Scientifique et de l’In
2008 à 2014. Portage du Programme de relance des recherches en Archéosciences au Congo, avec la Convention négociée à l’invitation de TOTAL E&P à La Défense en un cycle de concertations avec : Yves Coppens du Collège de France, Denis Vialou et Alain Froment du MNHN, Manuel Gutierrez de l’Université Paris I, Jacques Pélegrin de l’Université Paris Ouest Nanterre.
● Sur le terrain, dans les grottes du sud de la République du Congo, avec : Alain Froment (anthropologue), Raymond Lanfranchi (préhistorien), Olivier Testa (topographe), Maurice Dieudonné Malounguila (géologue), Marcel IPARI (archéologue).
● 2011 à 2013. Sur le terrain, l’étude des buttes agroécologiques des régions de la Cuvette centrale et des Plateaux.
à partir des photographies transmises par le documentariste Yann Arthus-Bertrand.
Avec Richard Oslisly (géoarchéologue), Alain Froment (anthropologue), Bernard Peyrot (paléogéographe), Maurice Dieudonné Malounguila (géomorphologue), Albert Nzoulani (entomologiste), Jack-Mercier Sila (Doctorant en Géosciences).
● 2012. Programme de Paléoécologie en carottage de 4 étendues lacustres des régions du Pool (à Massembo-Loubaki, Gare, ex Brusseau), Plateaux Batékés (Ngo et Djambala) et Likouala (Lac Télé).
Codirection avec Richard Oslisly, Géoarchéologue IRD Gabon et les paléoécologues de l’Université de Montpellier 2 : Laurent Brémond, Charly Favier, Ilham Bentaleb, Doyle Mckey, José Irarte ; Olivier Testa, topographe et des enseignants-chercheurs de l’Université de Brazzaville : Dieudonné Malounguila, géologue, Victor Kimpouni et M. Moutsamboté (botanistes). Créé en juillet 2012.
◼️ Enseignement, Diffusion des connaissances.
● Avril 2011. Obtention et suivi des 3 premières bourses d’études de la Fondation TOTAL E&P-Direction du Mécénat, pour des étudiants congolais à l’Université Paris I-Sorbonne (28 septembre 2011), en Masters puis Doctorats, dans le cadre de la Convention avec notre ONG de chercheurs, ASPEC-France-Muséum d’Histoire Naturelle-Université Paris Nanterre du 24 mars 2011.
● Mars 2012. Construction d’une Base vie de recherches et de formation en archéosciences et géosciences, à la confluence de la Louolo et de la Kouaka : le « Centre TOTAL-Jean Fournier », au cœur des grottes du domaine préhistorique de la vallée de la Louolo, proposées à une inscription sur la liste indicative du patrimoine de l’Unesco en Afrique centrale, par la Central Africa World Heritage Forest Initiative (CAWHFI) et Wildlife Conservation Society (WCS), lors du Symposium sur l’environnement des Bassins du Congo et de l’Ogooué, à Brazzaville du 10 au 14 mars 2008.
● 2012-2013. Direction et codirection des Masters en Archéosciences et Géosciences à l’Université Marien N’Gouabi, avec Maurice Dieudonné Malounguila, géologue (Faculté des Sciences), Marcel Ipari et Léopold Mpika, archéologues (Fac. des Lettres).
Du 29 octobre au 4 novembre 2015. Organisation avec le financement du Programme de Participation UNESCO d’un Colloque international sur le thème de la Géologie et de la Préhistoire. Présentation des données de l’identification de la valeur universelle exceptionnelle des sites en grottes transfrontalières de l’Afrique centrale en Vallée du Niari, au Congo-Brazzaville :
avec Alain Froment (IRD-MNHN), Yvon-Norbert Gambeg (ethnologue), Augustin Ferdinand Charles Holl (préhistorien), Marcel IPARI (archéologue), Maurice Dieudonné Malounguila (géologue), Edmond Moukala (chef de l’Unité Afrique au Centre du Patrimoine Mondial de l’Unesco), Constant Abraham Ndinga-Mbo (historien, Directeur de l’École Doctorale des Sciences Humaines, Université Marien N’Gouabi), Jack Mercier Sila et Chancy Mpassi-Malonga (Doctorants en Géosciences).
Ce projet Unesco a représenté la 2è sous-région africaine, centrale et occidentale (francophone).
novation Technologique (MRSIT) de la République du Congo.
2008 à 2014. Portage du Programme de relance des recherches en Archéosciences au Congo, avec la Convention négociée à l’invitation de TOTAL E&P à La Défense en un cycle de concertations avec : Yves Coppens du Collège de France, Denis Vialou et Alain Froment du MNHN, Manuel Gutierrez de l’Université Paris I, Jacques Pélegrin de l’Université Paris Ouest Nanterre.
● Sur le terrain, dans les grottes du sud de la République du Congo, avec : Alain Froment (anthropologue), Raymond Lanfranchi (préhistorien), Olivier Testa (topographe), Maurice Dieudonné Malounguila (géologue), Marcel IPARI (archéologue).
● 2011 à 2013. Sur le terrain, l’étude des buttes agroécologiques des régions de la Cuvette centrale et des Plateaux.
à partir des photographies transmises par le documentariste Yann Arthus-Bertrand.
Avec Richard Oslisly (géoarchéologue), Alain Froment (anthropologue), Bernard Peyrot (paléogéographe), Maurice Dieudonné Malounguila (géomorphologue), Albert Nzoulani (entomologiste), Jack-Mercier Sila (Doctorant en Géosciences).
● 2012. Programme de Paléoécologie en carottage de 4 étendues lacustres des régions du Pool (à Massembo-Loubaki, Gare, ex Brusseau), Plateaux Batékés (Ngo et Djambala) et Likouala (Lac Télé).
Codirection avec Richard Oslisly, Géoarchéologue IRD Gabon et les paléoécologues de l’Université de Montpellier 2 : Laurent Brémond, Charly Favier, Ilham Bentaleb, Doyle Mckey, José Irarte ; Olivier Testa, topographe et des enseignants-chercheurs de l’Université de Brazzaville : Dieudonné Malounguila, géologue, Victor Kimpouni et M. Moutsamboté (botanistes). Créé en juillet 2012.
◼️ Enseignement, Diffusion des connaissances.
● Avril 2011. Obtention et suivi des 3 premières bourses d’études de la Fondation TOTAL E&P-Direction du Mécénat, pour des étudiants congolais à l’Université Paris I-Sorbonne (28 septembre 2011), en Masters puis Doctorats, dans le cadre de la Convention avec notre ONG de chercheurs, ASPEC-France-Muséum d’Histoire Naturelle-Université Paris Nanterre du 24 mars 2011.
● Mars 2012. Construction d’une Base vie de recherches et de formation en archéosciences et géosciences, à la confluence de la Louolo et de la Kouaka : le « Centre TOTAL-Jean Fournier », au cœur des grottes du domaine préhistorique de la vallée de la Louolo, proposées à une inscription sur la liste indicative du patrimoine de l’Unesco en Afrique centrale, par la Central Africa World Heritage Forest Initiative (CAWHFI) et Wildlife Conservation Society (WCS), lors du Symposium sur l’environnement des Bassins du Congo et de l’Ogooué, à Brazzaville du 10 au 14 mars 2008.
● 2012-2013. Direction et codirection des Masters en Archéosciences et Géosciences à l’Université Marien N’Gouabi, avec Maurice Dieudonné Malounguila, géologue (Faculté des Sciences), Marcel Ipari et Léopold Mpika, archéologues (Fac. des Lettres).
Du 29 octobre au 4 novembre 2015. Organisation avec le financement du Programme de Participation UNESCO d’un Colloque international sur le thème de la Géologie et de la Préhistoire. Présentation des données de l’identification de la valeur universelle exceptionnelle des sites en grottes transfrontalières de l’Afrique centrale en Vallée du Niari, au Congo-Brazzaville :
avec Alain Froment (IRD-MNHN), Yvon-Norbert Gambeg (ethnologue), Augustin Ferdinand Charles Holl (préhistorien), Marcel IPARI (archéologue), Maurice Dieudonné Malounguila (géologue), Edmond Moukala (chef de l’Unité Afrique au Centre du Patrimoine Mondial de l’Unesco), Constant Abraham Ndinga-Mbo (historien, Directeur de l’École Doctorale des Sciences Humaines, Université Marien N’Gouabi), Jack Mercier Sila et Chancy Mpassi-Malonga (Doctorants en Géosciences).
Ce projet Unesco a représenté la 2è sous-région africaine, centrale et occidentale (francophone).